Pression de tirage de cheveux et photo compromettante

362 45 21
                                    

Eh oui, on commence dur avec normalement un mot au choix, mais j'ai choisit les deux. Comment dire... C'est un peu fifou sans l'être et je pense déjà que vous avez vos idées sur ce que ça va donner. Enfin, je vous laisse découvrir, tout de suite, la toute première case!

« Je dis qu'à un certain stade, on pourrait appeler ça de l'art, car, voyez-vous, sur cette image, on peut voir que la pression est parfaitement équilibrée, autant que le ratio peine et plaisir ressentit par l'individus chevauché. Cette façon de refermer les doigts, ces mèches qui se tendent juste assez sans pour autant rougir la racine des cheveux et qui viennent pourtant relever la nuque dans un mélange d'accompagnement et de commandement, de douceur et de rudesse, sans oublier cette expression de joie qui... Oh, j'en ai des frissons partout... On peut bien voir à cette lèvre gonflée et humide, à ces yeux clos mouillants, à ce dos creusé à la manière d'un chat et à cette bouche entrouverte, juste soumise à cette main maîtresse, que le doigté du dominant est bien plus qu'expert. On ne voit pas son visage, mais sa main dit tout. Elle dit qu'il est le meneur, qu'il est le dompteur... Qu'il... Qu'il... Ouh...

-Elle dit surtout qu'il s'agit de Dabi ! Bon dieu de merde, Hawks !

-Votre langage Madame la Directrice.

-On s'en carre le cul et les groseilles de votre langage à la con ! Écoutes-moi bien Keigo, je n'ai pas recueillit un gamin des rues pour lui offrir autre chose que de bien démarrer sa vie, mais clairement pas pour ça ! Mais qu'est-ce qui t'es passé par la tête bon dieu de merde ?!! À quel moment, tes hormones ont laissées place à ton cerveau pour une pauvre minute de réflexion ?!

-C'est une question rhétorique ?

-Ta gueule sale gosse ! J'aurais dû te castrer quand j'en avais encore le pouvoir ! Inviter ton amant dans ta suite préparée pour LE grand événement héroïque de l'année, pour la remise des prix, avec un bâtiment juste REMPLIT de journalistes et de paparazzis friands d'un petit bout de cul...!! Mais quelle idée de merde !!! Et qui est-ce que tu invites en plus ?!! DABI ??! Un vilain ?

-Techniquement, il est en réinsertion...

-Tu auras beau tourner ça dans toutes les positions possibles et inimaginables, tu n'arriveras pas à me faire croire qu'il s'agit d'une bonne idée.

-Après, niveau position... La notre était plutôt significative.

-Le fils d'Endeavor trop toasté et bercé contre le mur, on ne vous a pas appelé. Ce que j'aimerais savoir, c'est ce que nous faisons maintenant... »

Lorsqu'Endeavor vit l'aurore ce jour là, il se dit que c'était enfin le grand jour où il pourrait le clamer ; Son premier grand enfant, son grand bébé Touya était enfin rentré à la maison et avait accepté à demi-grognement son pardon. Lorsqu'Endeavor sortit après avoir lavé sa tasse de thé et s'être glissé dans ses chaussettes, il sut que rien ne pourrait lui enlever le sourire présent sur ses lèvres, que rien ni personne, pas même le pire des super vilains ne pourraient lui enlever la joie de clamer haut et fort la rédemption de son fils... Après l'avoir retrouvé bien sûr... Et si les vilains n'étaient pas les médias... Bien sûr... Et quand il saurait où était passé Touya... Aussi.

Il tomba des nues... C'était bien le mot... Des nues... Alors voilà où Touya était passé hier soir ? Et lui qui s'était imaginé le pire en s'endormant avant de recevoir un message de son grand garçon qui lui indiquait qu'il était toujours dans le bâtiment principale mais juste dans les étages du dessus. Au moins, dans un sens... Il était... Rassuré ? 

Au moins, son fils savait s'occuper.

« Parce que je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la photo de votre levrette inonde les rues de Tokyo sur tous les grands écrans disponibles... Ils ont même eut le temps d'en faire une pub de parfum !

-C'est du vol d'image ça !

-Offusquez vous autant que vous le voudrez Hawks, mais la Commission ne vous suivra pas sur ce coup. Hors de question que je ne m'abaisse à sauver une image déjà perdue où l'on vous voit faire les derniers vices. Juste, là, démerdez vous. »


Et voilà pour le premier chapitre! Oui, Endeavor est encore une grosse victime, mais eh! C'est ça qu'on aime, non? Alors? Qu'en avez-vous pensé? Parler de cul de si bonne heure, il n'y a que ça de vrai! Je vous laisse donc avec ce premier chocolat mes sucres, et on se retrouve vite demain pour le prochain, héhé! Le mot? Je vais vous le dire: Maison de poupée...

Ouh, mais quel suspens! 

Allez, je vous laisse et comme une signature...

Je vous dis à demain pour la prochaine case ou alors à tout de suite dans l'espace commentaire!

De gros bisous mes amours! (Non, je n'en fais pas de trop, juste un peu, terme nautique)

Sica


Calendrier de l'AvantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant