TOME 1: Chapitre 32

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                             .     ELMO








J'étai rentrer d'Italie il y a 2 jours et j'avais déjà compris l'attitude et le plan de Riley. Elle n'était pas si débile que ça finalement, c'était simplement un rôle qu'elle jouait.

Comment avons put ne nous en rendre compte que maintenant ? On a vraiment était con mais maintenant que j'avais découvert la vérité, plus rien de cette foutue maison ne pourra nuire à ce cartel. Aaron avait tellement souffert qu'il est devenu celui qu'il est aujourd'hui, c'est à dire; un homme prêt à tout pour protéger ceux qu'il aime, il sait être froid quand il le faut, il sait gérer ses émotions à la perfection et pour ça, je l'enviai.

Même s'il parait gentil, doux et calme à première vue avec des gens, il ne l'est pas vraiment, il pourrait très bien être impassible, sauf qu'il l'est déjà, mais seulement avec les hommes, il sera beaucoup  plus calme envers les femmes. 

Mais je crains que quand il rentrera d'Italie, il n'accordera pas sa gentillesse à notre très chère traîtresse. 

Et puis tant mieux

Je ne veux pas paraitre addict à mes céréales mais en tout cas, s'il n'y a plus de Riley, mes céréales seront tranquilles. 

Enfin ! Cette puta m'énervait à haut point.

J'étai actuellement assis à regarder la télé mais le fait de penser au sort que réserve Aaron à Riley m'empêchait de rester concentré, donc je me levai et parti dans le couloir, je marchai et tourna à gauche jusqu'à une porte au fond du couloir, je l'ouvris et trouva une Riley essayant de se détacher des fils qui la maintenait. Elle était debout tenu par deux fils en fer autour de ses poignets. Ses bras étaient donc suspendus. Elle avait un scotch sur la bouche pour qu'elle évite de crier car sinon je l'aurai buté de suite, même s'il n'y avait pas Aaron.

Je vins en face d'elle et le premier signe que je reçu de sa part était un regard noir.

- Bien le bonjour à toi aussi puta, dis-je avec un sourire moqueur.

Je lui enlevai le scotch et elle poussa un grognement mais pas de satisfaction.

- Mon dieu, j'ai cru que tu ne reviendrais jamais me revoir cabron.

Un faux rire sortit de ma bouche et elle sourit. Sans qu'elle ne le voit venir, une main atterrit dans sa joue et un bruit retentit. Elle repoussa un grognement

- Et bah dis donc, je vois que tu n'aimes pas ça. Déclarai-je le sourire aux lèvres. Mais après tout, c'est tout ce que tu mérites non ?

Elle ricana

- Tu es tellement con Elmo. Dit-elle sarcastiquement

- Je prend ça comme un compliment, moi aussi je t'adore t'inquiètes pas. Dis-je sur le même ton

- Et maintenant que tu es là, dis moi ce que tu viens faire ici. Ordonna-t-elle

- C'est pas toi qui pose les questions ici, c'est moi ! Haussai-je le ton

- Oh lala, j'ai blessé sa majesté à ce que je vois. Se moqua-t-elle

- Tu voudrais une gifle dans ta sale gueule de chienne peut être ? Lui demandai-je

Elle prit un faux air offusquée avant de rigoler.

Elle est tarée celle-là, il faudrait peut-être aller dans un hôpital psychiatrique un de ces quatre.

Sans que je ne me contrôle, je lui asséna un coup de poing dans le ventre et du sang sortit de sa bouche.

J'y suis pas aller de main morte là.

Carrero : l'intégrale ( En Pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant