↳ 𝙐𝙣 𝙧𝙚𝙩𝙤𝙪𝙧 𝙧𝙚𝙙𝙤𝙪𝙩𝙚

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Les vacances d'hiver des enfants sont terminées, ce qui signifie qu'ils doivent retourner à l'école. Tu étais heureuse d'avoir l'occasion de passer à nouveau du temps seule, mais tu détestais le fait de devoir te réveiller très tôt. Les réveiller était une tâche difficile ; du moins, réveiller Megumi n'était pas la chose la plus facile à faire, puisque Tsumiki n'avait aucun problème à se lever du lit.

C'était une routine qui était rompue pendant deux semaines, mais il fallait s'y remettre. Leur père s'était étonnamment réveillé et avait décidé de les conduire à l'école. Tu t'es donc retrouvée seule pour l'instant. Tu n'avais pas de tâche précise à accomplir, alors tu t'es enfermée dans ta chambre. Tu as fait défiler ton téléphone pendant quelques minutes avant de laisser échapper un bâillement. Tu n'avais rien de particulier à faire, alors autant faire une petite sieste pour te redonner de l'énergie. Tu poses ton téléphone et fermes les yeux.

Avant que tu n'aies eu le temps de t'endormir, la porte de ta chambre s'est ouverte. Tu n'as même pas besoin de regarder pour deviner de qui il s'agit. Tu l'as ignoré et tu as continué à essayer de t'endormir. Il s'assit à côté de toi et te caressa le dos.

- Fatiguée ? demanda-t-il et tu fredonnas en guise de réponse.

- Ils sont tellement difficiles le matin. J'ai dû réveiller Megumi deux fois, et il s'est presque endormi à nouveau, tu lui as dit, et il a gloussé.

- Désolé, il tient ça de moi, il a répondu.

- J'aurais pu m'en douter, tu as répondu.

Il continuait à faire courir sa main de haut en bas dans ton dos, te faisant te demander ce qu'il faisait là.

- Qu'est-ce que tu veux ?

- Tu sais pourquoi je suis là, il a répondu. Et puis j'ai oublié de te dire que ma femme est censée revenir ce soir.

- C'est vrai ? C'est cool, tu étais trop fatiguée pour réellement assimiler ce qu'on te disait, et ce qu'il disait.

- Elle ne restera pas longtemps. Peut-être une semaine, il a continué à t'informer. Pourras-tu te contrôler pendant une semaine ?

- Hmmm.... Pas de promesses, tu plaisantes. C'est moi qui devrais te poser la question, Toji.

- Tu as le week-end de libre, alors pourquoi ne viendrais-tu pas me rendre visite vendredi ou samedi soir dans l'un de mes clubs, proposa-t-il.

Tu étais sur le point d'accepter mais tu t'es souvenue que tu étais occupée.

- Vendredi soir, je dîne avec mes parents, tu as répondu.

- C'est parfait. Et samedi ? il te demande.

- J'ai des projets avec Geto et Gojo, tu l'informas, et il se retint de se moquer.

Peut-être que cela l'agaçait un peu, mais il ne disait rien.

- Oh, dit-il en se levant du lit.

Tu te redresses et le regardes se diriger vers la porte.

- Où vas-tu ? Tu n'as pas reçu ce que tu voulais, tu as commencé et il s'est contenté de glousser, sans même prendre la peine de se retourner.

- Tu es pratiquement à moitié endormie, c'est bon. Repose-toi.

Sa main atteignit la poignée de la porte, et avant qu'il ne puisse l'ouvrir, tu repris la parole.

- Nous ne ferons rien pendant une semaine, tu lui as rappelé.

Il était clair qu'à ce stade, il ne s'agissait plus seulement de lui, de ses envies et de ses besoins.

- Ce n'est pas si mal. Une semaine, ce n'est pas si mal, il t'a dit en ouvrant la porte.

𝐀 𝐏𝐞𝐚𝐫𝐥 [𝘛𝘰𝘫𝘪 𝘍𝘶𝘴𝘩𝘪𝘨𝘶𝘳𝘰]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant