Flammes De Douleurs

Livraison de nuit

Pedro me regardait avec incompréhension, puis il me questionna en fronçant les sourcils:

—  À chaque fois que j'essaie de t'embrasser tu m'évites, je veux savoir pourquoi ?

—  Et bien parce-que j'en ai pas envie .

Il ricana tous doucement et me fixa droit dans les yeux.

— J'ai bien vue la manière dont tu observais mes lèvres tous à l'heure .

— Et donc ? Répondit je en clignant rapidement des yeux .

Il poursuit.

— Avec tellement de passion, et d'envie alors pourquoi te controler dit moi ?

Je n'ai su quoi répondre à ce moment là, donc je me suis levé, et par la suite il a fait de même.

Il a ensuite déposer sa main sur ma joue pour la pincer.
Pedro, c'est ensuite en aller.

Je l'ai observer partir sans aucune réaction, c'est lorsque j'ai compris que je ne me souvenais plus du chemin du retour que j'ai crier :

—  Pedro !! Attend moi ne me laisse pas ici !

Il était déjà dans la forêt, mais il a tous de même entendu et répondu :

— Bonne chance pour retrouver ton chemin garde la pêche cousine !

— Tu va pas le laisser ici quand même ??!

— Je vais me gêner tiens .

Suite à sa il me mit en garde:

— Au fait gaffe au animaux qui ce trouve la dedans.

—  ET SA TE FAIS MARRER EN PLUS ?!

Criais je en espérant qu'il m'ai entendu .
Il ne me répondais plus, à cette instant j'ai directement compris qu'il était parti pour de bon.

J'allais donc devoir me débrouiller seule, avant le tomber de la nuit.

Sans perdre une minute de plus, je commence à marcher, je marche encore et encore, les branches il y en avaient de partout elles m'empêchaient d'avancer correctement.

Je continue tans bien que mal de retrouver le chemin .

Une pierre me fit trébucher dans une flaque de boue.

—  Purée !! Mais c'est pas vrai oh la la...
Sa ne sert à rien de continuer je n'y arriverais jamais.
J'ai taper la flaque plusieurs fois, et la boue a éclabousser mon visage, je continuais de mettre ma colère dans ce tas de bou comme si sa allait arranger quelque chose

Suite à cela, je me suis souvenu de toutes les fois où j'ai été brisés, et vexé.
Les jours où je voulais me suicider, les coups physiques que je me suis prise et que malgré tous j'ai continuer de me relever et de me battre.

—  Aller Neïla, ce n'est pas sa qui va te faire peur sérieux !

J'ai continuer de marcher, encore et encore c'était très long et mes jambes étaient plus que épuiser, mais quand le mental y est rien ne peut t'arrêter.

Donc j'ai continué jusqu'à voir apparaître une maison, et ce fût bien celle de cette abruti qui m'a laissé en plan dans cette endroit.

La porte était entre ouverte, je suis entrée et j'ai claquer la porte.

Il m'attendait assis sur le canapé.
Sur la table était posé deux verres et une carafe .

Pedro me fit une remarque.

— Je pensais que tu prendrais plus de temps señorita. Je te sens essoufflée, viens boire un peu .

Je me dirigea vers lui, je faisais mon plus beau sourire, par la suite il m'a tendu un verre d'eau, je l'ai pris j'en ai bu une gorgée et je lui est jeté le reste à la figure .