Hell's Brothers "Seconde chance"

Chapitre 14 : Josh

Média : Ben

Allonger presque nue dans mon lit avec seulement le drap en coton noir qui drape son corps à la peau dorée, elle est si belle. Ses longues jambes, qui ont entouré ma taille cette nuit pendant que nous faisions l'amour, sont croisés l'une sur l'autre. Le haut de son corps penché en avant, sa tête posé sur mon oreiller à côté d'elle lui cambre naturellement sa divine chute de reins, que j'ai eu le bonheur de caresser alors qu'elle atteignait l'orgasme en criant mon nom. Ses sensuels gémissements m'ont fait décoller et savoir que mes frères ont très probablement entendu ma femme jouir sous mes coups de bassin, me rend fier ce matin.

C'est en homme heureux que je descends rejoindre mes hommes à la cuisine, et c'est en homme jalousé et applaudis que j'y suis accueilli.

- Bien dormit Prez ? Non, je demande juste comme ça hein, parce que ma piaule étant à côté de la tienne, j'ai eu peur de faire un peu de bruit en allant me coucher ! Tu saisis l'ironie mon frère ?

- Jaloux Hook ? Demandais-je en me servant un café.

- Envieux.

- Envieux ? Pourquoi tu voulais que Thor s'occupe de toi aussi ?

- Tu es hilarant ce matin Shadow. C'est simplement que j'imagine qu'il n'y a qu'un vrai couple qui puisse être aussi heureux en baisant. Parce que toutes les filles ici, quand elle gueule, bah.... ça sonne faux.

- Tu es romantique finalement mon frère. Constate Devon assis en face de son meilleur ami.

- C'est juste que... ouais, ça donne envie de trouver la bonne, tu vois ?

- Tu as tout à fait raison gamin. Approuve Ripper en entrant le bras autour des épaules de sa femme.

- Merci Sergent, au moins un qui me comprend !

- Vous êtes peut-être des géants, mais il est mignon de voir que vous êtes de grands romantiques de bon matin.

- Tu devrais peut-être mettre un pantalon bébé ? Lui dis-je alors qu'elle m'embrasse, puis se love dans mes bras en ne portant que mon tee-shirt. Le dos posé contre mon torse, nous profitons d'un petit déjeuner dans la bonne humeur avec notre famille.

- Pas trop fatigué prof ? Tes vocalises m'ont quelque peu déconcerté, je ne les avais jamais entendus.

Je grogne comme un ours en entendant son petit rappel de ses moments avec elle. Je m'apprête à passe par-dessus l'îlot central pour lui faire bouffer ses dents quand je suis surpris de la tournure de la conversation.

- Il n'y a aucune raison que tu les aies entendus mon cher Shadow, la catégorie poids léger ne fait pas le même effet.

Je la retourne vers moi et m'empare de ses lèvres pour montrer que c'est à moi qu'elle appartient à présent avant de la jeter sur mon épaule pour la ramener dans mon lit. Pendant que mon frère ce fait chambré par les autres, elle rie et ce son provoque dans ma poitrine des sensations que je ne connaissais pas. Je la pose sur le lit et m'installe au-dessus d'elle.

- J'ai eu envie de lui arracher la langue pour oser dire un truc pareil.

- Il n'y a aucune raison que vous vous bagarriez pour ça, chéri. Il sait que nous sommes ensemble, c'est largement suffisant, non ? Même avec ce qu'il c'est passer, Shadow est ton meilleur ami.

- Tu m'as appelé, chéri ?

- De tout ce que je viens de te dire, c'est tout ce que tu as retenu ?

- Peut-être. Redis-le !

- Mon chéri.

- Encore !

- Mon chéri.

- Encore !