TOME 1: Chapitre 25

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                                LYA







Putain de merde...

Mais où est passer ce con !

Je l'avais pourtant tué ! Il n'a pas pu s'échapper seul.... mais qui est l'alibi ?

Au même moment, mon téléphone bipa. Je le sorti sous le regard de Rose qui avait l'air contrariée.

DE ALFREDO: Tu t'amuses bien à me chercher ? Ton séjour à était tranquille ? Tu dois te demander comment je suis vivant ? Cherche la réponse par toi-même ;)

Je fermai avec colère ce message, remis mon téléphone dans mon manteau et regardai Rose.

- Je te promet qu'il était là hier. Se défendit-elle

A l'intérieur de moi, je bouillonnais, j'avais envie de hurler, il n'a pas pu s'échapper, c'est impossible.

Mes muscles se contractèrent, mon poing se ferma et je poussai un cri de rage avant que Rose ne m'ouvre la main pour me montrer que mes ongles avaient laisser des marques sur ma main, j'en saignai.

- Va me chercher toutes les informations compromettantes qui peuvent me servir à retourner tout ces traitres ! Lui ordonnai-je

Elle hocha la tête et partit vers les escaliers qu'elle monta avec vitesse, puis elle disparut et je me retrouvai seule, devant cette pièce où Alfredo s'était échappé. Je fermai la porte et remonta les escaliers jusqu'à arriver devant la porte de la salle où était enfermé Ernesto. Je l'ouvris et me dépêcha d'entrer, je refermai la porte et parti vers ce dernier qui venait de se réveiller avec peur.

C'est bien, aie peur de moi

- Raconte moi tout ce que tu sais. Lui ordonnai-je avec colère.

- Je... je ne sais.... strictement rien.

Je rigolai nerveusement et m'approcha de lui à grand pas, une fois arrivée devant sa chaise, je lui pris le menton mais il s'en défit.

- Qui t'as dis de te défaire de ma poigne ? 

Il ne répondit rien, je lui repris, il ressaya de s'en défaire mais je ne le laissa pas faire. Je l'obligeai à me regarder et ses yeux plongèrent dans les miens.

- Bien, je vais te poser une question, si tu ne détourne pas les yeux, cela voudra dire que tu as raison et je ne te ferai rien, or, si tu détournes les yeux, tu prendras une balle dans ton corps. Le prévins-je

Je vis de l'effroi dans ses yeux, mes lèvres s'incurvèrent en un petit sourire.

- Commençons tu veux? Dis-je sans attendre de réponses. Tu dois savoir que ,normalement, j'ai tué Alfredo n'est-ce pas ?

Je le vis souffler quelque chose mais aucun son ne sortit de sa bouche, il était donc impossible pour moi d'entendre. Je força un peu plus ma poigne et il gémit de douleur.

- Mais ! commençai-je, il vient de s'enfuir alors qu'il n'a pas d'alibi, donc tu-

- ILAUNALIBI ! dit-il aussi vite qu'il le pu que je ne compris pas ce qu'il dit.

- Répète, ordonnai-je

- Il a un...

- UN QUOI !? 

- Alibi... avoua-t-il

- Qui ? demandai-je avec la petite dose de calme qui me restait à présent.

- Je ne sais pas...

Il va me rendre folle !!

Je forçai un peu plus ma poigne et avec plus de force jusqu'à ce qu'il gémisse de douleur. Il essaya de m'arrêter mais c'était TROP tard.

Carrero : l'intégrale ( En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant