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Aout 2018

France

PDV VICTORIA

Je suis de retour à la maison, sur Paris. J'ai été transférer en hélico pour pouvoir être chez moi. Idriss est rester avec moi, bien que je voulais qu'il aille sur les dernières dates. Notre maison est transformé, on vis dans la salle ce qui fait qu'on a un putain de lit. Je passe ma vie là dessus et sur le matelas anti-escars. Mais le point positif c'est que je passe ma vie ne pyjama et j'ai eu un chien. 

C'était clairement un caprice de ma part mais mon mec est faible. 

-Wesh y'a du monde?

L'entourage arrive. 

-La plus belles de femmes enceintes. dit Ken.

Je le tue du regard ce qui le fait rire. J'ai le droit à un câlin de chacun d'eux.

-Comment va ma niéce?

-Elle est déjà privée de sortie. je dis.

-C'est bien.

-Ca va toi? me demande Théo. On t'as pris des pic nutellas.

-Je vous aimes vous. 

-Ca sent le réglement de compte. dit Moh.

-Reprenez votre pote. je dis. J'en peux plus. 

-Il prend soin de toi. dit Doums.

-Il voulait que je pisse dans une bassine.

-Il force. il se corrige sous les rires.

-Ce serait Adèle, tu l'aurais mennoté à un lit. 

-Un revenant.

Il a pris ces reufs dans ces bras avant de me demandé si je voulais un truc. Ils nous ont raconté la tournée et franchement ça me fait chier que mon mec n'y soit pas aller.

-Maman et papa compte monter pour ton anniversaire. me dit Anouchka.

-Je ne veux pas d'anniversaire. je dis.

-Vi. 

-Non. je dis. 

-Pourquoi? demande Moh. On s'en fou on te fait ton anniv dans le lit.

-Non. je dis fermement. Je ne veux pas faire mon anniv.

-C'est à cause de Julia? dit Anouhka. Parce que t'es plus vieille qu'elle.

-Je prend 19 ans, y'a rien d'exceptionnel.

-Julia aurait voulu que tu le fasse. Tu devrai le faire. 

-C'est facile de parler quand on a encore son frère. je répond. Je ne le ferai pas. J'en ai ras le cul de savoir ce que Julia ou maman aurait aimé. T'en sais rien, personne en fait rien. 

-T'as quoi? râme Anouchka. J'ai rien dit de mal, t'as pas à lever le ton et me parler comme ça.

-J'ai quoi? Tu te fou de ma gueule? je dis en me redressant. T'as vu quel jour on est? 

-On est le 28 août. dit Théo. 

Ma cousine se décompose.

-Vi.

-Ta gueule. je dis.

-Reste assis. dit Idriss.

-Ta gueule, parce que je vais tous vous monter en l'air, un par un. Vous me cassez les couilles quand vous voulez mais aujourdh'ui vous fermez tous votre grande gueule.

J'ai était dans une des chmabre du premier et j'ai pris soin de claquer la porte.

PDV IDRISS

On a rien compris à ce qu'il s'est passer. On regarde tous sa cousine pour comprendre.

-Ca fait deux ans que sa mère est partie et 4 ans pour Julia. J'ai oublié putain. 

-Le même jour? demande Hugz. 

-Ouais.

Ils sont parti et je suis aller voir ma petite amie. Elle est au premier, et elle pleure dans un de nos lits d'amis. Je la prend dans mes bras.

-Pourquoi tu ne m'as rien dit? je lui demande.

-Je suis horrible avec toi?

-On s'en fou de ça. je dis. T'aurais du me dire.

-Je suis fatigué d'avoir mal de leur absence. 

-J'imagine bien.

-Je t'assure, je ne t'aurais pas trouvé, je ne sais pas ce que j'aurais fait?

-Tu l'aurais fait quoi qu'il arrive, t'es une battante. Je change rien dans l'histoire.

-Si. Tu me donnes une raison de plus pour me battre et avancé. J'ai été méchante avec Anouch.

-T'as été trés gentille. Tu n'as pas vu Hak les premières années ou grand père est mort. C'était pas beau à voir.

-J'ai l'impression qu'on les oublie.

-C'est qu'une impression. Tu sais, je trouve que ça manque de photo chez nous. Pourquoi on ne méterai pas des photos de vous? D'elles?

-Je ne veux pas que ça deveienne un sanctuère.

-Simplement des photos pour donner de la vie à notre chez nous.

-Pourquoi pas. 

-Tu sais ce qu'on va faire? je dis.

-Quoi? Je vais nous chercher un grec et on s'installe devant la télé.

-On va bruler ce lit.

-Ca me va bien. 

On est redescendu et je suis aller nous prendre à graille. On s'est mis devant la télé comme chaque soir, ma femme vient contre moi et ma main va sur son ventre.

-Elle bouge. je souris.

-Ouais, elle est en forme.

-Ils nous faut un prénom.

-Je sais. On repousse ça depuis un moment.

-Grave.

-T'as des idées? 

-J'ai fais une liste.

Je prend mon portable sous ces rires.

-Alors : Naëlle, Nina, June, Emily, Rosa, Inaya.

-Je t'aime, mais c'est éclaté.

-Okay okay. C'est quoi tes idées.

-J'en ai qu'une;

-Dit moi.

-Esmée. 

-Esmée?  Pourquoi Esmée? 

-Déjà parce que ce n'est pas courant. Et parce que c'était le deuxième prénom de maman et de June.

-Esmée Akrour? 

-Esmée Akrour. elle répête.

-Ca claque. je souris. Ma cacahuète, t'en penses quoi? 

On rigole quand elle donne un coup de pied.

-Je crois qu'on valide tous les trois Esmée.

L'avantage du lit dans le salon, on peut le squatter jusqu'à s'endormir dedans.



Lui ou rien FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant