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Et il a lâcher mon coup, il avais mis énormément de force sah. Je me rappel que quand je suis rentré ce soir j'avais encore la marque de sa main. Et l'amour que j'avais pour lui m'a fais fermer les yeux ce jour là et pourtant j'aurais dû vraiment réagir... Et peut-être que ça aurait éviter beaucoup de choses.
Je suis sortie de la voiture directement en pleurant, j'avais honte, w'Allah honte de l'aimer au tant...
« Ne blesse jamais une personne au point qu'elle en pleure sur son tapis de prière »
Là j'avais vraiment l'impression de vivre ce que Assia elle vivais avec Ismaël.. Ça me tuais...
Petit à petit je commençais à voir en Ibrahim cette fameuse facette de sa personnalité que j'étais très loin d'apprécier. L'amour ça fais beaucoup de chose entre deux personne mais malheureusement ça ne fais pas tout... Et là ça remettez toute notre histoire en question. Est ce que ça valait vraiment le coup de mentir à mes frère pour un garçon?
Un garçon qui comme je le réalisais étais loin d'être parfait, et étais loin d'être l'homme avec qui je me voyais finir. Je donnais souvent des conseille à Assia et là me rendre compte que j'allais devoir les mettre en pratique ça m'effrayer. Je commençais à voir un cauchemar là où je pensais voir un rêve..
Un jour je sortais des cours, sans Lylia, sans Assia, sans personne. J'avançais pour prendre le bus et je l'ai vu.
J'ai d'abord vu sa voiture ralentir a coter de moi puis j'ai revu son visage.
Je l'entendais lâcher des petit «Zayna», le son de sa voix ça me donner tellement envie de lui répondre mais je voulais pas.
Pour ma propre dignité je ne pouvais pas. Puis à un moment il a commencer à s'énerver et à me dire de monter.
Moi : je montrais pas Ibrahim tu peux avancer.
Ibrahim: t'es sur?
Moi : à 100%
Et il a redémarrer en accélérant d'un seul coup, j'ai un peu regretter sur le moment mais je pouvais pas faire comme si de rien était et lui re parler... Je suis monter dans le bus et là vraiment vous pouvez imaginer la scène comme dans les films. J'étais assise la tête contre la vitre en trin de pleurer comme une faible.
La distance de mon lycée au quartier était de 20 bonnes minutes en bus, quand je suis arriver au quartier j'avais juste à avancer jusqu'à mon bâtiment. Mais c'était sans imaginer qu'Ibrahim serais la...J'ai avancé et je suis arrivé presque jusqu'à l'épicerie de la cité quand quelqu'un a attraper mon bras.
Ibrahim: tu m'esquive pourquoi?
J'ai lever ma tête vers lui et il a vu mes yeux qui devait sans doute être encore un peu rouge..
Ibrahim: t'as pleurer en plus?
Bah oui sale connard.
Moi: lâche moi déjà je suis pas ton chien
Il a serrer mon bras encore plus fort et il m'a tirer vers sa voiture. Je vous ment pas j'avais pas trop le choix de le suivre... Bah oui on a pas du tout le même gabarit ni la même force. On a donc avançait et on est montée dans sa voiture. Il a verrouillé les portes et il a avancer.
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Chronique de Zayna: Jusqu'à ma perte
RandomKhassek tenssa Bach t3ich, Chaque douleur du passé a une conséquence sur les douleurs du présent. Chaque petit détails du passé a une répercussion bien précise que ce sois sur le moment, ou des années plus tard. Chronique réel, avec quelques parole...