Lui ou rien FRAMAL

24

Mai 2018

France

PDV VICTORIA

-J'aime pas. je dis à Idriss.

-Tu sais qu'on a quasiment fait toute nos visites? il me dit. On trouvera pas un truc comme chez toi. On aura jamais un beau grand chalet.

-Je sais. Mais c'est beaucoup trop petit. On passe nos vies à la maison, ce n'est pas assez grand. Je n'ai même pas de quoi faire une chambre pour ma famille.

-Donc on ne va pas à la prochaine. il me fait remarquer. C'est trois chambres. 

-Ouais.

Il soupire et prend une autre route.

-T'es sur de vouloir t'engager là dedans avec moi?

-Tu me fais une crise existentiel? 

-Non, je me pose la question. Tes réactions me font douter.

-Bien sur que je veux une maison avec toi abruti. Mais je veux me sentir chez moi, ça na pas était le cas jusque ici.

-T'es épuisante.

-C'est pour ça que tu m'aimes.

Il marmonne et je le frappe. Il se gare devant notre dernière visite de la journée. C'est directement l'actuel propriétaire qui nous fait visité.

-Bonjour. 

-Bonjour, entré rester pas là. Damien enchanté.

-Victoria et mon compagnon Idriss.

-Vous avez trouvé facilement oui? 

-Je vous visité alors. Tout est encore meublé, on déménage dans une semaine.

-D'accord. 

-Votre recherche n'est pas urgente? 

-Non pas encore. dit Idriss.

-C'est un ancien immeuble sur trois étages entièrement retapé. C'est le salon salle à manger.

L'avantage d'avoir encore des meubles c'est qu'on peut se projeter plus facilement. 

-Quelle superficie? demande Idriss.

-150 m2. 

C'est largement plus que suffisant, je souris devant la cheminé. 

-C'est à bois?

-Oui. On s'est renseigner, on peut la transformer en granulé.

Je grimace, une vraie cheminé ça me va bien. On a continuer la visite dans la cuisine.

-Elle a était rajouté tout cette verrière, elle est toujours lumineuse, quel que soit la saison.

-D'accord. je dis. On peut regarder?

-Bien sur.

On ouvre les placards, Idriss pose des questions pour faire le mec. Mais je sais qu'il s'en fou du type de plaque. On a vu la buanderie, rien de fou mais suffisament grande. 

-Et le jardin. 

Mon premier reflexe est de regarder le vis à vis, ce que semble avoir vu le propriétaire. 

-Ma femme n'aimait pas le vis à vis. Elle a râler quand elle a vu l'immeuble. L'été, l'arbre couvre entièrement la vue sur le jardin. Mais on vient d'apprendre qu'il va être entiérement détruit pour faire un parc. 

-C'est une bonne chose.

-C'est un atout pour vendre, je ne vous le cache pas.

On est monté au premier.

-Au premier nous avons 4 chambres, deux sont des bureaux et les deux autres chambres de nos fils. Toutes on la même superficie 30 m2 et une salle de bain.

-D'accord.

C'est tout ce qu'il y a deux plus banale, ce sont des chambres et un bureau. Au second on retrouve le même agencement avec 4 chambres et dans les combles la chambre parentale. Avec sa salle de bain et son dressing. 

-Vous voulez refaire un tour? 

-Oui. je dis.

-Je vous laisse faire, je vous en pris.

-8 chambres. me dit Idriss. 

-Laisse moi faire ma visite, selon moi. 

-Je vous suis. 

-Au dernier, notre chambre.

-D'accord. 

-Ici 4 chambres. Ma salle de sport ici. Et là, ton studio d'enregistrement. Ce qui nous laisse deux chambres. 

-Okay. Et les autres chambres? 

-Pour l'instant une pour la cacahuète, et on les remplis au fils des années. 

-Doucement, je ne suis pas un mec facile.

-C'est pas déconnant. On sait en plus que les gars vont squatter ici. 

On a refait les piéces et on s'est dit qu'une chambre qui ferai office de dressing, connaissant notre amour pour les fringues. 

-Vous avez refait le tour? 

-Oui. 

-Vous nous avez parlez de vos fils. dit Idriss. Ils sont scolarisé dans le coin? 

-Oui à l'école public au bout de rue. L'enseignement et les fréquentation y sont très bonne. Vous prévoyez d'avoir des enfants?

-C'est déjà en route. sourit Idriss. 

-Mes félicitations. Cette école est vraiment bonne, et le quartier aussi en général. Le parc sera vraiment un plus.

-Pourquoi vous partez? Si ce n'est pas indiscret.

-Ma femme à était muté à la montagne.

-Vous allez voir, c'est génial.

-Venant d'une médaillé olympique, je ne peux que vous croire.

Je souris.

-Quel prix est en vente le bien? dit Idriss.

-802 999 euros.

-D'accord.

Je regarde Idriss et on valide. 

-Nous vous faisons une offre au prix de vente.

-Je vais vous donnez les coordonnées de notre banquier. Nous l'accepterons, on a vraiment besoin de cet argent pour partir. 

Il nous donne les coordonnées et on rentre à l'appart. On a appeler le banquier et enclencher la procédure pour faire une offre.

-Tu vas au studio? je demande à Idriss.

-Non, j'ai dit au gars que j'arrêter d'y aller le soir. 

-Pourquoi? 

-Parce que tu taff la journée, le soir on est ensemble. 

-T'es sur? Ca ne me dérange pas?

-Je suis plus seul, on va avoir un enfant. C'est plus le rap ma priorité, c'est vous deux. il dit en m'embrassant.

-C'est fou dès qu'elle t'entend, elle bouge.

-Tu te met à dire elle toi.

-Oui, si même toi tu dis que t'as une fille, je te crois. Une petite Akrour. Elle est pas prête avec Hak en parrain.

-On en a pas parler, on met Hak et Anouch?

-Ouais. Ca te va?

-Ouais.

Hakim n'est pas rentrer ce soir, ce qui nous a bien arranger. J'aime mon beau frère, mais j'aime encore plus me retrouver seule avec mon mec.