Rose

Chapitre 22 ( corrigé )

Tim venait de m'apprendre que rose a fait une crise d'angoisse, ce qui me fit paniquer. Sans plus attendre, je me dirigea au devant de sa chambre et comme ma soeur l'avait dit plus tôt, celle-ci était verrouillée.

Je décida donc de frapper d'abord sur la porte pour voir si rose aurait une réaction. Ce qui ne fut pas le cas.

Je réitéra mon action sans succès. Inquiet par la respiration de plus en plus irrégulière de rose qui me parvenait aux oreilles grâce à mon ouï, Je força la porte aux deux battants et pénétra dans la pièce. Inciter par mon loup qui semblait ne vouloir personne auprès de notre âme-sœur, j'ai lâché mes phéromones. Ce qui rendit ceux présent mal à l'aise et les força à m'obéir. Et donc, à ne pas entrer.

Doucement, je me rapprocha de rose qui gisait au sol, ses mains sur ses oreilles comme pour étouffer les sons, le visage en pleure et la respiration saccadée.

Cette vision d'elle me rappela celle de la cellule. Sauf que cette fois, son corps n'était pas marquer de bleu. Mais il n'y avait pas vraiment de différences car j'étais à nouveau la cause de son mal.

Une fois assez proche d'elle, je pris conscience des petits habits semblable à ceux des enfants qui gisaient au sol.

Rose avait dû les prendre pour se calmer. À cette penser, mon loup hurla après moi pour avoir tuer notre enfant. Et savoir que notre âme-sœur avait besoin de cela pour se calmer ne fit qu'accroître notre douleur.

Avec le plus de douceur possible, je la pris dans mes bras, ma main gauche reposant sur son dos comme support, et la droite sur sa tête pour mieux la rapprocher de moi.

Bien qu'elle ne soit pas un loup, les phéromones que notre espèce dégage sont tout autant perceptible chez les humains lambda. Bien que ce soit sous une forme d'aura. J'ai donc adouci mes phéromones pour ne pas lui faire peur.

Avec le plus grand soin, je me mis à caresser ses long cheveux crépus qui me semblaient encore plus doux que ce que j'imaginais.

Au fur et à mesure, sa respiration se stabilisa et elle fini par ouvrir les yeux.

Comme si elle prenait conscience de ce qui se passait autour d'elle, elle s'extirpa d'un coup de mes bras, le visage déformer par la peur.

Je ne saurait dire si elle avait conscience de ses actes où si elle était toujours emprunt à une sorte de rêve éveiller.

Lorsque je voulu l'approcher, elle se mit à crier tout en reculant en arrière. Ses mains s'agitant face à moi comme une sorte de barrière.

_ Rose. L'appelai-je de la manière la plus douce dont j'étais capable.

Mais au lieu de se calmer, elle éclata en sanglot, déblatérant des excuses sans queu ni tête.

_ Je...je suis désolé...je suis désolé...

_ De quoi est-ce que tu parles enfin !? Demandai-je perdu tout en essayant de me rapprocher d'elle de manière silencieuse.

Mais elle le remarqua.

_ Non ! Laisse moi tranquille ! Ne t'approche pas ! Vociféra t-elle telle une démente.

_ Hé ! Je ne vais rien te faire ! OK ?

Soudain, elle se laissa tomber. Son visage inonder de larmes et ses mains bouchant ses oreilles.