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POV de Bruno:

Notre Casita est détruite, les villageois arrivent et Abuela discute avec eux. C'est alors que on commence à savoir qui va dormir chez qui... et c'est mon tour...

Ils me regarde perplexe avant de discuter en eux, certains n'avait pas de place, certains n'aimait pas les rats et d'autres ne m'aimait pas...

- Pourquoi ne pas demandé à seniorita Érica? Demande un enfant.

Érica? De ce que je me souviens c'était une personne solitaire qui passait plus de temps dans les bois que au village...

- Pourquoi pas... dit Abuela un peu perplexe.

Abuela me montre le chemin, la maison était un peu cachée par la nature et mama ne semble pas très rassuré.

Nous arrivons devant la porte, la porte s'ouvre doucement laissant sortir une odeur de lavande.

- B-bonjourno...? Fit une petite voix.

- Bonjourno Erica, c'est moi Abuela... on aimerait te demandé quelque chose.

La femme referme la porte, elle ouvre la fenêtre pour faire sortir une forte odeur de lavande.

- Désolé, en se moment je travaille sur la lavande...

Elle ouvre la porte, la maison était lumineuse et très belle. Nous rentrons et mama semblait surprise comme si elle s'attendait à voir autre chose, c'était bien aménagé et grand. Il y a plus plante attaché et retourné sur le murs, surement pour les séchées.

La femme arrive vers nous après avoir aéré et remis le couvercle sur le chaudron. Elle était plus petite que moi, un peu ronde avec un couleur de peau assez pale. Ses yeux étaient vert et sont rapidement caché par ses cheveux lisses et long de couleur châtain, son visage avait des tâches de rousseurs et décoré d'une magnifique paire de lunettes noires. Elle portait une chemise blanche avec une longue jupe verte.

- Notre...Notre Casita s'est effondrée et pendant la reconstruction on aimerait si tu accepte, d'héberger Bruno et ses rats.

La femme me regarde puis regarde mama.

- Bien... j'accepte... mais je ne vous pardonne pas. Dis froidement la femme tout en regardant Abuela.

Abuela semblait ne pas beaucoup apprécier cette femme et inversement. Elle me donne quelques affaires avant de partir, j'étais tout seul... avec mes rats dans une maison que je connais pas et après avoir vécu pendant 10 ans caché dans les murs de ma maison...

La femme me regarde, son regard est plus doux que tout a l'heure.

- Donc c'est toi le fameux Bruno Madrigal... Je m'appelle Érica, disons que après ton départ... les personnes qui parlaient mal de toi se retrouver sans personne à rabaisser donc ils m'ont prise pour cible.

- Désolé...

- Aller viens je vais te montré ta chambre. Dis elle en commençant à partir.

Je la suis et elle m'amène à une chambre plutôt vide et propre.

- Je mange vers 19 heures mais si tu as faim, j'ai toujours quelque chose préparé à l'avance. Bon je te laisse. Elle ferme la porte derrière moi.

Je regarde un peu partout et laisse mes rats découvrir la pièce, je m'occupe un peu avant de descendre à 19 heures. Elle avait mit deux assiettes, je la regarde tandis que elle ne m'avait pas encore remarquer. Elle finit de cuisiner avant d'écrire quelques dans son livre.

- Donc si je fais bouillir la lavande avant de la plongée dans l'eau froide, l'odeur sera plus forte...

Elle écrit avant de sursauté et se touche le visage.

- Où est ce que j'ai mis mes lunettes...?

Je vois ses lunettes sur la table et les prends avant de me diriger timidement vers elle, elle sursaute en me regardant. Je viens lui tendre ses lunettes avant qu'elle les prends doucement et les mets tandis que nous nous sourions mutuellement.

- Merci beaucoup. Elle regarde son livre. J'écris très mal sans lunettes... bon j'espère que tu as faim avec tes petits compagnons! Dit elle en caressant noisette un de mes rats qui était venu sur son cahier.

Elle sourie en caressant Noisette, elle était très douce. Elle laisse Noisette et va remplir les deux assiettes.

- Si tu as encore faim hésite pas a en reprendre.

Je hoche la tête tout en l'observant, ses joues sont légèrement rosé et ses lèvres... sont... je détourne le regard et m'installe timidement. Elle vient me rejoindre avant de mangé silencieusement, elle semblait beaucoup réfléchir et tellement réfléchir quelle n'avait pas remarqué que ses lunettes étaient a deux doigts de tomber.

- E-Érica? Tes lunettes vont finir dans ton assiette...

Elle sursaute et remet ses lunettes en rougissant.

- Désolé j'ai jamais mangé avec quelqu'un d'autre alors les conversations c'est pas... mon point fort...

- Je viens de sortir de ma cachette après 10 ans alors je comprends... je dois aussi m'y mettre.

Elle sourie et on mange dans un silence joyeux. Sa cuisine était délicieuse et je me suis resservie, elle semblait heureuse que j'apprécie sa cuisine alors j'en profite. À la fin du repas, elle me donne un petit cas croute pour mes rats.

Je monte alors dans ma chambre pour me pose et donner à mangé au rat. Je ferme la lumière avant de m'allonger et de m'endormir tout doucement.

Le TrèfleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant