CHAPITRE 60 - Hadrian

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Je continue de la violer jusqu'à déverser mon foutre dans le fond de son cul. Je jouis ouvertement, en ne lâchant pas Isabella des yeux. Jamais je ne détournerais mon regard d'elle pendant ma jouissance. Même si je n'en connais pas vraiment la raison. J'ai l'impression que lorsque je croise son regard empli à la fois de tristesse et de colère, tout est décuplé.

— Mmh... Putain, c'était bon !

Je donne une lourde frappe sur la fesse droite de Marjory, qui ne bronche plus depuis un petit moment déjà. Elle a subi sans rien dire pendant près d'une demi-heure, et je dois dire que même si parfois, je les fais taire, je préfère lorsqu'elles se débattent un minimum. Celle-ci n'a plus aucune vigueur, et ça en devient ennuyeux.

Je retire ma queue de son anus, qui doit certainement être en feu, en poussant un long soupir de soulagement puis, la queue toujours au garde-à-vous, je me penche au-dessus de la grosse machine camouflée sous le drap, et pose mes mains dessus. Elle est si haute que je n'ai pas vraiment besoin de courber le dos.

— Qu'est-ce que tu as prévu encore... Se plaint Isabella, de l'autre côté de la pièce. T'en as pas encore fini ?! Toujours plus loin ?!

Même si elle ne souhaiterait l'admettre pour rien au monde, sa chatte en redemande encore. J'aperçois son liquide ruisseler le long de ses lèvres gonflées. Mais je n'en ai cure, pour l'instant. J'ai d'autres priorités. La pousser à bout. Voir jusqu'où elle est capable d'aller, de pousser le vice. Elle finira bien par arrêter de mouiller, ça n'est pas possible autrement.

— Tu le verras incessamment sous peu, rétorqué-je enfin, sous son regard interrogateur.

Je retire le drap et admire cette machine que j'avais commandée il y a des mois de cela. Une de mes armes fétiches. Je l'ai quelque peu modifiée, mais son utilité première n'a pas changé. Disons simplement que j'y ai ajouté des options.

Isabella inspire profondément pour ne pas se laisser emporter par la panique, choquée par cette vision cauchemardesque. Je jubile, rien qu'à voir son visage se décomposer petit à petit, à mesure qu'elle observe l'objet sous toutes ses coutures.

— Non, Hadrian... Non...

— Oooh, les supplications, encore et toujours... M'esclaffé-je. Et pourquoi devrais-je te faire une faveur, princesse ?

— Pas à moi... À elle ! Répond-t-elle en désignant Marjory du visage.

Je lui ris ouvertement au nez, puis me redresse pour diriger la machine dans le bon angle.

— NON !

— Oh... Quoi, encore ?

J'utilise le ton le plus condescendant qu'il m'ait été donné d'utiliser.

— VIOLE-LA AUTANT QUE TU VEUX, MAIS ÇA, C'EST PAS HUMAIN !!! S'égosille à nouveau la jeune femme.

En entendant ces mots, Marjory gigote légèrement sous l'emprise de la croix. Et je sais d'avance qu'elle tentera de filer lorsqu'elle comprendra ce qui m'attend, toujours sans succès. J'ai hâte de voir tous ses espoirs s'éteindre, lorsque je la fixerai droit dans les yeux.

— Qui a dit que j'étais humain ?!

Je me place devant la croix de Saint André et fais face à Marjory, dont le visage est profondément ensuqué. Un léger rictus se dessine sur mon visage, puis je déverrouille les mécanismes de chaque côté de la croix.

— NOOOON !!!

Isabella continue de me briser les tympans, mais je reste calme en l'ignorant encore. Une fois que la croix est déverrouillée, je lève les bras et attrape les deux extrémités des montants pour les ramener à moi. Le bois émet des grincements insupportables, faute de ne pas avoir utilisé ce jouet assez souvent. Mais qu'importe. Je tire lentement, puis une fois fait, recule de quelques pas pour admirer le travail.

BOURREAU DES COEURS - TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant