Chapitre 46

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Elle ouvrit ses bras en grand et je l'enlaçai en lui répétant à quel point je suis désolé.

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PDV Liyah
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1 an après...

Aziz avait récemment demandé ma main. Nous avions effectué ma dote et au yeux de l'Afrique nous sommes mariés, il ne restait plus que ma conversation et nous pourrions entamé les préparatifs du mariage civile.

Nous avions emménagé tout les deux dans un nouvel appartement proche de l'entreprise qui désormais a pour nom Ross & Kangah. Nos chiffres d'affaires ne faisaient que monter et c'était un plaisir de travailler mon fiancé.

Tyson continuait de me harceler alors chaque fin de mois je lui faisais un chèque pour qu'il me laisse tranquille. Aziz n'en était pas au courant et j'avais peur de le lui dire...

Lucie:«J'ai terminé ma journée Mademoiselle, avez-vous besoin d'autres choses?»

Moi:«Non Lucie allez vous reposer, passez une belle soirée»

Lucie:«A vous pareillement»

Elle sortir et je commençai à ranger mes affaires je me dirigeai vers le bureau d'Aziz où je voyais de la lumière, signe qu'il y est encore. Je toquai à sa porte et pénétrai dans son bureau...

Aziz:«Tu es prête ?»

Moi:«Oui»

Il mit de l'ordre sur son bureau et prit ses clés ainsi que son téléphone avant de me prendre la main et nous faire sortir du grand building.

Arrivé chez nous, je remplis la gamelle de Luna notre petite chienne qu'Aziz m'avait offert. Je l' appelai et elle arriva dans les bras de son père.

En me voyant et elle sauta et tourna autour de moi pour montrer sa joie. Je lui désignai sa nourriture et je préparai la dîner pour Aziz et moi.

A table je me décidai de lui parler des payements que j'effectue pour Tyson, je ne veux pas vivre avec le poids de ce mensonge...

Moi:«Aziz?»

Aziz:«Madame?»

Moi:«Tyson continue de me harceler»

Il déposa sa fourchette et me regarda en me disant que je pouvais continuer...

Moi:«Chaque mois il passe à mon bureau pour me demander des chèques et menaces de diffuser les vidéos et les photos si je venais à en parler à la police»

Aziz:«Et depuis combien de mois ça se produit?»

Moi:«Quatre»

Aziz:«Je ne veux plus que tu lui donnes d'argent, avec les ga on a trouvé un moyen de le coffrer ne t'inquiète pas, il ne te fera plus jamais de mal»

Moi:«Tu m'en veux pas de pas t'avoir dit ça plus tôt ?»

Aziz:«Tu avais tes raisons et je sais que tu ne fais pas les choses au hasard, c'est pour une bonne raison alors je t'en veux pas»

Il me sourit et m'attrapa la main gauche en admiration la bague que j'avais au majeur. Il souritet me regarda avec des yeux coquins.

Lorsque nos contraires s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant