partie 49

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Ibrahim: c'est jusqu'à ma perte

Moi: je te comprend plus Ibrahim wAllah

Ibrahim: tu comprend pas quoi? Je t'aime c'est tout.

...

Ibrahim: tu veux vraiment tout arrêter?

Moi: j'ai pas le cho...

Ibrahim: TA BOUCHE WALLAH QUE TU L'AS LE CHOIX PUTAIN ZAYNA TU FAIT SERRER, ET JE TE LE DIT UNE DERNIÈRE FOIS HAK ALLAH QUE SI ON ARRÊTE TOUT TU VAS LE REGRETTER TOUTE TA VIE.

« Tu vas le regretter toute ta vie »

A ce moment là, malheureusement j'avais pas la capacité de voir dans le futur, ( je l'ai toujours pas malheureusement) sinon je vous jure que jamais jamais je ne lui aurais dit ça ce jour là. J'avais beau l'aimer a en crevé jamais je n'aurais accepté de revivre la douleur de perdre un frère. J'avais déjà perdu Sami, Amine je le voyais jamais. Je comptais sur Ryad plus que tout.

J'ai passé ma soirée à pleuré sah, Assia elle voulait me tuer de lui avoir répondu mais j'étais obligé. Elle comprenais en sois. Mais elle voulais mon bonheur et je la comprend. Quand j'y repense la pauvre elle a tellement supporter de cette relation.

Le lendemain pareil, j'ai passé ma journée dans le mal à pleurer. On pouvait tout me dire, tout me faire je voulais rien entendre. Ismaël était venu me parler en essayant de m'ouvrir les yeux mais en vain.

Ryad avait compris mais il voulais pas s'exprimer sur ce sujet. Pour lui on c'était déjà tout dis. Je le comprenais même si ça me faisais mal au cœur.

Vers à peut-près 19heure, Ryad était parti voir Amine, il était parti à pied parce que c'était à 10 minutes. Il m'avait pas proposé de venir donc je m'étais pas imposé. Younès avait débarqué dans ma chambre je dirait une heure après le départ de Ryad.

Younès: lève toi, habille toi, et rejoins moi dans la voiture.

Moi: je suis obligé?

Younès: oui

Je me suis habillé comme une clocharde, je me suis lavé et préparé un minimum et je suis sorti toujours les yeux rouges à force de pleuré.

Je suis monté dans la voiture et il a directement démarré, y avait un blanc, je regardait la fenêtre sans savoir où on aller et lui conduisait, les yeux rivées sur la route. Je dirais plus d'une trentaines de minutes plus tard on est arrivé à un endroit un peu haut, je vous ment pas que je me rappel absolument pas ou c'était.

Il c'est garer et il m'a dit de le suivre, on a montré beaucoup de marches sah et on est arrivé à un endroit magnifique, il y'avait une vue imprenable sur Marseille. On c'est poser dans un coin et de là à commencé notre fameuse conversation.

Moi: on est parti pourquoi?

Younès: t'as pas une petite idée?

...

Younès: alors j'ai raté quoi?

Moi: de quoi?

Younès: me prend pas pour un con Zayna wAllah

Moi: ...

Chronique de Zayna: Jusqu'à ma perte Où les histoires vivent. Découvrez maintenant