Chapitre 34

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Edern

Jörgen est déjà assis sur derrière le bureau la tête entre les mains fixent les feuilles à tour de rôle.
— Viens t’asseoir, j’ai quelque chose à te montrer. Me dt-il en relevant la tête pour me parler.
J’avance avant d’installer mes affaires et prendre l’agenda ainsi que de regarder ce qu’il me montre. Il y a une boîte de lunette posées sur la table.
— Qu’est ce que c’est? Dis-je.
Il tiens entre les mains, les jaquettes des futurs livres qui vont paraitre chez gamgala dans les mois qui viennent. J’ai travailler sur l’une d’entre-elle au début du stage. Cette  fois, on y travaillera ensemble. On travaillera ensemble pour avoir le meilleurs rendu possible. On doit corriger trois manuscrit aujourd’hui pour les envoyer le plus vite possible à l’impression pour ne pas attraper de retard dans les commandes.
— Alors, tu préfère la quelle?
— Je ne peux pas avoir un avis objectif sur ses couvertures car ce sont moi qui les ai confectionner avec les autres membres de l’équipe. Seul ton avis comptera cette fois. Dis-je en attrapant l’une d’entre-elle.
Elles sont si belle, les couleurs se marient bien et ne sont pas criarde, bien qu’elles attirent le regards. L’auteur à chosis par libre choix.
— Les deux sont bien d’un point de vue artistique, mais quel serait la différence sans un point de vue marketing dis-je en prenant l’autre cette-fois.
Il me regarde d’un oeil attentif alors que je me penche plus méticuleusement sur les détails.
— Celle-ci à l’air plus travailler, mais avec moins de détails par rapport à l’histoire principal. Mais celle-ci ferait palire les lecteurs avec les détails cacher que l’ont à fournis, à toi de choisir ce que tu voudrais qui représente Gamgala comme tu l’espère.
Je tourne ma tête et nous nous retrouvons nez à nez alors que je me relevais après avoir eu le nez coller sur les feuilles plastifier des couvertures. Ses yeux pétillent et j’en rougis il à l’air impressioner parce que je viens de dire.
— Tes avis son très pertinant je t’en remercie. Je vais donc y rélféchir de mon coter cette fois. Peux-tu commencer la correction? Me demande t-il.
— Oui, bien sûr. Dis-je.
Mes doigrs commence à titurer le papier alors que j’avance dansles papiers une question me viens en tête.
— Jörgen.
— Hm?
— Ta relation avec ton père est toujours si explosive?
Il rigole alors qu’il baisse la tête.
— Non, ce n’est pas toujours comme ça. Mon père est assez spéciale et  très conservateur. Il veut des héritier, ce qu’il y a de plus normal alors que l’ont est comme lui. Sa arrive que ce soit explosif alors qu’on ne défends pas le même valeurs. Malgré que l’ont du même sens. Certaines valeurs m’ont été acquises en apprenant et en restant avec mon grand père. Mais c’est une autre histoire. C’est ce qu’il réponds avec une pointe d’amertume dans la bouche. Ce ne sont pas que de simples valeurs qu’il défends. C’est c edont il est fière et ce qu’il vit maintenant.
— C’était par rapport à l’incident d’hier.
Il me regarde, et m’indique que non. Il a mis du temps avant de répondre le doute au ventre.
Il ouvre la boîte à lunette qui était posée sur le bureau que j’ai remarquer tout à l’heure. Il se frotte les yeux alors que je vois bouger du coins de l’oeil frottant ses yeux pour faire passer le mal de crâne. Je cherche dans ma trousse à médicament un anti-douleur pour lui donner.
— Je reviens. Dis-je.
Il lui faut de l’eau , j’en profiterais pour m’en prendre aussi.
— Bonjour madame, vous savez où je pourrais touver des bouteilles d’eau?
— Oui, je vais vous les apporter il vous en faut beaucoup? Me demande la receptioniste.
— Non, deux.
Elle pars quelques instant et reviens avec deux bouteilles et deux verres.
— Merci beaucoup! Dis-je un peu trop fort en prenant les bouteilles entres mes mains, le tout c’est de ne rien faire tomber. Je gravis les escalier pour rejoindre le bureau.
Jörgen à ses yeux river sur son écran alors qu’il porte des lunettes rondes à fine bride noire.
— Ça te va bien, lui dis-je en déposant les bouteilles sur le bureau.
— Merci. Tu avais soif?
— Pas spécialement alors j’ai été nous en  chercher quand même. Il faut s'hydrater quand on à mal à le tête. Je lui tends un anti-douleurs pour qu’il le prenne
Il le refuse gentiment mais accepte l’eau volontier.
— Merci de les avoir apportés jusqu’ici.
Je me réinstalle devant les manuscrits papier pour continuer ma lecture. En m'étirant, quelques os craquent.
On termine la journée en n’échangent que des formalités de travail. Sans vagues et sans rendez-vous pour aujourd’hui. Demain c’est le Gala et j’en ai déjà peur.
— Pour le gala demain faut-il préparer d’autres choses?
— Non nous avons tout, c’est plus un bal caritatfi qu’un gala habituel. Il n’y aura pas de prix à remettre, pas énormément  de livres, juste entre éditeu dans une salle.
— Nouveau message —
Kyoko : Je repasse chez toi ce soir, on passe la nuit ensemble?
Edern: Oui, je préparais les affaires en rentrant.
Kyoko: Je prépare un potage pour cette fois.
Je verouille le téléphone et le repose sur la table avant de balancer ma tête en arrière.
— Tu vas bien, Edern?
— Oui, oui. Et toi, ton mal de tête est passer?
— Ne t’en fais pas pour ça. On va bientôt y aller?
L’information mets du temps à arriver à mon cerveau jusqu’au moment ou je rive mes yeux sur la fênetre, il fait déjà noir.
— On a un peu dépasser l’heure. Me dis Jörgen.
Je regarde mon téléphone pour voir que l’on a dépasser l’heure d’une heure et demi et qu’il est dix-huit heure.
— On y va alors?
Il rassembles ses affaires et je fais de même pour les miennes, il porte mes sacs et de loin je vois les gardes qui était la hier qui nous suivent de loin. On passe la porte et m’enmène à son carosse. Il me tends la main comme hier et me fait m’assoeir dans la voiture. On fis le trajets sans parler, alors qu’il dépose sa main sur ma cuisse. Pour une fois j’y dépose la mienne pour serrer sa main dans la mienne, il la saisit et commence à changer les vitesse toujours nos doigts entrelasser ensemble. ça m’en donne des papillons dans le ventre.
— Merci Jörgen.
Il dépose un baiser dans ma main et me prépare mon sec pour que je rentre à la maison.
— Ne t’inquiète pas, Kyoko reste ce soir.
— N’hésite pas à m’appeler comme hier.
Je souris et lui fait signe de la main quand je le vois rouler dans la rue pendiculaire à l’appartement. Kyoko est déjà là, devant la porte.
— Jamais à l’heure et toujours avec ton gendre.
— Ce n’est pas mon gendre.
Elle rigole alors qu’n rentre dans l’appartement, Moki m’ignore complètement et va se frotter à Kyoko en premier. Je me sens trahi là.
— On voit qui tu préfère, Moki.
Elle miaule comme répose. J’installe ce qu’il faut, bol, tasse, plaide et matelas dans le salon pour que nous puissions faire une soirée film comme il y a longtemps. Kyoko mets les affaires dans le frigo et prépare la soupe en attandant. Elle va vite se changer pendant que la soupe est à feu doux.
— Alors, partie de jambe en l’air ou pas? Me demande-t-elle. En sortant de la salle de bain.
— Même pas. Et pourtant ce n’est pas comme si il n’était pas irresistible.
Elle rigole, alors quelle chipote à la gazinière et la soupe.
— Et toi avec ton copain, ça fait super longtemps que tu ne m’en a pas parler. Dis-je en retirant les plaides du panier.
— On a rompu avant Noël et avant que je ne parte dans la famille. Ce n’est pas très grave c’est juste un imbécile qui reste trop sur ses positions.
je lâche mes affaires.
— Mais non, et tu me le dis maintenant?
Elle rigole.
— Ce n’est pas si grave que ça. On n’est pas resté ensemble très longtemps.
— Tu voualis que je le rencontre mais ça ne sais jamais fait…
— AU final je ne voulais pas que tu le rencontre  parce que j’avais peur de sa réaction…
— Tu nous a dénicher un homophobe c’est ça?
— C’est ça.
— Tant mieux alors, pas une grande perte. Mis à part si tu es triste alors là je te soutiendrais.
— Non, ce n’est pas réellement une grande perte.
Elle rigole légèrement.
— Mais ça fait quand même mal. Dis-je en m’avancant pour la prendre dans mes bras.
— Shh, Kyo. ça va aller mieux, ce n’est pas facile. Mais je suis là pour t’aider.
Elle me serre un peu plus fort dans ses bras, et enfouit sa tête entre mes bras. Qu’est ce que je peux l’adorer ce petit bout de personne.
— La soupe est prête. Dit-elle en s’éloignant.
On sort les bols pour mettre le contenu dedans, c’est une soupe aux potirons, une qu’on  préfère et c’est la saison alors c’est parfait! On s’installe dans les matelas et on lance un film au hasard.
Cette fois, c’était un film d’amour. Nos étoiles contraires, c’est tellement triste mais il y a une bonne morale dans ce film que j’ai du mal à surpasser. Ce n’étais pas une très bonne idée de regarde ce film alors qu’elle viens de rompre avec son mec. Elle à l’air de bien le vivre d’une certaine manière.  Elle est bien plus forte que ce que l’on pourrais penser, c’est une vrai battante. Ce qui est admirable chez elle.
— Edern, tu sais d’où viens toutes ses crises?
Pourquoi cette question lui vient-elle si soudainement? Sa ne lui ressemble pas.
— Je n’en sais rien, c’est arriver comme ça avant l’entrée à l’universitée.
— Tu n’aurais pas une idée?
— Non, pas la moindre. C’est ce que je pensais de base et puis je ne m’y connais pas dutout. Ce ne serais que des crises musculaires que mon corps ne sais pas encaisser dans la journée.
Elle tourne sa tête le regard brumeux, ça ne lui ressemble pas. Elle ne réanchéris pas et serre le cousins qu’elle avait en dessous de la tête lorsque l’on regardais le film.
— Kyoko? Dis-je doucement en la balançant avec ma main pour qu’elle réagisse.
— Tu devrais peut-être aller consulter un autre médecins, et si c’était plus grave que ce que l’on pensait.
Mes yeux s’écarquille quand je vois ses yeux se remplir de larme. Kyoko s’en fait plus sur mon état de santer que moi.
— Viens là. Je n’en suis pas encore à ce stade Kyoko.
Elle se blotti  contre moi froissant les draps qui sont entre nous. Je lui caresse les cheveux pour essayer de la relaxer. Elle ne dois être au meilleure de sa forme pour penser à ma santée et ce qui pourrait arriver.
— On va regarder quelque chose de plus joyeux a pourrait te faire du bien. Tu voudrais regarder quelque chose en particulier?
— Jack et la mécanique du coeur.
On sait tous ce que cela veux dire, c’est un film pour enfant où il meurt pour l’amour qu’il aime depuis toujours, il meurt pour son ame-soeur bravant les danger et le dnger qu’elle ne le reconnaisse pas. Mais même dans la pénombre et sous un ciel de pluie elle le retrouverait malgré tout. Il la retrouverais et l’aimerais malgré tout les interdiction. Il est mort d’amour pour la fille qu’il aime.
— Tu es sûre? Il est aussi triste que le premier, dis-je.
Elle ne bouge plus et hoche la tête pour réponse.
— Dernier mot.
J’enclenche la vidée et continue à lui faire des caresses sur ses cheveux si doux que la plume si doux qu’un ours en peluche. Elle est bien silencieuse. Et si elle avait raisons et si c’était bien plus que ce que l’on pensait… Elle seme le doute dans mon esprit, c’est peut-être plus profond et plus complexe que ce que lon crois chacun depuis les première crises il y a déjà de cela un moment. Elle se relaxe petit à petit, elle aime bien ce film, je vais lui laisser son moment de répis. On va faire en sorte de ne plus en parler durant la soirée. Ce sera le dernier film de la journée et on va dormir pour reprendre le stage par le pils de la bête.
— On va au gala, Jörgen et moi.
Extirper de son film elle me regarde malgré qu’elle le sâche déjà.
— Vous avez des tenues assorties?
La réponse ne sort pas avant un moment de réflexion.
— Je ne pense pas… On verra demain. C’est tout ce que j’avais à dire.
— J’espère que ça sera le meilleur gala que tu aie eu, et que tu aura. Me dit-elle en se couchant.
J'espère aussi dis-je ne rabattant la couverture sur ses épaules. Un vrai petit couple de vieux.

If I Can Say (BxB)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant