Chapitre 36

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Edern

Jörgen est revenu alors que je suis tout juste en train de ranger les affaires d’après la réunion. J’ai dû affronter les personnes qui devaient avoir rendez-vous. Il reporte beaucoup trop ses rendez-vous.

Mais les plus importants on été passé juste avant qu’il ne parte. Il part de trop, Sierra à dû le remplacer avec moi pendant une heure plus ou moins, juste un rendez-vous. Nous avons fixé une date et elle ne changera pas. Après analyse, Jörgen à bien intérêt à accepter ainsi que la couverture.

Il entre et une odeur de fer émane de lui mélanger à sa propre odeur sucrée.

— J’ai assisté Sierra pour les rendez-vous. Monsieur Ho étais content mais pas les autres qui vous trouvais irresponsable d’envoyer un stagiaire et une femme de bureau à votre place.

Il me regarde d’un air désolé, comme-ci il me retrouvait depuis longtemps ou comme une personne qui à fait une bêtise et qu’elle veut ton pardon.

— Qui était-ce?

— Madame Flora, et  monsieur Synerache.

— Bien, ne travaillons plus avec eux s'ils ne savent pas l'ampleur de ton travail effectuer.

—Par…

— Pas de négociation, le respect ça ne s'achète pas.

Des frissons me parcourent alors qu’il s’approche.

— Jörgen, des fois il faudrait que tu arrête de me couper la parole.

Il s’arrête comme tomber par mes dires alors que je le regarde ne sachant pas quoi faire.

— Nous sommes arrivés à plusieurs conclusions alors que nous nous sommes replacés avec Sierra. Il faudrait un meilleur suivi, tu pars souvent alors que tu as des rendez-vous. Mis à part que nous pouvons gérer mais j’aimerais que ce genre de réflexions ne me retombe plus dessus.

Il sourit alors que je garde mon air sérieux. Je n’ose pas lui dire ni lui parler de ce qu’il c’est passé cette après midi. Le coups de fil que j’ai reçu. Plusieurs inquiétudes me traversent malgré tout, mais je fais comme si de rien était.

Il vient se poster près de moi alors que je le suis des yeux. Il peut me taper sur le système et en même temps me donner envie de l’avoir près de moi.

— ça va aller pour ce soir me demande-t-il avant de  se poser les jambes tendues.

— Pourquoi ça n'irait pas? Lui répondais-je avant de poser mes affaires et de me tourner vers lui.

— Parce que  ce n’est pas ce dont tu as l’habitude.

— Donc, tu sais ce dont j’ai l’habitude ou pas?

Ses yeux me scrutent, il ne sait plus quoi dire.

— Ce n’est pas ce que j’ai dit.

— Oui m’ai c’était une supposition.

— Mais est-ce que j’ai dis ça? Lui répondais-je en retournant aux dernières corrections des manuscrits papier. 

Il pouffe légèrement alors que je commence à tourner les pages pour continuer.

— Tiens, prends un des manuscrits et continue, je vais faire les rapport de réunions en attendant que tu finisses celui-là. Dis-je un peu sévèrement.

ça lui apprendra de partir encore une fois à l’improviste. Et puis il doit partir comme ça. Il doit aussi comprendre que ça m'irrite aussi et qu'il ne peut pas se jouer de moi comme il le fait déjà.

If I Can Say (BxB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant