Le peuple n'en a que faire de la fragile et éphémère vérité, il se satisfait des apparences peu importe si elle sont fausses. Ce peuple inconscient et avide de tout n'aura guerre de regret a m'écraser tel l'invisible que je suis.
La tension montait entre les differentes partie de moi, mais dans tout les cas j'en arrivait a la même conclusion, je serais jusqu'au bout son serviteur. Je veux être la personne sur qui il se reposera même si il n'est lui même que le serviteur de manjiro.
Il passe sa main derrière mon dos, ses doigts gelés parcoure ma peau dans un frisson. Moi qui m'était de ne plus jamais avoir d'oppsession pour qui que se sois... j'ai perdu.
"-decidement tes ma rock star préféré Ary..."
Je le voyait dans son regard dévorant. Il en voulait plus. Et c'est maintenant que les choses allait devenir malsaines. Je suis son ombre, une ombre ne sais pas dire non a son maître. Mais je ne veux pas, je ne veux pas plus. Je suis loins d'être innocente, mais ca... ce que tout les hommes veulent, je ne leurs donnerait jamais.
Son regard s'est adouci, il est pure. Et voilà comment je me suis retrouver a aggriper son teeshirt tendisqu'il me serre dans ses bras. Je ne veux pas rentrer se soir, je ne veux plus jamais le quitter.
Il jette négligement ses clés de moto sur une table avent de prendre ma veste en cuire pour la ranger sur un porte manteau. Son appartement est étonnement grand et je dirais même luxueux. Je me sent soudain honteuse à l'idée qu'il ai vue l'appartement dans le quel je vie.
"-Tu veux boire un truc ?" me demande t-il en trifouillant dans son frigo.
"-Non ca ira merci."
je n'ause pas bougée, L'entrée donne sur une grande pièce comportent une cuisine/bar ouverte sur un salon eclairé par la lumière de la lune traversant les vitres coulissantes qui mène a son balcon.
Comment a t-il réunit tout cet argent ?
Une main se glisse dans mes cheveux, je ne l'avais pas entendu venir, il se déplace toujours silencieusement s'en est presque perturbent."-Je t'en pris fait comme chez toi Ary..."
je me dirige mécaniquement vers sont canapé en cuir noir, merde. Qu'est ce qu'il attends de moi ? Il veux aller plus loin ? Vas-t-il se véxer si je dit non ? Il l'a déja fait ? Oui, c'est sûre sa se vois dans son regard.
Le regard planté dans le vide, je sent une larme se frayer un passage sur ma joue pale. Que j'essuie frénétiquement avent de planter mon regard dans celui de sanzu qui ses maintenant assis dans un fauteuil en face de moi un verre et une cigarette a la main.
"-Ary tu-"
"-Tu vas me forcer toi aussi ?"
Il penche la tête intrigué par ma question. je regrette instantanement de l'avoir pausé, bien sure que oui... biensure que oui c'est un homme, je devrait partir mais je ne peu pas, après tout c'est déja trop tard.
Il s'agenouille devant moi la tête toujours incliné vers le côté. Ses mains pales posées sur mes genoux, son regard indescriptible planté dans le miens.
"- Forcer a quoi Ary ?"
Il n'en avait donc pas l'intention ? La surprise se lis sur mon visage. Il est donc vraiment diffèrent. La culpabilité sempare de moi, j'ai douté de lui, je ne le mérite probablement pas, je ne suis qu'une rature.
"-Pardon... j'ai douté de toi je n'aurais pas dû..." lui dis-je le regard brouillé par des larmes brulantes.
"-Tu tes dit ca parceque je t'ai dit de venir chez moi ?" me demande t-il toujours agenouillé, tentant de capter mon regard fuyant.
"-Pardon, Pardon... excuse moi... Je suis déso-"
Je fut coupé dans ma phrase par son étrainte toujouts aussi rassurante et froide a la foie. Il passe ses doigts froids dans mes cheveux en posant sa tête sur mon épaule. Merde, comment peu t-il être si doux en étant un vrai démon.
"-Tu sais que si t'a des choses a dire, je serais toujours prêt a les entendre ? Hein Ary ?"
"-Sanzu ?"
Il me lache, attentif a ce que je vais dire.
"-Je veux me battre."
Son sourire en coin refait surface.
"-bientôt..."
À suivre...
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Anger issues- sanzu Haruchiyo
Fanfictionᴀɴɢᴇʀ ɪssᴜᴇs sᴀɴᴢᴜ x ᴏᴄ •Tiraillé par sa rage, Ary finit par se jeter toute entière dans l'enfer que représente Sanzu. •Mais, la porte qui retiens cette rage s'avère être bien trop fragile, et bien trop t...