PDV Pixys :
Dimanche (semaine d'après) 8 juilletC'est la dernière journée à Poudlard avant les grandes vacances, j'ai décidé de bien profité de Rem' et mes potes. Je vais me remplir de plein de bonne humeur, et de souvenir joyeux, pour survivre à ces vacances qui vont être longue.
Devoir quitter ce que je considère comme mon foyer, quitter mon monde, c'est toujours triste pour moi.C'est perdue dans mes pensées mélancolique que je rejoint les griffondors, pour aller prendre notre petit déjeuner.
Xénophilius avait dû partir plus tôt, ses parents ont été diagnostiqué atteint d'une dragoncelle préoccupante. Pandora était partie avec lui, pour le soutenir. Si j'avais pu demander à mes parents avec une chance qu'ils disent oui, je l'aurai fais sans hésiter pour l'accompagner aussi. Même si je ne sais pas trop ce que j'aurai pu faire pour l'aider.-"Déjà les vacances ! Le temps est passer à une vitesse !"
Cria James en s'étirant et bâillant. Je lui répond en ricanant :
-"T'as pas l'air encore très réveillé, toi."
Bien sûr il s'insurge et un nouveau numéro commence, à la table la plus bruyante de la grande salle.
-"Vous avez fait vos valises ?"
Nous questionna Marie, me rappelant que je devais partir. Ce souvenir m'arrache un soupir désespéré, j'en entends d'autres. C'est Lily et Remus qui semblait autant au bout de leur vie que moi.
On se regarde tous les trois surpris, mais aucun de nous ne fait remarquer quoi que ce soit. Je sens une main prendre la mienne. Je jette un regard en biais à Rem', les joues rougissante et mon ventre faisant des looping. Un petit sourire gêné naît sur mes lèvres, qu'est-ce que je n'étais pas habitué à ses contacts, et à mes réactions.-"Oh regarder ! On dirait que c'est l'heure du dessert !"
Dit d'une voix forte Jamie, alors que des muffins apparaissaient devant tous le monde. Un sourire exagérément enthousiaste, je le remercie silencieusement d'avoir détourné l'attention.
Mais tout à coup une musique retentit. Elle vient de Dumbledore. De son muffin plus précisément. On entend de la guitare puis David Bowie, je ne sais plus le nom de la chanson. J'aperçois du coin de l'oeil Lily se retourner d'un coup vers James, avant qu'elle n'ai pu dire quoi que ce soit les muffins explosent en concert.On entend un concert de cris. C'est le chaos. Je ne vois plus rien ma vision brouiller par le chocolat. Les menaces de mort de Lily et Dorcas à l'encontre des maraudeurs me permettent tout de même de me situer.
On entend tous les rires caractéristiques des quatres garçons résonner dans cette grande salle. Cette joie fut contagieuse pour presque tout le monde. La fin de l'année, la guerre, ma famille tout ça se perdit quand je me mis à rire avec eux en cœur.Merlin ne les faites jamais changer. Pendant que je me débarbouillais comme tous le monde, Remus me regarde moqueur me faisant encore plus sourire, alors que je ne pensais pas ça possible. Quand je le vois aussi barbourbouillé de chocolat on se remet à rire de bon cœur.
-"BLACK ! POTTER ! PETIGROW ! LUPIN ! PAR LA BARBE DE MERLIN !"
On entend la voix furieuse de McGonagall résonné, nous faisans tourné la tête interdit ver elle. L'image sévère est alors noyer dans le lac noir, une McGonagall avec le chapeau tenant à un cheveux sur sa tête pleine de chocolat qui allait jusque sur son buste, et dégoulinait.
L'éclat de rire présent ne fit que redoubler à la vue de la table des professeurs, tous dégoulinant de chocolat avec des têtes comiques. On surpris même Dumbledore entrain de se lécher les doigts goulûment. Cette fin année était épique, comme toujours avec les maraudeurs.Après des remontrances de la professeure de métamorphose et des quasi applaudissement du directeur on pu enfin tous sortir de la grande salle.
-"J'en reviens pas. On a enfin réussi à se faire collé pendant les grandes...ON EST TROP FORT LES GARS !!"
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Au mauvais endroit au mauvais moment
Fiksi PenggemarTous cela à commencé pars une simple conversation entre les maraudeur mais une conversation que je ne devais pas entendre. Le quotidien à Poudlard va devenir de plus en plus tendu entre les deux camps et la neutralité va disparaitre. Un secret qui n...