Normandie était sous le choque, ce dossier nommé "affaire", c'était un dossier avec des photos de plein de document que Cérences avait écrit à la main où elle racontait comment elle allait se débarrasser de telle personne et dans ce dossier, y'avait des photos de cadavre et d'arme qu'elle utilisait pour tuer ses victimes.
Par chance, Normandie ne trouvera pas de photo des corps sans vie de sa fraterie mais il avait trouvé le document qui prévoyait leur mort.11 Janvier 2014,
Victime: Basse-Normandie et Haute-Normandie
Âge: 4 ans
Nés: 18 Mai 2010 à ValognesDétaille de l'opération:
Basse-Normandie et Haute-Normandie ne sont que des parasites dans ma vie. Tout comme pour Normandie, ces deux gamins ne devaient pas être de ce monde. Encore une fois, Bréhal ne pensait pas à se protéger avant de le faire. Il était vraiment con parfois, et inconscient. Comme si j'avais les moyens d'avorter. Mon mari avait les moyens mais refusait que je me débarrasse des enfants même nés. Je ne comprends pas, il savait très bien que je n'étais pas apte à gérer des enfants et que je détestais ça.
C'est bien pour cela que je vais m'en débarrasser. J'ai eu l'idée de les étouffer dans leur sommeil mais je trouve ça trop... soft comme mort... Je pourrais... les mettre dans le four ? P'tètre bien qu'non, ils ne vont pas rentrer tous les deux dedans.
Alors je les poignarderais à la prochaine bêtise grave qu'ils feront. Ça me paraît être une très bonne idée.Acte de décès: 23 Avril 2016 à 20h
Arme: couteau de cuisineFin de l'opération le 23 Avril 2016
Normandie ne trouvait que des documents dans ce genre dans ce dossier. Sa mère n'avait pas que tuer deux jeunes enfants, elle avait tuer énormément de monde et elle savait très bien se débarrasser des corps sauf le jour où elle avait tuer Didi et Norman. Elle avait très bien vue que Normandie avait prit la fuite. Elle était toute suite partie à sa recherche en prenant son téléphone et son couteau de cuisine. Elle n'avait pas prit sa voiture. Elle savait très bien où son fils pouvait être, chercher de l'aide dans le bourg.
Ce jour là, le normand avait de la chance. Le maire avait ouvert quelques secondes avant que Cérences débarque dans le bourg du village. Prise par la colère de ne pas avoir retrouvé son fils, celle si retourna chez elle et prit sa voiture. Elle en était consciente que la police arrivait. Elle quitta le village avec sa voiture et n'y retournera jamais avec celle ci.
Elle revenait souvent au village, elle n'avait pas d'autre maison à part celle ci. La jeune femme croisait parfois des squatteurs. Elle les poignarda et les enterra dans son jardin où ils ne seront jamais retrouvés.
Hudimesnil avait quelque fois croisé la jeune femme mais Cérences ne l'avait jamais vu.Cérences n'était pas vraiment alcoolisée le jour du décès de ses enfants. Elle était encore consciente de ses actes. La mort de ses jeunes enfants étaient prévus depuis deux ans.
Normandie posa le portable sur sa table de nuit encore sous le choque. Les photos des corps sans vie étaient épouvantables. Cette femme était plus qu'une femme cinglée. Elle devait être internée en hôpital psychiatrique.
Mayenne qui n'entendait plus le lion, s'approcha du côté de son ami.Mayenne: Ça ne va pas Nono ?
Normandie: *choqué* Je...
Mayenne: Tu es sous le choque Normandie. Tu as vu quelque chose ?
Normandie: *choqué* Des choses horribles...Mayenne remarqua le téléphone inconnu posé sur la commode du normand.
Mayenne: *intrigué* Il est à qui ce portable ?
Normandie: *choqué* À ma mère... J'ai fouillé dedans...
Mayenne: *surpris* Comment cela se fait que tu as le portable de ta mère en ta possession ?
Normandie: *choqué* Tu veux vraiment savoir ?
Mayenne: J'aimerais bien ouais.
Normandie: *choqué* Je me suis infiltré dans ma ancienne maison au Vast. C'est ici où j'ai rencontré le cousin de mon père.
Mayenne: *surpris* Mais t'es malade Normandie !? Imagine ta mère était encore dans les parages !?
Normandie: *s'énerve* Je ne te demande de réagir à cela. Ma mère est une tueuse en série depuis 2014 ! Dans son téléphone, y'a carrément des documents prémédités de meurtre avec les photos des cadavres et de l'arme du crime ! J'ai même trouvé le document sur la mort de ma fraterie ! Par chance, y'avait pas de photo de leur corps...Mayenne ne savait pas si le normand délirait ou si c'était la vérité. Il demanda le portable pour vérifier de lui même. Normandie lui donna le portable et Mayenne fouilla dedans.
Mayenne: *choqué* En effet, faut faire quelque chose.
Normandie: Cet après-midi en cours de sport, j'ai reçu une photo venant d'un inconnu. C'était une photo très récente de ma mère qui était sur Avranches.
Mayenne: On devrait prévenir les flics qu'elle est potentiellement là bas. Tu as encore la photo ?
Normandie: J'ai bloqué le numéro en supprimant la discussion.
Mayenne: *désespére* Mais t'es con ?
Normandie: *s'énerve* J'ai panniqué !
Mayenne: Je vois ça. On devrait en parler aux parents.
Normandie: *surpris et s'énerve* Jamais de la vie ! Ils vont voir que je leur ai menti !
Mayenne: *tons sec* Ils savent déjà que tu leur mens. Ils sont au courant que tu te mutiles encors.
Normandie: *surpris* Et je peux savoir comment ils le savent ?
Mayenne: C'est évident Normandie. Tu ne portes plus de t-shirt depuis cet été et ça s'entend dans ta voix quand tu mens.
Normandie: Je voulais juste vous protéger...
Mayenne: Tu nous protèges pas dû tout Normandie. La preuve, Loire souffre de ce que tu vis.En vérité, toute la famille Slatché était au courant de ce que faisait Normandie. Loire ne pouvait plus garder pour elle. Elle était obligée de tout révéler.
Mayenne: Maintenant on va prévenir les parents pour ce téléphone. Que tu le veuilles ou non. On parle d'une tueuse en série là Normandie ! On parle de ta mère !
Normandie n'avait plus le choix et devait accepter l'ordre de Mayenne.
Les deux garçons descendèrent au rez de chaussée. Le Mans regardait la télé et Pays de la Loire préparait le repas.Mayenne: Papa, il faut qu'on parle sérieusement.
Le Mans: Il se passe quelque chose Mayenne ?
Mayenne: Il y a un sérieux problème dans ce téléphone.
Mayenne: *intrigué* Il a quoi ce vieux Nokia ?
Mayenne: Explique Normandie, c'est toi qui a trouvé ce portable.Pays de la Loire avait entendu de la cuisine, elle débarqua adossée contre les escaliers en écoutant attentivement les garçons.
Normandie: *soupire* Il se peut que je vous ai menti quand je suis parti au Vast...
Pays de la Loire: *surprise et s'énerve* Pardon !?
Normandie: Je ne suis pas qu'aller au mémorial et en vérité, le cousin de mon père, je ne l'ai pas vu au mémorial mais dans la maison de Cérences.
Pays de la Loire : *surprise et s'énerve* Tu es entrain de nous dire que tu es allez t'aventurer dans ta ancienne maison où rôde protentiellement ta mère !? Mais t'es pas bien Normandie !?
Normandie: *s'énerve* Si je n'y serais pas aller, je n'aurais pas trouver le portable de ma mère qui prouve que c'est une tueuse en série depuis 2014 avec des photos de document où elle écrivait le nom de ses victimes avec les idées de mort possible avec des photos de cadavre et l'arme du crime !Les parents étaient sous le choque. Cérences n'était pas que folle, ni que cinglée. Elle avait un sérieux problème et elle ne pouvait pas rester ici.
Normandie: En cours, j'ai reçu une photo venant d'un inconnu. C'était une photo de Cérences à Avranches. La photo était de qualitée donc elle était récente.
Pays de la Loire : Tu as encore la photo ?
Normandie: J'ai supprimé la conversation en bloquant le numéro. J'ai paniqué.
Pays de la Loire : Mais t'es con ?
Normandie: *s'énerve* Je ne te le permet pas !
Le Mans: Normandie, on ne va pas pouvoir faire grand chose. Ça n'avancera pas la police de savoir que c'est une tueuse en série. Ça ne changera pas le faite qu'elle soit fourbe et discrète donc rend sa chasse impossible.
Pays de la Loire: Il n'a pas tord pour une fois.
Le Mans: *rouspète* Roooh bon ça va Pays de la Loire !Et ils avaient raisons. Ça n'allait rien avancer pour la police régionale. Cérences était fourbe. Elle savait se cacher.
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•Le deuil des lionceaux• 🦁
Mistério / SuspenseRésumé, Quelque part dans un petit village normand du Cotentin, vivait une petite famille assée spéciale. Le père n'était plus de ce monde, la mère présentait quelques troubles psychologiques et leurs enfants n'étaient pas très aimés dans leur école...