Anger issues- sanzu Haruchiyo

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La decrepitude avait pris ma vie dans une étreinte macabre. Ma rage et la haine avait été mes seules fidels depuis le debut. Mon esprit est un trou sans fin, je me deteste. Je sais ce que je fait, je sais ce que ca implique, et je crois que c'est justement parceque je sais que je le fait. cruelle paradoxe n'est ce pas ? Bref... aujourd'hui, c'est mon anniversaire...

La musique forte frappe mes tympans. Les bouteilles jonchent le sol de l'appartement de Sanzu, je ne suis pas rentrer chez moi depuis maintenant 2mois. Les jours, les nuits, les heures, les minutes, tout s'entremêlent. Je perds la notion du temps.

Mes yeux restent a peine ouverts, je ne sent plus le poid du corps de Madarame Shion qui s'est écroulé il y a déja quelque minutes sur moi. Une seule question arrive a se frayer un passage dans mon esprit agité, Ou es Sanzu ?

Je rassemble mes forces et dégage le corps de Shion de mon ventre, il s'effondre en dessous du canapé sous le regard amusé de Ran aussi soul que son frère. J'avence de quelques pas me faisant bousculer par des corps que je n'arrive plus a identifié.

J'ouvre la porte du balcon, pas de sanzu. Je me frayent alors un passage entre les gens jusqu'a la salle de bain, puis sa chambre, le débara, pas de sanzu. Le toît...

J'ouvre la porte du toît silencieusement avent de le voir, Sanzu, assis au bord, les pieds dans le vide, son air serieux au visage. ses cheveux s'emmelent dans le vent. J'avence discretement ver lui avent de passer ma mains dans ses cheveux rosés.

"Ah tes là..." murmure t-il en écartant son bras me faisant alors signe de m'assoir.

"Mhm... je t'ai cherché partout..." Je lui reponds en m'asaiant.

Il passe son bras derrière mon dos et je pose automatiquement pas tête sur son épaule. Je ferais tout, tout et n'importe quoi pour n'être qu'a lui, je ne veux plus jamais avoir a le quitter.

"Pourquoi tu profite pas avec les autres c'est pour ton anniversaire tout ca je te signale." Dit-il.

C'est vrai il s'est donné du mal pour inviter tout ses gens et pour me couvrire de cadeaux et je ne l'ai même pas remercier. Je ne mérite pas tout ca, je ne mérite même pas ce regard qu'il pose a l'instant sur mon visage.

"Pardon... tu tes donner du mal et moi j'ai tout gâch-"Il me stop dans ma phrase en me prenant dans ses bras.

Les odeurs nocturnes laisse place a son odeur de lavande. La couleur de son âme me plaît. Elle est douce le temps de quelques instants, et pour la première fois, j'arrive a faire abstraction de l'imence masse noir qui attends de semparer de son être a nouveau, et je profite simplement de l'instant présent.

"Tu n'a rien gâché du tout Ary. D'ailleur, on a le même âge maintenant." murmura t-il doucement.

C'est vrai, du haut de mes 17ans, j'opserve mon avenir flou, aucune destinée, aucune ambitions, pas de talent spécifique, seulement lui. Seulement son regard percant, uniquement son teint pal et ses traits fins, seulement sanzu.

Mais une chose est sûre, dans ce future que j'aperçois dificilement, Il n'y a que lui. Il n'y absolument que lui.

Le future, voilà encore quelque chose qui le caractérise... Il n'a d'yeux que pour ça, Sanzu passe ses journées à me parler de future... Ca en deviens même étrange.

Je sent ses doigts gelés passer le long de ma colonne vertebrale, le poid de son regard aussi distends que provoquateur s'abat alors sur moi. Sa main droite lève mon menton vers son visage.

"joyeux aniverssaire Ary..."

Je joint mes lèvres au siennes, Ses bras entour mon corps, ses doigts frôlent frénétiquement ma peau frissonante. Le vent frais emmèlent nos cheveux. Je le serre a mon tour dans mes bras. Je délie nos lèvres, reprenant mon souffle.

Je la sent aussi pour la première fois de ma vie cette envie dévorante, cette envie de lui. Pour la première fois, rien dans cette idée ne m'éffrai, Sanzu aura été le seul a reveiller cette envie en moi.

"Toi aussi ?" susurre t-il a mon oreille emmêlant ses doigts dans mes cheveux noirs.

"Oui Haru..."

Il se lêve brusquement me tendent la main, je reste figée, cette vision me fait frissoné et reveille une étrange chaleur en moi, lui, me surplombant de son regard tranchant, un sourire au coins des lèvres ses cheveux flottant dans le vent nocturne de Tokyo.

Je saisit sa mains et le suis a la hate dans les escalier de l'immeuble, mon coeur bat si vite, je ne peu arrêter de sourire, je dévale les escalier derrière lui sans lâcher sa main. Je percois un sourire entre ses mêches vagabondes.

Il ouvrit violement la porte de l'appartement sur les membres du kanto éparpillés au sol comateux. Je serais un peu plus fort sa main tendisqu'il m'entrene vers sa chambre.

Et me voilà contre la porte fermé de sa chambre, a embrasser le garçon que j'aime plus que tout au monde, le seule qui comble en partit le trou beant de mon âme, je l'aime. Je l'aime encore et encore, je l'aime plus que encore que je ne pourais jamais envisager l'amour.

Et il me manque déja...

À suivre...

La suite est terriblement belle j'vais pleurer....