Chronique de Zayna: Jusqu'à ma perte

partie 34

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Memess: si tu choisis Younès ma fille. Ibrahim il va faire une grosse bêtise wAllah..

Elle parlait comme si il lui avait dis quelque chose de grave et que elle elle osait pas me le dire. Je sentais qu'elle savais quelque chose et qu'elle savait pas comment le dire.

Moi: explique moi bien là je te jure Memess ça me stress..

Memess: Ibrahim il est venue me parler, il m'a dis quand ce moment t'étais souvent avec Younès et que Younès il parler énormément de toi. Et il était pas bien benthi, il m'a dis que si un jour tu choisissais Younès il se le pardonnerais jamais..

Moi: ...

Memess: hbiba Younès tu l'aime?

Moi: nan je l'aime pas, fin je sais pas en fait sah, Memess je suis perdu, j'arrive pas à savoir qui j'aime, qui j'aime pas les qui je devrais faire confiance.

Memess: il c'est passer quoi avec Ibrahim?

Moi: rien t'inquiète pas.

Memess : j'attend pas de réponses je te donne juste mon avis Zayna je préfère Younès pour toi wAllah mais je pense qu'il pourra jamais t'aimer comme Ibrahim il t'aime

Alala Memess si tu savais. Ce qui me tuais le plus c'est que Ibrahim m'aimait vraiment et je le savais. Parce que mise en dehors de la chronique y'a énormément de chose que j'ai pas raconter parce que c'est dans le respect que j'ai pour lui au jour d'aujourd'hui.

Mais dans la vrai vie il c'est passer des milliards de chose qui m'ont prouvé qu'il m'a réellement aimer malgré son comportement. Et je vous le dit même à l'heure d'aujourd'hui, plusieurs années après, je doute encore qu'un jour, un homme puisse m'aimer comme il l'a fait. De toute façon vous verrez par vous même dans la suite de la chronique.

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Mohim, plusieurs mois sont passé, c'est une période pour moi qui a était beaucoup trop dure et je m'en suis pas encore remise même des années après. Alors je vais vous résumer ce qu'il c'est passer mais je me vois pas l'expliquer en détails et ça ferais traîner la chronique pour rien.

J'ai continuer à avoir mes sentiments pour Ibrah, mais je restais énormément avec Younès et sa mère que je portais désormais dans mon cœur. Les jours étaient dure. Chaque nuit j'attendais que peut être Ibrahim m'envoie un message ou m'appelle, ce qu'il faisait des fois, pour dormir sereinement et chaque nuit c'était là même chose, j'avais besoin de savoir qu'il allait bien.

Il m'appelait la plus part du temps bourré, défoncé, et il passait la nuit à s'excuser. Une fois même j'ai entendu qu'il y avait une larme qui avait coulé. Des nouvelles cicatrices apparaissent sur son visage à chaque fois que je le croisais. J'avais tellement peur pour lui et lui il voulait pas comprendre tout les jours il me lâcher que des «va dormir Yna ça va t'inquiète» «putain mais arrête de pleurer Yna y'a rien je te dis». Voilà le vrai Ibrahim.

Ce Ibrahim que je ne voyais pas au début ce présentais a moi et il me terrifiait tellement. J'étais incapable de continuer sans lui et pourtant incapable de continuer comme ça.

De nombreuses fois j'ai essayer de couper tout contact pendant un moment en me persuadant que c'était la meilleure chose à faire. Histoire de me laisser réfléchir mais c'était impossible. Il m'appelait toute les nuits, même pour des appels de 2,3 minutes.