crazy about non-existence

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Assis sur le rebord de sa fenêtre, une tasse de chocolat chaud thé à côté de lui, le bouclé griffonnait dans un petit carnet les idées de tableaux qui lui venaient à l'esprit. Surtout celle sur un certain Louis Tomlinson.

Le crayon de bois courut sur le papier, le noyant de traits et de traits. Créer une danse en harmonie avec les mouvements du poignet de l'artiste, parfois il supprimait quelques traits quand cela ne lui convenait pas . Le blanc de la feuille disparaissant un peu plus à chaque fois que la mine se posait dessus. Il imagina le corps de l'homme lui faisant goûter des sensations uniques et exquises, poser pour lui.

Ce garçon, dont les grandes mains aimait se balader dans ses cheveux. Ce garçon dont les petites lèvres sont arrivés à effleurer son épiderme. Dont les jambes s'emmêlent à merveille avec les siennes. Ce garçon dont il était amoureux. Avec un tendresse infinie il l'intimidait.

Malgré cet amour puissant entre les deux, un souffrait, l'illusion d'une vie parfaite lui grignotait le cœur. Chaque jour un peu plus ce fantasme le brisait, chaque pas, chaque paroles devenaient synonymes de souffrances.

Harry mourait de cet imaginaire, seul les peintures et dessins de sa chambre le rapprochaient de cet univers. L'univers qu'il s'était lui-même créé et inventé de A à Z. La seule a choisi qu'il croyait seine.    Seul, enfermé, battu à coup de gélules, il devenait fou.

Ces quatre murs étaient devenus sa souffrance la plus pure même la souffrance qu'il s'était vécue en imaginant Louis n'était rien.

Paranoïaque c'est ce que l'on croyait que Harry était devenu, à force de dessiner des personnes inexistantes. Sauf que le jeune homme c'était juste quelqu'un de seul, terriblement seul. Qui se consoler s'était renfermé dans le dessin se créant Louis.

Louis Tomlinson avait belle et bien existé, harry était seulement né avec un siècle de retard.    Alors tant que personne ne sortira l'anglais de ces murs, on le croira fou.

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salutt la populass !
j'ai pas l'habitude de faire des petits mots en fin  d'OS comme cela mais c'est déjà pour m'excuser de cette OS très très court (360 mots :/ ).
MAIS surtout car je compte enfin publier dans pas très longtemps une traduction (larry bien sur) de 41 chapitres, donc s'il vous plait donner votre avis sur cette traduction et si j'en ferais une autre. Car j'en ai 2 autres en plus dans mes brouillons qui attendent patiemment d'être publier,
voilà c'est tout pour aujourd'hui bonne lecture !

𝒐𝒔 𝒍𝒂𝒓𝒓𝒚 𝒔𝒕𝒚𝒍𝒊𝒏𝒔𝒐𝒏Où les histoires vivent. Découvrez maintenant