chap 20

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PDV T/P

Je retourne à l'école. On est le lendemain. On est sur la route sur la moto à Yelena. Mes mamans me font la tête.. mon cœur me fait mal en y pensant. Je passe mes doigts sur les petits cœurs presque effacés sur mon bras mais pas complétement. On arrive devant l'école.
T/p : yel ?
Y: oui petite ?
T/p : elles m'aiment plus mes mamans ?
Y : oh p'tite tête, bien sûr que si. Elles sont juste en colère. Ça va passer je te promets.
T/p : promis ?
Y : promis. Allez file.
Je lui fait un bisou sur la joue et je pars vers l'école. Il y a déjà Peter et Gamora. Ils arrivent vers moi.
P : T/p ! Comment ça va ?
G : ça a été avec tes mères ?
Je pense à ce qu'elles m'ont dit. Je veux pas qu'ils me voient pleurer, alors je baisse la tête.
T/p : ça à été oui.
Zut ma voix tremble.
G : relève la tête s'il te plaît.
Je la lève et les regardes. Une larme coule.
P : il s'est passé quoi ? Pourquoi tu pleures ? C'est grave ? Tu veux en parler ?
G : Peter. Doucement. T/p, tu veux en parler ?
T/p : elles m'ont crié dessus.. fort.. et.. J'ai fait une.. heu.. crise de panique je crois que ça s'appelle..
G : je sais ce que c'est.. T'es forte t/p.
T/p : non.. mais merci.
P : c'est quoi ?
T/p : C'est quand t'a peur et que t'es stressée, bah tu respires fort et trop vite et t'es stressé et des trucs comme ça.
P : ça à l'air de faire peur.
T/p : oui.
G : venez ça sonne.
Et c'est comme ça que la journée commença. À la recrée je partagea mon napolitain avec eux. Je voyais Enzo de loin. Il était plein de bleus. Bien fait !
Je me sentais bien à l'école. J'étais avec mes amis, où j'étais moi même. Pas d'adulte pour me crier dessus. J'y suis juste.. bien.
La journée se finit trop vite à mon goût. Arrivée à la sortie je traîna, ne voulant pas partir. Ce que mes amis remarquèrent.
P : T/p ? Tout va bien ?
T/p : oui.
G : tu veux pas rentrer c'est ça ?
T/p : oui.
P : on peut t'aider ?
T/p : vous êtes là ça me suffit.
G : vient. Ça va passer vite. Demain on jouera à loup glacé !
P : grave !
T/p : merci.
G : c'est normal.
P : oublie pas t/p, t'es notre guerrière !
Je souris. Je serra l'avant bras de Gamora, elle sera le mien, un peu comme un tchèque. Je fis un rapide câlin à Peter et partit. J'attendis, voulant savoir qui me ramènerai. Je vis Tony. Je marcha vers lui, contente mais blessée que ce ne sois pas mes mamans.
T : alors l'école ?
T/p : c'était bien, comme toujours.
T : tant mieux. Vient, on rentre en armure !
T/p : qu..quoi ?
T : ouais, tu m'a entendu. Tu me diras ce que ça fait de voler !
T/p : j'arrive !
J'étais en train de mourir de bonheur. J'allais voler ! Tony appelle son armure. Il me porte et décolle juste devant l'école.
T/p : whaaaaa !
T : c'est ça la liberté petite !
T/p : C'EST INCROYABLE !
Je souriais, riais, j'étais aux anges. La sensation de voler est incroyable. Je ne m'en lasserai jamais je pense. On arriva facilement et rapidement au QG. Quand il me posa, je sauta partout, en proie d'un bonheur immense.
T/p : j'ai adoré ! Merci Tony !
T : c'est vrai ? T'aime ?
T/p : j'adore !
Il souriait.
T : tes mères t'attendent elles m'ont dit. Dans leur chambre.
Je perdis mon sourire directement. Oh non..
T : t'inquiète pas ça va aller. Tiens j'ai un cadeau pour toi.
Il me tendit une montre. Que je mis à mon poignet gauche.
T : dit ton prénom à la montre.
T/p : T/p
J'étais septique. C'était juste une montre. Mais Tony me prouva encore une fois qu'il était un génie.
J : bonjour T/p.
T/p : que.. comment ?!
J : monsieur Stark m'a mis dans cette montre, afin que je sois toujours avec vous, que vous ne soyez jamais seule.
T/p : t'es celui dans la tour ?
J : c'est ça.
T/p : trop bien !
Je regarda Tony.
T/p : merci tonton Tony !
Je lui fis un énorme câlin. Il me montra un bouton sur le côté de la montre.
T : regarde. T'a le bouton pour la régler, et lui c'est pour si t'a besoin d'aide. Quand tu es en danger tu appuies dessus et je serai prévenu tout de suite.
T/p : je peux l'utiliser n'importe quand ?
T : quand tu es en danger.
T/p : je comprends. Merci !
T : de rien petite.
C'était une jolie montre. Violet foncé, à aiguille, le cadran argenté. Pas très épaisse. Je l'aime déjà.
T : tu veux prendre un goûter avant d'aller les voir ?
T/p : oui.
T : allez suis moi.
On marcha jusqu'à la cuisine. Il me servit du jus multifruit et une banane. Je partis après ça. Je respira un bon coup, appréhendant déjà la discussion que l'on allait avoir. Par chance, on m'arrêta sur la route.
B : eh t/p ! Y'a entraînement aujourd'hui !
T/p : je me change et j'arrive !
Yes ! Je peux aller m'entraîner donc faire un truc que j'aime au lieu de ça ! Je partis me changer en courant et arriva en salle d'entraînement.
B : petite. Aujourd'hui on utilise plus le bois. On va utiliser des bouts de métal pas coupant. T'a franchis une étape !
J'étais aux anges. Je partis en chercher. L'entraînement fut plus dur. Le métal est plus lourd d'un bout de bois. Je m'en sorti un minimum, non sans quelques ecchymoses au passage.
B : c'est bon, c'est fini pour aujourd'hui. Tu te débrouilles pas mal.
T/p : merci !
B : allez file.
Je partis prendre une douche, me mettre en pyjama pour la soirée et toqua à la porte de mes mamans.
N : entre.
W : on doit te parler.
Ma tête commença à tourner quand mon cœur rata un battement.

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Hey voilà un nouveau chapitre j'espère qu'il vous a plu désolée pour les fautes d'orthographe bonne/journée !

Il a suffit d'un soir.. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant