Pdv Pixys :
LundiLe chemin de retour à la maison s'était fait dans un silence mort. Cette ambiance qui remplissait la maison en ce moment même. Je fixais la porte de la petite chambre, avec appréhension et peur. Si je me levais, ça allait forcément amené à une engueulade mais si je ne le faisais pas ça reviendrai au même.
Je n'avais même pas encore déballé mes affaires de ma malle, espérant encore que les vacances passe à la vitesse de l'éclair pour que Poudlard m'accueille à la rentrée.Avec un dernier soupir de résignation je consent à me lever, et me change. Un grand pull long, avec un pantalon patte d'éléphant, qui touche presque par terre.
J'ouvre la porte le plus discrètement possible, un petit grincement me faut grimacer, et la referme tout aussi doucement une fois dehors. Mes pas de loup me mène à la cuisine, qui est en bas des escaliers, je les regardent alors comme un gouffre sans fin. Pesant le pour et le contre je finis finalement par descendre priant pour que le parquet ne craque pas.Dans un silence absolu je rentre dans la cuisine, où ma mère fait la vaisselle. Elle a l'air beaucoup amaigri depuis l'année dernière, de grandes cernes sous les yeux, un visage vide. Je la regarde avec culpabilité, au dernière grande vacance la petite mère que j'avais était toujours souriante, respirant la bonne humeur et vivante. En revenant je trouvais une coquille vide. Bien sûr que père n'étais jamais facile avec elle, mais elle pouvais encore s'évader avec son sport et son travail. Maintenant il ne lui restait rien.
Elle me remarque et fait son grand sourire pour cacher son état.-"Pixys, ma chérie ! Désolé de ne pas avoir pu t'accueillir hier il était tard. Comment vas-tu ?"
Son timbre aristocrate se reflaitant quand elle parle, mettant de la distance entre nous. Je lui souris en retour.
-"Ne t'en fais pas je comprends maman. En tout cas je vais très bien. C'était une super année, je me suis bien amusée. "
Un grand silence prend place après cette courte conversation. Mais ce blanc est confortable, je le préfère nettement à ceux avec mon père. Ma mère s'attèlent à la vaisselle et moi prenant un bout de pain, comme petit-déjeuner.
Des pas retentissent à l'étage, me faisant me tendre. Je compte les secondes pendant que j'entends la personne descendre, retenant mon souffle prête à partir de la pièce.
Les bruits bourru descendirent jusque devant la cuisine. Je sauté de mon siège comme un lutin et sors le plus vite possible de la cuisine. Devant la porte mon père qui me domine de toute sa hauteur, les vêtements pendant pas encore réveillé. Il me fusille du regard, pendant que je me pousse sur le côté pour le laisser passer, baissant les yeux à son passage. Je l'entends murmurer.-"Pas foutue d'être utile....m'tapé c'te chose tout les matins va m'gonflé vite."
Il passe en faisant mine de ne pas me voire. Ma mère lui fait un grand sourire quand elle le voit, en même temps je profite de ma chance et me carapate. Tant qu'il n'avait pas bu son café j'avais encore une possibilité de m'échapper. Il fallait juste que j'essaie de l'éviter toute la journée maintenant...
En montant les escaliers pour disparaître dans ma chambre, en espérant qu'il oubli mon existence, la porte à côté de ma chambre s'ouvre. J'aperçois ma soeur qui se frotte les yeux, venant sûrement tout juste de se réveiller, elle me fais un de ses sourires chaleureux avant de m'attraper le poignet rapidement, m'entrainant dans sa chambre.
Elle me fais s'assoir sur son lit, se mettant à côté de moi.-"Alors cette année ? T'as bien ramener Bouboule ? Mais pourquoi t'es revenue, bon sang ?!"
Dolorès enchaine les questions, me fusillant du regard parce que j'étais revenue.
-"C'était une année...forte en émotions...si on puis dire. T'en fais pas j'ai pas oublié Bouboule. Même si il avait l'air de vouloir le rôtir quand il l'a vu, mais ça va."
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Au mauvais endroit au mauvais moment
Fiksi PenggemarTous cela à commencé pars une simple conversation entre les maraudeur mais une conversation que je ne devais pas entendre. Le quotidien à Poudlard va devenir de plus en plus tendu entre les deux camps et la neutralité va disparaitre. Un secret qui n...