{
J'ai tourné ma tête vers lui, et je l'ai regardé, il avais sa tête adosser à son siège.. il c'est tourner ma regarder avec un sourire et c'est là qu'il a commencé à me parler..
Ibrahim : t'as vu Zayna je suis grand.
Moi : Psahtek le s
Ibrahim : et vas-y ta gueule laisse moi parler stp je veux parler sah là..
Il a dit ça d'un ton super sec, ça se voit qu'il voulait vraiment parler sérieusement... Qu'il avait vraiment quelque choses à dire..
Ibrahim : je suis grand, on a pas le même âge. Et il a fallut que tu sois là petite sœur de mon shab. Maintenant je veux tu sache que je vais assumer ce que j'ai fais, si je t'ai embrasser c'est pas pour rien.
...
Ibrahim: j'ai pas envie de passer pour un mec bizarre, ou encore moins envie de la mettre à mon shab. Mais wAllah Zayna que je veux même pas que tu pense un instant que j'ai jouer, ou que je te prenais pas au sérieux.
...
Ibrahim : la je te parle comme un p'tit con mais prend pas la confiance, je veux juste que tu sache ce que je pense parce que je vois bien que c'est bizarre entre nous. Et je vois bien que tu sais même plus où te mettre par rapport à moi.
Je vous jure à ce moment-là, je crois que je n'ai jamais été aussi perdu de ma vie. Il m'a dit tout ce que je voulais entendre, mais je ne savais toujours pas ce que je ressentais pour lui. Je ne savais pas si c'était juste un grand du quartier, juste un shab à mes frère ou si c'était beaucoup plus que ça.
Des garçons « de la rue » comme Ibrahim on peut en croiser partout et on sait toutes comment ça se finit et c'est peut-être pour ça que ça me repoussais à ce moment-là. J'avais pas envie de finir comme Assia, je voyais trop comment ça la tuer de l'intérieur. Et puis pour le coup, jamais j'aurais penser qu'il me dise tout ça, je le voyais avec son ego surdimensionner et sa fierté j'aurais jamais imaginé qu'il me dise sa. Même si au fond j'en rêver...
Ibrahim : bon, attend 2 secondes.
Il c'est levé de la voiture avec un grand sourire Ma Shaa Allah il sortais toute ses dents! Il a avancé et il est parti ouvrir son coffre. Je l'ai vu revenir après deux minutes, il c'est re assis et il m'a sortie une rose bien rouge.
moi: ahah mais en fait t'es un loveur toi?
Ibrahim: re dis moi ça je vais t'envoyer une baffe.
Je l'ai regardé avec un énorme sourire et je crois que c'est à ce moments là que j'ai compris que je l'aimais. Il a continué de parler et je faisais que l'écoutais en le regardant. Qu'est-ce qu'il était beau...
Il faisait nuit très noir dehors. Les seules lumières étaient celles de la voiture. Il a continuer à parler puis il c'est arrêter. Il m'a regardé longuement dans les yeux, puis il a commencer à regarder mes lèvres..
Ibrahim: c'est mauvais ce que tu me fais faire Zayna...
Moi: comment ça?
Il m'a regarder longuement, il a baisser ses yeux vers mes lèvres, il a approché sa tête et il m'a embrassé...
Je ne serai même pas comment décrire ce moment, je crois que je n'oublierai jamais la façon dont-t-il m'a embrassé ce jour là. Ça se voyais qu'on attendais que ça tous les deux. A ce moment-là, je pouvais aller mal, je pouvais déprimé, je pouvais même avoir tous les problèmes du monde. Je pensais qu'à lui, qu'à nous..Il a finalement enlevé ses lèvres des miennes. Il a déposé un bisou sur mon front, et il m'a dit mot pour mot.
VOUS LISEZ
Chronique de Zayna: Jusqu'à ma perte
RandomKhassek tenssa Bach t3ich, Chaque douleur du passé a une conséquence sur les douleurs du présent. Chaque petit détails du passé a une répercussion bien précise que ce sois sur le moment, ou des années plus tard. Chronique réel, avec quelques parole...