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-De toute façon j'ai pas d'autre robe.
-T'es magnifique mon coeur, ne cherche pas plus loin.
-D'accord.
On a pris la voiture pour aller en direction de la mairie. C'est sans trop grande surprise qu'on est bien en retard, mais c'est pas grave. On est là et c'est le principal. On rentre dans la piéce et on s'installe. Théo rentre au bras de son reuf, et Claire arrive au bras de son père. C'est une cérémonie qui leur ressemble, simple mais pleine d'amour. Idriss a ricanner mais ma passer un moucheoir.
-Un jour ce sera nous. il me chuchote quand Théo à la bague au doigt.
Je souris. Ils se sont embrasser sous nos cris. On les a attendu dehors et c'est un très beau couple. Arrivé dans la salle qu'ils ont loué m'ont mec m'engueule pour que je m'assois.
-Je vais faire un meurtre. me dit Adèle. J'ai l'impression d'être handicapé.
-On est deux. Je ne dors même plus dans mon lit parce qu'il ne veut pas qu'on monte tous les étages.
-Ils sont pas possible.
-Ouais, mais ils vont être de bon père.
-J'ai peur pour Doums.
-De quoi?
-Qu'il continue de fumer avec le petit.
-Faut pas. Doums est un bon gars, il fera la différence. Il ne fumera pas avec le petit près de lui.
-Comment tu peux en être sur?
-Je le sais. je souris. Doums est un grand enfant, mais il va se calmer quand il l'aura dans les bras.
-J'espère. Idriss est aussi gaga qu'il en a l'air?
-Oh que oui. La chambre est quasiment fini. Il lit beaucoup et il se ramène toujours avec un cadeau. Il flippe d'être comme son père.
-Un mauvais père?
-Ouais. Il ne m'en parle pas, mais je le connais par coeur.
-Il a tord, il va être un bon père. C'est ce que je m'efforce de lui dire. Mais il est tétu.
-C'est pas un Akrour pour rien.
-Et ma fille va en être une.
-Tu ne flippe pas?
-De quoi?
-Tu va prendre 19 piges, t'as un bébé qui arrive, t'es proprio.
-Et je reprend mes études en septembre. Des meufs y arrivent à 15 ans avec beaucoup moins de moyens que moi. J'ai plus peur de ne pas être à la hauteur pour Idriss.
-Pourquoi?
-Je sais pas, j'ai tellement peur qu'il trouve mieux que moi.
-Tu ne vois pas comment il te regarde. Il est fou de toi. Regarde le.
Je cherche mon mec, il me regarde en souriant.
-On dirait un gmain qui regarde sa glace. Il est fou de toi, n'ai pas peur.
-J'espère, parce que je ne veux pas le perdre.
-Tu ne le perdra pas. Pour moi vous êtes les prochains mariées.
-On va attendre un peu quand même. je souris.
Il est l'heure de passer à table, j'ai souris quand j'ai senti des lévres dans mon cou.
-Ca va? demande mon mec.
-Oui.
-Elle dort?
-Ouais.
Il se met à mes côtés et me sourie. Bordel ce qu'il est beau.
-T'es sur de vouloir rentrer? il me demande.
-Je vais être mieux chez ma tante à voir du monde que rester ici.
-Je descend avec toi. Je ne veux pas que tu voyage seule.
-Tu vas pas faire un aller retour en train?
-Si.
-Tu sais que je descend avec elle? dit Anouchka.
-Tu vas ou? demande Ken.
-Cet été, je rentre chez mes parents.
-Ah oui. dit son copain.
-Je ne sais pas si je peux te confier ma femme et ma fille.
Je souris, j'aime entendre ça.
-Va te faire foutre. Je la connais depuis bien plus longtemps que toi.
Je sais qu'il a confiance en elle, mais il a peur qu'il nous arrive un truc. Il va préférer venir avec moi et faire l'allée retour. Mais j'aime ce côté protecteur, j'aime vraiment. J'ai vraiment le meilleur des mecs.
C'était déjà sure, on a passer un très bon repas tous ensemble. Nos marié ont ouvert le bal dans les bras de leurs parents. J'ai chialé mes morts quand j'ai vu ça.
-Toujours à chialer vous deux. comment Hakim à ma cousine et moi.
-Ta gueule. elle dit.
-Je suis enceinte c'est la cacahuète qui pleure pas moi.
Ils rigolent mais c'est pas grave. Tout le monde s'est lever pour finir la danse avec eux.
-Ma madame? Voulez vous dansez? me demande mon mec au creux de l'oreille.
-Avec plaisir.
On est aller rejoindre tout le monde, on rigole quand on voit qu'on est trop loin à cause de mon ventre. Les gars ont fait la fête juqu'au petit matin, je suis rester à table avec Adèle et on a refait notre monde en sirotant du jus.
