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Mars 2018

France

PDV VICTORIA

-Ce soir on reçoit Victoria Durant notre triple médaillé olympique. Bonsoir.

-Bonsoir. je souris. Merci de me recevoir.

-Félicitation pour ces récompenses, vous les avez?

-Toujours, j'ai du mal à les quittés. 

Elles passent dans les mains présente autour de la table. 

-C'est une arrivé plus que surprenante sur la scène international. Il y a encore quelques années vous était inconnu du grand public.

-Oui. je souris. Et pourtant, le snow fait parti de ma vie depuis toujours. J'étais simplement resté éloigné de la planche.

-Effectivement, c'est votre soeur Julia Royez qui a eu plusieurs titres. 

-Oui, Julia a toujours était un modèle pour moi.

-C'est un atout d'avoir une soeur avec déjà un nom dans le milieu.

-Pas tellement. On ne m'a pas ouvert de porte, j'ai du faire mes preuves, et je pense que j'ai plus galéré que quelqu'un d'autres. C'est dur d'être la petite soeur de Julia Royez.

-Elle est décédé il y a trois ans maintenant d'un tragique accident de voiture. Est ce qu'elle savait que tu faisais ce sport? 

-Non, du tout. Julia est parti j'était une toute autre personne. J'étais une jeune fille de 15 ans avec quelques kilos en trop et qui détester le sport. Pour moi aller voir ma soeur en compétition c'était surtout manger des bonnes choses. je souris. 

-Son décés à était l'élément déclencheur? 

-J'ai eu la rage qu'elle ne puisse pas aller au bout de ces rêves. Elle aurait détester ça. Julia c'était le genre de personne à vouloir toujours plus et à toujours croire en elle. Impossible ne rentrer pas dans son vocabulaire.

-Donc le snow c'était pour lui rendre hommage? 

-Oui début oui, c'était pour Julia. Entièrement, pour Julia. Puis j'ai compris pourquoi elle aimait ça et c'est devenu ma drogue. 

-C'est un hommage plus que rempli. Vous pensez qu'elle serai fière de vous?

-Je l'espère. je souris.

-C'est au travers les journaux que le grand public à eu connaissance des deux drames votre vie. Le premier on l'a évoquer c'est celui de décédé précipité de votre soeur. Le second, c'est l'assassinat de votre mère. 

-Oui. 

-Elle a été victime de votre père. Rappelons le, le procés est prévu pour cette année. Jusqu'à présent il est présumé innocent.

-Oui.

-Ce second décès vous a forger?

-Celui de ma soeur m'a donner la rage. Celui de ma mère ma achever. Toutes les deux sont parti trop tôt, je me suis retrouver orpheline et il est hors de question de je m'arrête de vivre. Elles n'auraient pas voulu cela, alors j'en veux, et ces médailles, ces jeux c'est les leurs avant les miennes.

-Beaucoup de rumeurs circule sur son décès de votre mère. Que pensez vous de tout ça.

-Les français aiment les ragots, ils les aiment encore plus quand il y a une histoire de famille. Je ne veux pas m'étendre sur le sujet, l'homme qui a tuer ma mère est encore innoncent. Je sais ce qu'il s'est passé, je connais les faits parce que je les ai vu. Mais je ne connais pas les raisons. Je ne pense pas qu'il faille vraiment en parler. Je veux simplement qu'on retienne que ma mère était une femme incroyable, et qu'elle nous a aimer ma soeur et moi. J'aime mon père et je l'aimerai toujours. Comme toute petite fille il est mon héros. Mais mon père est mort en même temps que ma mère. 

-C'est une distinction très mature. Je l'ai bien compris, ces décès ont forgé votre caractère et votre esprit de compétition. Mais malgré le fait que vous vous sentez orpheline, je reprend vos mots, vous êtes incoryablement bien entouré. Je vous laissez regardez notre petite surprise.

Je regarde la télé, c'est chez moi, dans mes montagnes chéries. C'est ce que je considère comme ma famille. Ce sont ma famille et les habitants de mon petit bled.

-Wesh Vivi. dit Moh. En direct du studio, on a regarder tous tes passages ici. Et putain qu'on a stresser, mais on savait que t'allais le faire. On est tous grave fier de toi et on sera là dans 4 ans pour te regarder tout niquer encore une fois.

-Je savais déjà que t'allais le faire. me dit Idriss. Je suis grave fière de ma petite nana. Et je sais que ce n'est que le début. 

Je souris.

-C'est un beau clan.

-Très beau clan. je souris. Je n'y serai pas arrivé sans eux. Ils sont toujours là quand j'ai un coup au moral. Et je les en remercie. J'ai la meilleure famille et le meilleur petit ami.

-C'est celui qu'on a vu en dernier. Il a dit c'est que le début, mais si 3 médailles olympique c'est que le début, c'est quoi la suite? 

-Il faut lui demander. je dis sous les rires. Non, la saison est terminé. Je vais finir mes quelques obligations et partir en vacances bien mérité. Et on recommence la saison prochaine avec les compétitions et garder ma place. 

-Votre autre ami à parler des prochains JO, c'est déjà en projets?

-J'aurais les JO en projet aussi tard que possible. Il faudra me tirer de la piste pour que j'arrête ça. 

On a terminer le direct et j'ai pris le uber. Je suis rentré chez Idriss et Hakim. Seul mon mec est là, dans le canapé.

-T'étais canon à la télé.

-Merci. Tu rendais bien aussi.

-C'était pas sport ce qu'elle ta poser comme question.

-Sur Julia et mes parents?

-ouais. T'étais là pour les médailles pas pour ça. 

-Mais c'est grâce ou à cause de ça que j'ai ses médailles. Je préfère qu'on m'en parle, plutôt que les gens en parle sans connaitre la vérité.

-Je ne savais pas que t'avais vu ça.

-Je ne veux pas en parler. J'en ai parler à personne, je suis pas prête. 

-Je ne te forcerai pas, mais je suis là.

Je souris. 

-J'ai le meilleur des mecs.

-Je sais.

Il sourit et m'embrasse. Sa mains passe sous mon haut mais on s'arrête quand la porte claque. Hakim.

-J'ai pris des grecs.-

-Oh putain, je t'aime toi.

On a graille devant la télé et au final mon reuf est parti chez une meuf. Ca m'arrange, j'aime avoir l'appart pour moi quand j'ai ma meud.

Lui ou rien FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant