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Décembre 2018

France

PDV IDRISS

L'année dernière j'ai pris la route avec mes potes pour aller quelques semaines dans un chalet. 

Cette année j'ai pris la route avec ma copine, notre fille, Anouchka et Ken. Et franchement leur aide n'était pas de refus, on a rythmé notre voyage en fonction des arrêts biberons. On est dans le chalet de la dernière fois. Sa tante nous a installé ici pour qu'on soit plus à l'aise. Je ne vous dis pas les cris que c'est quand ils ont enfin vu la petite. 

-Vic, t'as mis ou sa robe.

-Dans l'armoir. 

-Passe là moi.

Elle arrive en serviette et me donne la robe.

-Met lui bien les collants.

-Elle te cherche.

Elle revient et embrasse sa fille. Elle s'est préparer et j'ai fini de préparer Esmée. J'ai enfilé la chemise et on est prêt. On est monté tous les 5 pour aller chez Rosa et son mari. 

-Voila la plus belle.

-Tonton.

-Pas toi, ta fille.

Je rigole alors que Victoria tire la gueule. 

-Tu vois, ta une fille, j'existe plus. dit Anouchka. Qu'est ce que ce sera quand j'aurais un enfant.

-On voudra que du gosse. ris sa mère.

-Tu crois que je fais comment moi? demande Nathan. Tout pour mon fils. 

On s'est moquer d'eux et de leurs crises de jalousie. 

-Le dit pas. me dit Ken. Mais j'aime cette mif.

-Moi aussi. je souris. 

Je ne vais pas voir ma fille de la journée, elle est dans les bras de Jean et ne va pas y bouger de si tôt. 

-T'as une course quand?

-Mi janvier. dit Victoria.

-Je ne savais pas qu'elle ne pouvait pas reprendre le sport direct. râle Anouchka.

-Bien sur que si. dit sa mère. Il y a un temps, elle a accoucher.

-Et je suis pas prête de recommencer. elle râle.

L'accouchement et le post-partum de ma copine n'a clairement pas était de tout repos. Je pense que l'absence de sa mère ne l'a clairement pas aider. 

-Tonton, je pourrais donner le biberon à Mémé?

-Si tu veux. je répond.

-Ouais trop bien.

-Est ce qu'on ouvrirez pas ces cadeaux?

-Ouais. C'est pour moi tout ça?

-Nan, il y en a pour Esmée.

Victoria à notre fille dans les bras pendant que son oncle et sa tante distribue les cadeaux entre les deux.

-Tout ça? dit Victoria. Vous abusez, elle ne se rend compte de rire.

-C'est pas une raison, on en a autant pour nos deux petits enfants. Allez, on ouvre. 

J'aide Victoria à tout ouvrir et ils ont clairement craqué, je ne sais pas comment on va pouvoir ramener tout ça sur Paname. Mais vu leur regard ça leur à fait plaisir. Esmée c'est mise à gigoté, c'est l'heure du biberon. Je suis aller le faire, et Jules est déjà installé. Victoria lui a mis la petite dans les bras et le bavoir.

-Tiens. je dis. Tu le tiens bien droit. Il faut que la petite bulle là, soit toujours pleine de lait.

-D'accord tonton.

Je lui ai tenu au début et il l'a pris le coup. On a eu le droit au cadeau pour les adultes. J'étais géner mais ils m'ont offert un cadeau comme l'an dernier. 

-C'est bon, elle a tout bu.

Victoria dans ces cadeaux, je la prend dans mes bras et lui fait faire son rot. On rigole quand on entend une mitraillette de pets provenant de sa couche. 

-Ca va mieux ces colique? demande sa tante.

-Oui, c'est beaucoup mieux. 

-Tant mieux, t'en faisais quand tu étais petite. Ta mère avait du mal à te calmer.

On est passer à table et étonnement on reprend tous nos places de l'an dernier. Esmée dort dans son berceau. 

-Comme l'an dernier, un plat sans porc et sans viande. 

-Merci. on répond.

-C'est quand même drôle. dit Pierre. L'an dernier, on invite nos locataires. Et cette année, on se retrouve avec deux gendres et une petite fille en plus.

On rigole, c'est vraiment de l'expresse. Comme l'an dernier on a fait la vaisselle et on est descendu au chalet vers 19 heures. Ken et Anouchka étant parti plus tôt pour aller à Nice on s'est retrouvé tous les trois.

-Ca m'a manquer. dit Victoria.

-Quoi? 

-De nous retrouvez qu'à trois.

-Je sais, moi aussi. 

Esmée à encore faim, j'ai donner le biberon et nous on a graille les restes du repas.

-Elle est pas fatiguée. dit Victoria.

-Elle grandi trop vite. Avant elle manger et dormait. Et là elle mange et madame nous regarde. Je suis pas d'accord Esmée.

-Tu vas l'engueuler? 

-Pourquoi pas? Je suis en droit, c'est ma fille. Tu vas arrêter de grandir Esmée. Tout de suite.

Elle me regarde et me sourit.

-Sérieux? je dis. T'es déjà insolente?

Elle pousse un petit cri.

-Elle se fou clairement de ta gueule.

-Bien, t'es privée de sortie.

-Je crois plutôt qu'il est l'heure d'aller au lit. dit Victoria. Je vais la mettre en pyjama.

J'ai débarasser notre table et je suis monter rejoindre les deux femmes de ma vie.

-Elle dort?

-Oui. 

Je me penche et j'embrasse ma fille.

-Bonne nuit Amira, je t'aime fort.

-Laisse là, tu vas la réveiller.

Je met la vidéo et on est parti. Je suis aller dans le lit, et j'ai flaner sur mon portable.

-Mon coeur?

-Quoi? 

-Tu veux un massage? 

-T'es pas morte?

-C'est censé être le moment ou tu me regardes avant que je te nique ta race.

Je lève mes yeux vers elle, et je souris automatiquement.

-Juste un massage? je demande.

-Je préfère ça.

-C'est nouveau?

-Oui.

-J'aime. J'aime beaucoup. Mais j'aimerai encore plus sans rien.

-Ne me le casse pas.

-J'oserai pas. je dis en embrassant son cou.

Première fois qu'on s'envoie en l'air depuis que la petite est née. Et putian que ça m'a manquer. 

Lui ou rien FRAMALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant