If I Can Say (BxB)

FIN : Chapitre 41

Edern

Ce réveil fût moins horrible que les autres, mes membres me font mal, mais ce n’est pas encore invivable.  Pas comme la crise d’il y a deux jours. Où est mon téléphone? Je tourne la tête sur la table de nuit qui est à côté du siège des visiteur. La chambre est grande, blanche. Les meubles sont d’une couleur ternes, noir matte qui donne gris. Il n’y a personne d’autres dans la chambres.

— Monsieur Wagner?

— Oui? Dis-je rivant les yeux sur la femme qui me parle.

— Vous voudriez prendre votre toilette?

Je dois être dans un piteux été comme c’est là. Ils ont du faire ma toilette alrs que j’étais encore entrain de dormir. Tout le surplus de sonde on été retirer, je dis bien tous sans exeptions des sondes et où… Heureusement qu’ils me les ont retirer rapidement. Il me reste une sonde pour la respiration et une avec un liquide transparent accrocher au bras. Qui est très dérangeant… Je ne dirait pas non à une douche et à enfiler les quelques vêtements comfortable que mes parents on apporter. Ils doivent être bien plus agréable que ce fiche truc que je porte actuellement. Mes idées se mettent en place et la question ce pose : Où sont mes autres vêtement, ceux de… Non, on s’en fiche.

— Oui j’aimerais bien.

— Je vais vous accompagner.

— Pardon? Dis-je.

— Je vais vous aider à retirer vos vêtements et à vous laver. Me dit-elle sans bafouiller, en même temps c’est son métier.

— Je peux le faire seule, il n'y a pas de soucis.

— En cas de soucis, appelez moi. Je vous emmène jusqu’à la salle de bain.

— Merci, c’est très gentil de vôtre par.

Elle me serre de pilier pour que je puisse me lever de mon lit, elle me soutien par la taille et passe mon bras par dessus son épaule que je m’en serve d’appuis pour avancer.

La salle de bain est petite et mes parents ont déjà tout prévu pour que je sois le plus à l’aise possible lors de ma convalescence. Ils n’ont rien oublier de tout les besoins primaires que je pourrais nécessiter durant le temps qu’il fallait.

Elle m’aide à défaire les liens qui ont tisser dans mon dos pour me défaire de se tissu. Elle sort en m’accordant un sourire tant dis que je la remerci d’un signe de tête maladroit. Ce n’est qu’une douche et un siège pour que je puisse m’assoeire durant celle-ci. C’est tout ce que j’aime pour faire ma routine quotidienne. L’eau est tiède mais c’est assez agréable, elle coule doucement nourissant chaque parcelle de ma peau fine. L’eau est toujours plus chaude sur la balafre qui orne mon corps. Je regarde la haut de mes cuisses, les petit pli recousu de ma peau blanche. ça fait longtemps que je ne les avais pas regarder. Ses scarifications sont anciennes, et date d’après ma rencontre avec Sawyer, quand les gens on appris pour ma sexualité, sans que je n’ai de quoi me défendre. Il m’attaquais avec le seul point dont ils pouvaient. J’ai essaier mais, ce n’était pas pour moi ce genre de choses elles n’avaient pas de but. Alors je me suis consoler dans la lecture qui paraissait un meilleure moyen. Je me lave ainsi que je me lave les cheveux avec beaucoup de difficulté. L’aide soignante frappe à la porte.

— Vous allez bien?

Je mis un temps avant de lui répondre.

— Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas encore mort.

Elle lâche un petit rire que je peux dissimuler à travers la porte. Mes mains s’aggripent sur l’aide qui est fixée au mur pour que me redresser. J’enfile les vêtemetns que l’ont à pris sur le passage et mon essuie. Avec peine j’atteint la porte. Pour me retrouver en face d’elle.