CHAPITRE 13 - Shawn

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— Mmh ! Mmh ! Oui !

Je continue de la défoncer avec ma bite. Je maintiens ses jambes en l'air avec force pour qu'elle ne m'échappe pas. Sa chatte est tellement humide que je glisse dedans comme dans du beurre. Depuis le temps qu'elle se fait tringler par toute la ville, on ne sent presque plus rien lorsqu'on glisse dans son fourreau. Alors tout devient mécanique. Mais qu'importe. Au moins, je peux me vider. Ça faisait longtemps que je n'en avais pas profité comme ça.

— Oh, continue, Shawn !

— T'aimes ça, hein ?! M'exclamé-je, essoufflé par tous les coups de hanches que je lui ai déjà mis aujourd'hui.

— Oh, oui, j'adore ça ! Continue ! T'arrêtes pas !

Je la laboure comme jamais. Marjory est une vraie salope, depuis que je la connais. Et ça n'est pas pour me déplaire.

Je l'ai connue il y a six ou sept mois environ, alors que je sortais en boîte de nuit avec des collègues aussi geeks que moi. À l'époque, je ne sortais que très rarement. Elle m'a fait des avances, et comme ma relation de couple battait de l'aile et qu'Isabella ne voulait plus baiser souvent, je n'ai pas hésité.

Je l'ai baisée, pour ne jamais plus m'arrêter.

Je continue de lui donner des coups de hanches, puis, dans un élan d'excitation, ayant envie de plus de sensations, je la retourne violemment. Elle sait bien ce que je veux et ce que j'apprécie. Alors, elle m'aide en écartant ses fesses à l'aide de ses mains, et je m'insère en elle d'une traite. Elle a l'habitude et elle aime ça. Je crois même qu'elle préfère être prise par derrière. Et pour moi, c'est encore mieux. Même si son anus est presque aussi dilaté que son con, les parois demeurent plus étroites.

— Putain, comme c'est bon ! J'adore ton cul, Marjo ! Hurlé-je.

Jamais Isabella ne m'a laissé la lui mettre dans le cul. Jamais. Et ça n'est pas faute d'avoir insisté à maintes reprises. Elle disait ne pas aimer cela, même si elle était totalement vierge de ce côté-là. Souvent, nous nous prenions la tête à cause de cela : j'insistais à maintes reprises, puis elle finissait pas s'énerver, cette conne.

Ces femmes...

Alors, au bout d'un moment, j'ai bien dû compenser. C'était ça, ou la séparation. Je n'avais pas le choix.

J'attrape la nuque de Marjory et enfonce mes ongles dans sa peau pour la maintenir, tandis qu'elle ondule sous mes va-et-vient. Sa tête bascule en arrière. Elle profite de ce que je lui offre. Et bientôt, elle tend une main derrière sa tête, entoure ses cheveux autour de sa main et tourne pour en faire une queue de cheval, qu'elle me tend. Je comprends aisément ce qu'elle attend de moi. Ça non plus, je n'ai jamais eu le droit de le faire avec Isabella. Avec elle, c'était toujours ce qu'on appelle le « sexe vanille », du basique, du chiant. Du lourd.

Alors, j'en profite : j'attrape ses cheveux et tire violemment dessus. Je peux même entendre le craquement de sa nuque sous la pression exercée. Elle geint de plus en plus fort. Mes boules claquent contre son périnée et ses lèvres humides.

— J'vais jouir, Shawn ! M'indique soudain la jeune femme, ondulant sous mes coups de reins violents.

Elle se cambre davantage, me permettant ainsi de la fourrer comme une dinde jusqu'à la base. Ma queue se contracte, et je force instinctivement sur mes abdominaux. Je sens alors mon sperme parcourir le chemin entre mes burnes et ma queue, puis juste avant qu'il n'en sorte, ressors ma bite de son cul. J'éjacule dans le creux de son dos en gémissant, observant attentivement le liquide blanchâtre et gluant tapisser son épiderme.

— Oh putain ! Ton cul de pétasse, Marjo ! T'es encore plus belle, couverte de foutre !

***

BOURREAU DES COEURS - TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant