𝙵𝚛𝚊𝚗𝚌𝚎,𝙲𝚊𝚗𝚗𝚎𝚜, La maison avait insistée pour lancer la publicité en France, à Paris. April avait alors profitée de cette occasion pour partir sur la croisette une semaine avant le lancement de la campagne. Elle avait fait des interviews, assister à des soirées et des défilés.Il n'y avait rien qui changeait de sa routine habituelle sauf que Miss Collins n'était pas seule la plus part du temps. Micheal était resté une bonne partie de la semaine avec elle avant de devoir prendre l'avion pour New-York. En effet il devait préparé ses vacances au cabinet d'avocat avant de partir avec tout le petit groupe au Mexique. Avant de partir, Hower lui avait tout de même promit d'être là pour sa soirée de lancement. "Je ne louperais pas ton heure de gloire" lui avait promit le jeune homme lorsqu'elle l'avait accompagnée à l'aéroport. April avait confiance en lui, Micheal serait là. La jeune femme trouva au début le temps long, seule. Mais plus la semaine avançait et plus l'influenceuse appréciait sa propre compagnie. Le soleil se leva sur la belle ville de Cannes, ce qui annonçait le dernier jour de juin. C'était le grand jour, elle allait présenter sa pub à Paris. Pour cet événement , April avait mit un réveil assez tôt. Miss Collins resta tout de même dans son lit et comme un réflexe elle regarda les story de Berreda. Au fond, Ap espérait y voir Matthew. Ils étaient au Mexique depuis le sept juin et leurs story ensemble étaient régulières. Les entraînements n'étaient pas encore intensifs, le coach Astey leur laissait encore quelques permissions de sorties. La première story montraient toute l'équipe avec les locaux. Matthew faisait danser une jolie jeune femme sur un air latino. - Connard, le maudit la blonde. Elle n'eut pas la force ni l'envie d'en regarder plus. April savait très bien comment il était. Toute son équipe entra dans sa chambre pour dix heures. Les habilleurs lui enfilèrent la robe qu'elle avait choisir au préalable avec la maison. Rose qui avait fait le déplacement avec sa meilleure amie, entra lorsque l'influenceuse fut habillée. - T'es magnifique April, s'exclama la duchesse en retirant ses lunettes de soleil. Son amie s'observa un instant dans le miroir qui était juste en face d'elle. - T'exagère comme toujours. Rose s'approcha, elle se mit à côté et la serra dans ses bras. - Tu es grandiose, tu peux être fière de toi. Ap prit la main qu'elle avait posée sur son épaule et la caressa. La princesse avait toujours les mots justes, elle était toujours là quand il le fallait. Les deux jeunes femmes ne s'éternisèrent pas plus longtemps à Cannes. April retira sa robe pour le transport, elles s'apprêtaient à rentrer en jet à Paris. La fille Collins dormit pendant le trajet tandis que Rose profita des hors-d'œuvres préparés par la cuisinière. Elles atterrirent pour treize heures à Paris, sous un ciel nuageux. Typique de la capitale ? Édouard qui avait passé une semaine en France lui aussi venu les chercher à l'aéroport. Monsieur Collins avait profité du château pendant une semaine de pure vacances. Il prit les deux jeunes femmes dans ses bras lorsqu'elles le rejoignirent dans le haul de l'aéroport. - Les filles ! Je suis ravie de vous voir, rajouta le cinquantenaire parfaitement détendu. Les vacances lui avait fait un bien fou, Édouard était rayonnant ce qui restait étonnant. Sur le trajet, April comprit au contraire la mauvaise humeur, plutôt la préoccupation de Rose. Adam Bell, sa soirée d'anniversaire fut visiblement mouvementé. La jeune femme se confia sur cette fameuse soirée. April et Edouard furent surpris d'une telle tournure. Adam et Rose avait couchés ensemble sous l'effet de la bouteille. C'était une sacré surprise ! Toutefois le père Collins conseilla à la jeune femme de ne pas rester braquer ou au moins de ne pas le montrer. Tout les deux allaient vivre une sacré histoire, cela vous pouviez en être sûr. Tout les trois s'arrêtèrent au Ritz, c'était ici que la maison avait prévue les festivités ainsi que les préparatifs. April partit aux mains de son équipe ainsi que de l'équipe Chanel. Tandis que Rose se prépara avec son propre personnels envoyé par Buckingham. C'était une déclaration de guerre mais la duchesse se plia à la volonté du patron. April resta sur son premier choix. Elle s'apprêtait à porter la robe rose crée spécialement pour sa personne. Rose pour sa part se plia aux choix de la couronne. La jolie duchesse dû porter une robe verte sirène. Miss Collins sortit de sa chambre pour rejoindre la chambre de Miss Seymour. Elle avait été rejoint par Maggie et Joyce qui venaient à peine d'arriver à l'hôtel. La jeune femme prit son téléphone pour filmer avant d'entrer. C'était le genre de personne à garder le plus de souvenir possible. - Bonsoir Mesdames ! s'exclama l'IT girl anglaise. Maggie portait une robe jaune de la maison Channel. April reconnût facilement le model. C'était une robe de la collection quatre-vingt-neuf. Sa grand-mère, Edwina, la mère de sa mère fut elle même modèle, l'avait reçu en cadeau à la fin de sa carrière. Bel hommage, pensa la jolie blonde. Ne vous méprenez pas, Joyce est une jolie personne. Mais dans cette robe noire, le mot sublime semblait trop peu pour la qualifier. Il était rare de voir l'animatrice de télévision aussi apprêtée. Malgré qu'elle même était l'enfant de deux célébrités, Joy aimait les choses simples. Elle tentait toujours de fuir les réceptions trop guindée mais se forçait de temps à autres pour ses meilleurs amies. Les robes de soirée ce n'était pas vraiment la tasse de thé de Joy. La jeune femme adoptait plutôt un style vestimentaire simple même à la télévision. Elle vivait difficilement à l'inverse de ses autres amies l'étiquette de "népo-barbie". Meg prit April dans ses bras. - T'es prête ? Stressée comme chacun de ses gros événements elle se contenta de sourire avant de les inviter à descendre. Les filles rejoignaient la salle les premières pour laisser le temps à April de faire son entrée. Avant de rejoindre les invités dans la grande salle, l'influenceuse prit le temps de s'adresser à sa communauté. - Bonjour mes amours ! Je m'apprête à vous dévoilez ma campagne avec Chanel et honnêtement je suis très émue. Je suis pratiquement aussi stressée que lorsque je suis rentrée au collège, vous y croyez ? J'avais bien-sûr déjà collaborée avec la marque mais là on parle d'être une tête d'affiche d'une des plus grande maison de couture du monde. J'ai dû mal a y croire honnêtement. Je remercie bien sûr les dirigeants pour autant de confiance et j'espère que vous apprécierez autant que moi notre travail. Bisous ! J'ai hâte que vous vivez cette soirée avec moi, termina-Ap le sourire aux lèvres. L'assistante Chanel venu la prévenir qu'il était d'entrer dans la salle. April prit une grande inspiration et entra dans le salon d'été du prestigieux hôtel. Tout le beau monde avait fait le déplacement pour le lancement de la nouvelle campagne. Miss Collins reconnu entre autre dans la foule de nombreux models, d'autres créateurs de haute couture , des influenceuses, des acteurs, tout le monde était là. Micheal avait lui aussi réussit à revenir attend, le jeune homme portait par ailleurs son plus beau costume. Il la regarda avec fierté monter les marches de l'estrade, April s'accomplissait enfin par elle même. Le PDG de Chanel Monsieur Alain descendit de la scène après avoir annoncé l'égérie. Avant qu'elle ne prononce quelques mots, l'équipe diffusa la pub sur les grands écrans, installés pour l'occasion. La pub commença d'abord avec des plans le noir et blanc tournés en studio. Avant d'afficher un côté plus ensoleillées avec des plans tournés sur la plage. April était fière de résultats et reçu des tonnerres d'applaudissements quand le spot de pub toucha à sa fin. L'instant semblait magique, les mots lui manquait pour décrire la fierté dams les yeux de son père. Malgré l'émotion, April s'avança pour prendre le micro sur le pupitre transparent. - C'est incroyable, débuta la jeune femme en essuyant une larme. Tout d'abord, je tiens encore et toujours à remercier toute l'équipe de la maison Chanel. Vous auriez pu choisir bien mieux mais la confiance que vous me témoignez me fait chaud au cœur. Aucune femme, personnalité public ne peut rêver d'un accomplissement aussi gratifiant que celui-ci à mes yeux. Cette campagne s'apprête à passer dans une trentaine de pays a l'instant où je vous parle. Excuse-moi d'une expression aussi laxiste avec un vocabulaire si peu soutenu, mais c'est juste ouf ! s'exclama Miss Collins avec encore beaucoup d'émotions. Le public l'applaudit après quelques minutes April descendit de l'estrade pour laisser place à la musique. Micheal vint la prendre dans ses bras. - Je suis fière de toi April. Souviens toi que tu n'as besoin de personnes. Elle le gratifia d'un regard aimant avant de s'accrocher à son bras. Ils ne rendaient bien-sur rien d'officiel mais la fille Collins souhaitait passer la soirée à son bras. 𝙼𝚎𝚡𝚒𝚚𝚞𝚎,𝙼𝚎𝚡𝚒𝚌o Après lors dispute à Paris, Matthew n'était retourné que quelques jours en Angleterre avant le grand départ. Il avait enlevé toute les photos de son compte instagram, de son téléphone. Sanderson avait même prévenu sa famille qu'il n'y avait plus d'histoire possible entre April et lui. L'athlète s'avérait être du style à enlever le pansement toute suite. Même si pour lui annoncer une rupture, c'était une première. Ils organisèrent une soirée avec toute l'équipe de Tottenham avant qu'ils ne partent tous pour le Mexique. Matthew en profita alors pour leur annoncer la grande nouvelle. Il n'était plus avec Miss Collins. Tous étaient très déçus, en peu de temps elle avait réussit à se faire apprécier. Elio ne mâcha pas ses mots en le traitant de crétin. Mais ce fut les douces moitiés de Falk et Davi qui furent les plus sévères. " Tu finiras seul avec des magazines pour adultes, petit con." s'exclama Lily qui était sans doute à quelques jours de son termes. Elio amusé de l'agacement des deux mères de famille avait rajouté " tu mourras seul mon gros". Culotté venant du plus gros coureur de femme de Londres. Ce soir là, il rentra tôt. Matthew n'était pas d'humeur à faire la fête. Berreda et Sanderson rejoignirent le groupe de la sélection anglaise pour sept heures à l'aéroport. Il était tout les deux heureux de retrouver le coach, le staff ainsi que leurs coéquipiers. Astley n'était pas du genre grincheux, en tout cas, malgré de multiples tentatives Elio ne l'avait jamais fait sortir de ses gons. Tous l'appréciaient énormément, il était lui aussi une légende en Angleterre ainsi qu'à Tottenham. L'entraînement avait joué un peu plus de cinq ans avec Dubois et Collins avant de partir pour un club français. Ils saluèrent leurs camardes, tout les deux étaient très contents de les retrouver. Matthew prit dans ses bras Liam, il était toujours heureux qu'ils soient en sélection ensemble. Le gardien était aussi important pour Tottenham que pour l'Angleterre. Berreda et Sanderson partirent saluer le capitaine incontesté de l'équipe, Peeter Moore. L'attaquant avait toujours fais preuve de calme, de patience et de constance. De nombreuses qualités qui faisait de lui un capitaine exceptionnel depuis toute ses années. Matt l'admirait beaucoup et espérait un jour mener Tottenham et peut-être l'équipe d'Angleterre aussi bien. - Salut chef ! s'exclama Matthew souriant en le prenant dans ses bras. Peet lui ébouriffa les cheveux avant de lui mettre une bonne grosse claque sur l'épaule. - Je suis content de te voir Matt, vraiment. Sacré exploit cette saison. - Moi j'ai juste fait les sandwiches, rajouta sur le ton de l'humour Elio à ses côtés. Benedict Rosebury, le milieu talentueux du Barça prit dans ses bras Elio. Tout les deux avaient une sacré complicité, ils étaient semblables sur un nombre de points étonnants. Ben était toute aussi insupportable. - Les écoutes pas loulou, je suis sûre que tes sandwiches étaient très bons, rajouta le millieu anglais. Ils retrouvèrent peu à peu leur petit groupe habituels de proches. Ousmane Parkers un des milieux incontournables, Kais Prevost défenseur droit le farceur du groupe et bien sûr Bennett et Evans. Bennett avait trois ans de moins que Matthew et Elio, mais ils s'accordaient à dire que c'était le meilleur avec qui ils avaient pu jouer. C'était un des plus jeunes de l'équipe il fêtait aujourd'hui ses vingt-deux ans. Elio le souleva dans ses bras. - Oh mon petit t'es grand aujourd'hui ! s'exclama le joueur assez fort pour le mettre mal alaise. - Je suis fière comme une maman poule, rajouta Benedict avec un sourire. - La seule maman poule étant donné votre âge mentale à tout les deux c'est moi, se permit d'intervenir Peeters. Tout le monde rit le staff, les joueurs même Astley. Il n'y avait pas à dire Élio et Ben étaient un duo qui savait mettre l'ambiance. Dans l'avion, Sanderson se plaça à côté de Ousmane. Ils étaient à la place parfaite, entre Elio et Ben devant et derrière Kais et Collins. Pas loin étaient placés Peeters et Liam, ils étaient eux aussi de grands copains. Parkers proposa à Matthew de regarder un film ce qu'il accepta volontiers. Un membre du staff les prit même en photo, ils étaient mignons l'un contre l'autre avec leur plaide sur les genoux. À l'atterrissage, Elio lui tendit son téléphone. "La belle April Collins à nouveau au bras d'un footballeur connu", Matthew regarda la photo en couverture. Elle embrassait sans aucune limite un joueur parisien, Diego quelques choses. April n'avait pas perdue son temps, mais pouvait-il vraiment lui reprocher ? Pendant le trajet jusqu'à l'hôtel, il s'autorisa à regarder toute les actualités concernant Miss Collins. Beuveries, fêtes privés, danses endiablées en une semaine April avait fait très fort. Mais Sanderson se devait de passer outre,de faire passer sa carrière et son avenir avant de ce qu'il pouvait ressentir. A vrai dire, Matthew ne savait pas ce qu'il ressentait mais l'athlète ne souhaitait pas y penser. La sélection était accueillit dans un hôtel très prestigieux au cœur de Mexico "Le Béluga". Malgré qu'ils leur restaient plus de deux semaines avant le début de la coupe du monde, Astley ne leur lançait pas de repos. Vélo, randonnées, entraînements au camp, au stade, les garçons devaient être prêts à tout donner. Tout le monde se donnait bien évidement à son maximum tout en gardant la bonne ambiance que mettait Elio. Ce jour là, le coach avait ralentit la cadence pour les laisser souffler. Au matin, les Three Lions partirent faire une randonnée au plus grand désespoir de Berreda. Matthew le soutenu tant bien que mal mais ne se priva pas de le charrier avec les autres garçons. Elio semblait avoir du mal à se remettre de la permission d'hier. Il couvrait une sacré gueule de bois avec Dorian et Benedict. Les autres Matthew compris étaient restés plus calme, ils avaient rencontrés les locaux sans pour autant se soûler. Après leur retour à l'hôtel, lorsque la température fut descendue. Ils partirent pour le stade. Astley avait préparé avec son staff plusieurs petits ateliers. Ils travaillèrent différents point : la vivacité, le travail de finition , les transitions défensive et offensive, les jeux de possession et des exercices simples qui font appellent à la rapidité. Matthew et Élio restaient toujours ensemble, en tout cas ils essayaient. Ils adoraient jouer les minis matchs dans la même équipe. Surtout lorsque en face ils se confrontaient à Peeters, Ousmane, Benedict et Marcus Flimsy un autre jeune attaquant. L'incontournable duo joua sous le regard attentif d'Astley. Le coach discuta de la complicité impressionnante des garçons, c'était rare au foot se voir deux joueurs se trouver aussi bien. En fin de séance vers un peu plus de vingt-une-heure, l'entraîneur prit le temps de s'adresser à l'ensemble des joueurs. - Vous avez fait du bon boulot les gars, je suis très fier de vous. La coupe du Monde commence dans un peu plus d'une semaine et honnêtement vous êtes prêts. N'oubliez pas cette année la coupe revient en Angleterre. - Oui chef bien dis ! On va les manger le coupa Elio avec un sourire tandis que Ben faisait des bruits de chiens. - Vous étiez moins agités les garçons ce matin quand vous décuviez alors je vous prierais de vous taire et immédiatement, les reprit Peeters en leur lançant un regard noir. - Ma fille qui est en CP sait à défaut de toi qu'on coupe pas les grandes personnes mon loup, se permit avec humour Mac-Greig un des arrières latérales. Après quelques blagues de la part d'un peu tout le monde, le coach après avoir haussé le ton put enfin reprendre. - Je dois vous annoncer quelques choses. Ce n'est pas grave bien-sûr mais vous devez tout de même le savoir. Monsieur Collins que je me présente plus bien-sûr va venir avec nous durant toute cette coupe du monde. Les conseils d'une légende telle que lui ne vous feront pas de mal même si vous êtes déjà très bien entraînés par toute mon équipe et moi même. Détail insignifiant mais je crois que sa fille est de la partie ainsi que quelques amies. Au mot fille chacun des garçons lui jetèrent un coup d'œil. Matthew allait revoir April, honnêtement il ne savait pas quoi en penser. Sur ceux je vous autorise à aller aux vestiaires, termina Astley. Matthew ne partit toute suite, il avait besoin de se vider la tête. Liam l'avait vite compris alors le gardien resta avec lui pour une séance de tir aux buts. Le coach les observa en gardant quelques mètres de distances. Sanderson se concentra pendant un instant et tira en pleine lucarne sans même feinter Harris. C'était intéressant comme choix. Liam ne partait qu'avec un seul pas or c'est trop peu pour atteindre rapidement la lucarne. Sanderson était plus généralement du genre à feinté avant de tirer comme Elio et beaucoup d'autre mais la technique la plus simple restait la pleine lucarne. Le coach était satisfait, lui même en tant que joueur savait que tiré en pleine lucarne n'était pas mince à faire. Il substituait toujours le risque que la balle dépasse en largeur ou en hauteur. Pour le deuxième pénalty, Matthew prit le temps de réfléchir. Liam était un très bon gardien, il était difficile de savoir de quel côté le joueur allié se jeter. Sanderson ne se posa alors plus de question et tira de toute ses forces. Le ballon heurta la balle transversale et retomba. Avec de bons réflexes Harris le rattrapa, le penalty était bien trop mal tiré. Astley toujours derrière, croisa les bras, l'attaquant devait se concentrer. - Reprends toi, travaille les feintes mon grand. - D'accord Coach, répondit Sanderson. Après quelques secondes Matthew tira le penalty de son mauvais pieds. Par habitude, Liam tomba immédiatement dans le panneau. Le gardien bon joueur, lui lança la balle. - C'est bien Matt, bien joué, le félicita Harris. Pour le dernier, Sanderson prit une course d'élan saccadée qui trompa Liam. Il se jeta trop tôt et ne parvient donc pas à stopper le tire. Astley intervint. - Il faut avoir une sacré technique pour tromper un gardien telle que ce grand dadais, c'est impressionnant bravo Matthew. Je savais que Dubois travaillait les pénaltys de temps en temps mais c'est du bon boulot tout les deux. - Merci patron, lui répondit Harris avec chaleur tandis que Matthew garda un sourire assez fermé Le coach n'était pas bête il avait suivit l'histoire entre Sanderson et Miss Collins. En plus Astley avait vu le visage du sportif se décomposer lorsqu'il avait évoqué la fille d'Edouard. Matthew toujours joyeux et souriant était cette fois pensif. Après un temps de réflexion, l'entraîneur décida de ne pas aborder le sujet ce n'était pas encore le moment. - Avant que vous partiez j'aimerai vous montrez ma technique préférée. Durant toute ma carrière j'ai tiré les penaltys de la même façon sauf une fois que vous connaissez sûrement. Un des membres du staff qui s'était approché se permit d'intervenir. - Demi-Finale d'Euro, ton dernier avant ta retraite, l'Angleterre joue contre la France. Tu imites Ashad Ali, tu faisais semblant de tomber avant de tirer ton penalty. Magistral, tu emmènes l'Angleterre en Finale. Astley sembla comme touché d'avoir marqué les esprits, il remercia Simon et se tourna de nouveau vers les garçons. - Va falloir réviser vos classiques, il a été bien plus rapides. Mais passons, Liam prépare toi. Il tira au milieu du but avec douceur lorsque que Harris fut concentré sur sa ligne. C'est ce qu'on appelle un coup du foulard ou un panenka réussit Matthew, je te laisse te renseigner pour la séance prochaine. Matthew était sans voix, c'était très impressionnant. Henry Astley restera toujours évidemment un joueur ses plus impressionnant. Les deux joueurs rentrèrent immédiatement aux vestiaires après cette démonstration.
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Miss Sanderson ?
RomanceUne relation a bien des égards est le signe de maturité, mais parviendront ils à franchir le pas ? Matthew Sanderson se remet péniblement d'une blessure surve...