partie 23

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Amour interdit – Partie 23Il me tire vers lui avec ses deux mains et m’enlace, il meprend dans ses bras et me dit : ne dis pas ça, t’es trop néya nti bezaf néya, houa li*****, c’est de ma faute j’aurais du te le dire dès le début, je voulais te protéger (habit neprotigik) j’avais tort j’aurais du te le dire dès le début ! mais si je lui refais pas la façade ana machi radjel !!Je reste dans ses bras jusqu’àce que je me calme , il me serre fort contre lui , me caresse le dos tendrement , son menton posé sur ma tête, j’ai la tête collée à cou , sa peau est très chaude , sa respiration rapide , nous avons oublié le monde extérieur , les voitures qui passaient , les gens qui nous regardaient , on a tout oublier comme ci dans ce monde y avait que nous deux…..Et voilà en détail ce que Amelm’a raconté après notre départ Houssam et Moi :***Amel qui me parle**** :Tu venais de partir avec Houssam, je ne sais pas où il va t’emmener, je ne lui fait pas confiance ce garçon, je ne sais pas qu’es ce que je devais dire à ma mère quandje retourne à l’intérieur, je remonte les escaliers, je vois Wejh char (Khaled) je lui dis en crachant par terre : Tfouuu 3lik ! il baisse la tête sans me répondre .Je retourne à l’intérieur nssib mama teghli , elle me pose des questions wahda mor khot’ha : Win rahi Ryma ? Wech had tbahdayel li dertouli ? Win rahet ?W ki tez3af mama tweli 3abd wahdakhor tu l’a connait, j’essaye de la calmer en vain je lui ai dit : Rahi 3ayana , mrida , ah djawha les règles rahet ! elle pouvait pas resterElle m’a dit : hssebtini tefla sghira tmeskhri biya ? kanet tebki w chkoun hada khaled ?win ta3arfou ? Moi : mama nass rahoum ychoufou fina stp , arwahi nrouhou l dar nfahmek kolech Mama m’a répondu : je ne bouge pas d’ici tant que tu ne m’as rien dit , walah Amel nederbek b sebat je m’en fou des gens !Ta3arfiha mama Il faut toujours prendre ses menaces au sérieux ! elle rigole jamais ! Moi : Habiti ta3arfi ? la3riss r***ss , kan hab yekhteb Ryma , ta3arfou, kan hab yahder m3a mert khali , kheda3 , sbah 3ayetlhaou la3chia rahou ytzewedj m3a une autre , haylik lehkaya , elle ne savait pas meskina chaftou b 3iniha .ses yeux se remplissent de larmes mais elle ne pleure pas , elle me dit : Nodi nrouhou nodiOn se lève , je prends ta veste je pensais à toi ma chérie ,je ne savais pas où il t’a emmené ton Rambo le fou , la copine de maman vient nous voir et nous demander ce qui se passe , mama n’a rien trouvé à dire sauf souhaiter le bonheur aux jeunes mariés , elle lui a dit de passer un jour prendrele café avant de rentrer’ chez elle .On sort de la salle , maman me dit : kifach nrouhou doka? Ton frère est très loin , j’appelle ton père ychouf win ysselef une voiture ? Moi : je ne sais pas , ( kifach je vais luidire que Houssam wesa sahbou 3lina ? ) Viens on sortdehors peut être on l’a trouvera berra .Jusqu’à ce que je vois l’ami deHoussam se diriger vers nous : el hadja nwesselkoum?Maman : choufelna taxi berk ya wlidi t3ich Lui : makach lestaxis par là , je vous emmènewin habitou , ma mère est l’intérieur vous voulez que je l’appelle pour nous accompagner ? Maman : non saha Moi : maman c’est l’ami de Houssam hada , houssam wessah 3lina ( khrejtelha lel 3ib dirict j’avais pas le choix )Maman : Win na3ref Houssam hada ?Moi : tu le connais , le neveu de tata samia , la collègue et l’amie de mert khali , il est venu à la soutenance de RymaMa mère réfléchis un peu et me dit : Houssam nti teni ? hssabek f dar ? ah ya rebi had lebnat wech rayhin ydirou fiya !! F dar nethassbou 3la kamel had chi !!Tah le9der ya Ryma !!! Elle accepte enfin qu’il nous dépose à la maison , pendanttout le trajet mama n’arrêtaitde se plaindre , le garçon meskin était obligé de l’écouter et de répondre , ellelui demande de nous emmener chez toi directement .On arrive chez toi , ta maman était là , elle venait tout juste de rentrer du travail , quand elle nous a vu elle a paniqué surtout que tu n’était pas avec nous , on a du l’a rassurer pendant 15 minutes devant la porte pourqu’elle se calme .Je n’arrête pas de t’appeler Ryma mais tu ne répondais pas , mamak était folle d’inquiétude Dans le salon ma mère et la tienne m’ont m’obliger à tout leur raconterje n’avais pas d’autre choix , j’ai essayé de convaincre ta maman que t’allais tout lui raconter Mais rien ne pouvais la calmer , elle pleurais , je n’arrêtais pas de t’appeler mais tu ne répondais pas , j’était obligée de t’envoyer des sms mais walou rien , nous n’avions pas d’autre choix que de t’attendre ….Voilà ce que Amel m’a raconté en détails plus tard , revenons à nous Houssam etmoi …Il m’a prit dans ses bras tendrement , ses paroles me calmaient , ses gestes m’apaisaient , j’ai trouvé l’endroit où j’avais besoin de rester , là où je me sentais bien , dans ses bras ..les brasde Houssam …heinnn ? Houssam ? Ryma détaches toi de lui VITEE , t’es folle où quoi ? t’es faible à ce point , tu tombe dans les bras du premier venu ? en plus Houssam le meilleur ami de ton chéri EX …Je me détache de lui , j’avais honte de moi , comment je me suis permise de le laisser me prendre dans ses bras , comment j’ai eu le culot de me sentir bien dans ses bras, ce n’est pas bien ce qui se passe , c’est mal sain tout ça ,ce n’est pas ma place ici , Houssam et MOI ?? NON !! NON ! c’est impossible ! c’est INTERDIT !Moi : je dois rentrer à la maison , ma tante doit être folle d’inquiétude Je vérifie mon téléphone , y avait des appels , des sms de Amel à lapelle , le lis son dernier sms elle me dit : Rana fel mirda chrikti , rentres vite chez toi ou appelles moi thardet 3linalyoum ki nti ki ana, ta mère est au courant de tout !!!Je panique , Houssam remarque ça et me dit : qu’esce qui se passe ? Moi : maman est au courant de tout , elle ne va jamais me pardonner , elle va m’en vouloir toute sa vie , elle va me détesterEt je commence à pleurer encooooooooore , il me dit : Arrêtes de pleurer stp arrêtes, qui peut te détester ntia 9oulili chkoun Yekerhak? Ta maman t’aime beaucoup et j’en suis sur qu’elle comprendra , ressaisis toi , arrêtes de pleurer , essuies tes larmes et expliques lui tout …d’accord ?Je lui fait oui par la tête , il appelle son ami qui a déposéma tante et Amel , ce dernierlui dit qu’il toujours à Alger centre , pas loin de chez moi ,Houssam lui demande de l’attendre et lui dit qu’il arrivepour récupéré sa voiture .Il conduit et me lance des petits regards tendres et des sourires forcés pour me rassurer , je ne pleurais plus ,mais ma tête allait exploser , je pensais à Khaled , à cette journée de malade que je viens de vivre !! à maman et qu’es ce que je vais pouvoir lui raconter maintenant ? Je pensais à Houssam et le geste grandiose qu’il vient de faire pour moi , We9fatou avec moi que je n’oublierai jamais ! je ne me suis pas rendu compte que nous étions déjà arrivés dans mon quartier .Houssam : tu l’a gare ou d’habitude ? Moi : la deuxième petite ruelle à droiteIl gare la voiture dans la petite ruelle très peu fréquentée , éteint le moteur et se tourne vers moi et me dit : je t’appellerai ce soir EREFDI 3lia d’accord ? Moi : d’accord Houssam : décroches ne me laisse pas inquiet ok ? bla manzid nwessik ? Moi : d’accord !! J’allais descendre mais il m’a retenue il m’a dit : Attends une minute , t’as des lingettesici ? Moi : oui dans la boite à gantsIl se penche jusqu’au boite à gants et fait sortir une lingette , il était trop prêt de moi , mon cœur a fait un mini bond , il s’est rapproché de moi et a commencé à nettoyer sous mes yeux avec la lingette , j’avais surement tout mon maquillage qui a coulé et je n’avais même pas regardé dans le miroir à quoije ressemblais , j’ai tendu ma main pour prendre la lingetteet nettoyer mon visage seule mais il ne m’a pas laissé faire, il m’a dit : Laisses moi faire stpIl nettoyer sous mes yeux tout doucement , tendrement , son visage était trop prêt du mien , trop trop, je regarde ses yeux et pour la première fois j’ai l’impression de voir une nouvelle personne devant moi , ça vous ai déjà arrivé de fixer le visage d’une personne jusqu’à ce que cette dernière vous semble étrangère ( ou bien je suis la seule mahboula qui fait des hallucinations pareilles ?) il a posé la lingette et il a cont

amour interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant