Chapitre 4

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Flashback :
C'était le 26 août, j'étais chez moi, dans ma chambre, entrain de dessiner quand j'entendis des cries au rez-de-chaussée. Ces cris venait de ma mère . J'ouvris la porte de ma chambre tous doucement et descendis les escaliers avec une peluche dans les mains. En descendant la deuxième marche de l'escalier j'entendis un coup de feux suivis du cri de ma mère. Je ne bougeai plus, je passa ma tête par-dessus le canapé et je vis la pire chose qu'une enfant de 5ans aurait pu voir. Le corp de ma mère inanimé sur le sol et mon père à côté avec un pistolet dans la main. Je ne disais pas un mot et je fis aucun bruit, ma peluche m'échappa des mains et mon père tourna sa tête vers moi. Il s'approcha et me pris dans ses bras. Ses mains étaient recouvertes de sang. Je ne quittai pas le cadavre de ma mère des yeux et les larmes coulèrent sur mes joues

Mon père : J'étais obligé.

Je pleurai dans les bras du meurtrier de ma mère. Je m'écartai vite de lui et alla m'enfermé dans ma chambre. J'avais laisser ma peluche dans les escaliers. Mon père l'a ramassa et toqua à la porte de ma chambre. Aussi bien que je me souviennes, je pleurai tellement que ma vu se brouilla. Ma mère était partie, me laissant seule avec mon psychopathe de père. A l'âge de 7ans, mon père et moi commencions à vendre quelques drogues à des droguer dans les ruelles. Notre affaire marcher bien jusqu'au jour où j'ai merdé. 1mois avant que Leslie vienne me chercher, mon père avait une grande offre avec un mafieux et il m'avait demandé d'aller chercher la drogue chez les mafieux. Comme toute personne raisonnable j'aurai refusé mais j'avais peur de lui. Alors j'y suis allée, seule, dans une ruelle vide où j'aurai pu me faire violer carrément. Je marchai avec le fric sur moi. Une voiture était garée et bloquer l'accès à l'extérieur. Deux hommes sortirent du véhicule.

? : Victor a tellement pas de couilles qu'il a envoyé sa petite venir chercher les drogues.

Ils rigolèrent.

Moi : Sa « petite » comme tu dis n'a pas ton temps. Ramènes les drogues.

L'homme me souria et alla chercher une sacoches. Il me la jeta. Je l'ouvris et vis qu'il n'y avait que la moitié des drogues.

Moi : Tu te fous de moi ? Il manque la moitié du butin.

? : Je sais mais tu l'auras que si tu nous payes.

Je leva les yeux aux ciel et jeta une liasse de billets par terre. L'un des deux hommes ramassa la liasse et vérifia si il y avait tous.

? : Il manque 30 dollars.

Moi : Quoi ? Tu m'avais demandé 200 dollars !

? : J'ai changé d'avis.

Il jeta la liasse par terre et s'approcha de moi.

? : Je veux 2000 dollars.

Je fis un petit rire et lui mis une énorme gifle. Il rigola et fit un signe à ses hommes de partir.

? : Je crois pas que John va être content de savoir que sa gamine vient de tuer l'un de ses dealeurs.

Moi : Je n'ai tué aucun d'entre vous.

? : Vraiment ?

Il sortit un pistolet de sa poche.

Moi : Qu'est-ce que tu f...

Je ne put finir ma phrase qu'il se tira une balle dans la tête. Son sang éclaboussa sur mon visage. Je regardai son corp tomber en arrière et ses hommes partir en me laissant seule ici. Je savais que si je rentrer chez moi, mon père me tuerai de savoir qu'un homme est mort par ma faute. Je décida quand même de rentrer. En rentrant chez moi, mon père m'attendait devant la porte, il était énervé. Il était donc déjà au courant.

Will we ever learn ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant