one that got away

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Harry et moi s'étions rencontre juste après notre sortie de lycée, un jour comme c'est autre, banale et fade mais ce jour là, Harry avait été mon soleil de minuit.
On pourrait appeler cela un coup de foudre -c'est sûrement ce qu'il c'était passer- nous avions directement ressentie un forte connexions entre nous, comme si nous nous connaissions depuis des années. Mais ce n'étais pas le cas, cette nuit la, dans un parc à Londres nous avons parler, beaucoup parler.

Tellement parler que une légère tension sexuel c'était installer.
Puis nous avions rapidement finit par faire l'amour dans sa Range Rover sur un parking quelconque.

Nous étions rapidement sortie ensemble -au bout de deux semaines-, un amour tellement intense qui aurait pu tenir toute une vie, j'aurais tant aimé que cela se passe comme ça.

Pour mes 18ans Harry avait pris rendez-vous chez un tatoueur pour faire un matching tattoo, ils étaient tellement parfait, comme notre relation quoi. Nous étions déjà recouvert d'une vingtaine de tatouages mais là ce n'était pas pareil, nous allions encrer pour toujours notre amour sur notre peau.

Les week-ends nous avions l'habitude de piquer de l'alcool à nos parents pour s'enfuir ensemble sur un toit d'un immeuble quelconque, en parlant du futur comme si nous le connaissions, on s'embrasser aussi, beaucoup, avec beaucoup de passion, si j'aurais pu passer ma vie à l'embrasser je l'aurais fait.
Ses lèvres étaient tellement douce contre les miennes, sa langue se mouvait parfaitement avec la mienne, ses mains qui pressaient mes hanches douloureusement, mais j'aimais ça. C'est comme si on était destiné à s'emboîter parfaitement.

Je n'avais pas prévu cette chute, celle que la plus part des personnes connaissent une fois dans leurs vie. Je n'avait pas prévu de te perdre si rapidement, que dès que je penserai à toi ou que quelqu'un évoquerai ton prénom, mon cœur se serrait si durement, comme si on me le broyait. Mais l'amour ça ce passe comme ça non ? On vole haut, tellement haut que on ne voit pas la chute si rapide arriver. Et la chute fait tellement mal que on pourrait vouloir arrêter de vivre.

Dans une autre vie j'aurais pu être ton petit ami, celui à qui te tiendrai la main dans la rue, à qui tu ferais l'amour si passionnément comme nous avions l'habitude de l faire si souvent.
On aurait tenu toute nos promesses, être nous deux contre le monde avec  tout nos démons.
Dans une autre vie je t'aurais retenu, avant que tu prenne le volant. Si j'avais su la suite, je t'aurais retenu. Tout le monde aurais retenu l'amour de sa vie si ils auraient su, mais moi je l'ai pas fait. Et je regrette.
De sorte que je n'aurais pas besoin de dire que tu étais celui qui étais parti.

J'étais June et tu étais mon Johnny Cash.
Jamais l'un sans l'autre, on faisait la paire, on avait fait un pacte, une promesse. On parlait déjà d'enfants et de mariage. Exaucer nos rêves les plus fous ensemble.

Puis un jour un ami en commun m'a dit que tu avais fait enlever ton tatouage, ça m'a encore plus brisé. C'était notre trucs ce tatouage mais je vois maintenant que je le fais seul.
Quand tu me manque j'écoute tes chansons meme si ce n'est pas une bonne chose. La plupart parle de moi, tu avais pris l'habitude de les écrire à côté de moi dans notre canapé.

Quelque jour plus tard je t'avais vu au centre ville en chantant, il était temps d'affronter la musique, je n'étais plus ta muse, ce temps là est fini, mais j'en rêve encore, même si c'est impossible.

Tout mon argent ne peut pas m'acheter une machine à remonter le temps, un million de bagues ne peut pas te remplacer.

J'aurais du te dire ce que tu représentais pour moi avant que tu parte si rapidement.
Car maintenant j'en paye le prix. Et c'est affreux.

C'est seulement des années après cet accident de voiture que je le rends compte de mon erreur. Si seulement j'avais pu te garder près de moi avant que tu prenne le volant totalement bourré. Je t'ai tellement aimé et tu restera pour toujours l'amour de ma vie.

Dans une autre vie je t'aurais retenu.
Dans une autre vie.
Mais malheureusement ce n'est pas la réalité.
Car maintenant tu es décédé. Et je culpabilise. Beaucoup.

𝒐𝒔 𝒍𝒂𝒓𝒓𝒚 𝒔𝒕𝒚𝒍𝒊𝒏𝒔𝒐𝒏Où les histoires vivent. Découvrez maintenant