Flammes De Douleurs

Feu Vif

                    [ Pedro-Rilves ]

                              ***

Le flingue à la main, Neïla ce débrouillait comme une experte, je pensais avoir plus de travail à fournir pour lui apprendre à s'en servir mais ce n'était absolument pas
nécessaire .

Devant moi ce trouvais une futur tueuse à gage prête à tous démolir sur son passage, la manière dont elle ce défoulait sur cette cible était juste impressionnante.

On aurais dis qu'elle avait un tas de choses négatif qu'elle renfermait en elle.
Et toutes ces mauvaises choses finissaient sur cette objet la.

Je me souviens la toute première fois où j'ai tenu une arme à feu je devais avoir 17 ans quasiment son âge et je ne visais pas aussi bien la première fois.

J'en apprends plus sur elle de jour en jour, ces capacités me laisse sans voix.
Si elle est aussi doué pour ce servir de ce gadget peut être sera t'elle aussi perspicace en tapant dans l'un de ces punching-ball.

Elle déposa son arme au sol, enleva son casque et le jeta, elle couru en ma direction et ce réfugia dans mes bras en pleurant toutes les larmes de son corps.
Je la serra contre moi ne comprenant pas sa réaction.

— Doucement señorita. La consolais je en caressant ces cheveux de la plus tendre des façon.

Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'il ce passe dans son esprit et encore moins dans son cœur. La seule chose que je constate c'est que sa lui fait très mal.

Souvent tard le soir, je l'entends pleurer et demander pardon.
Disant qu'elle est le mal incarnée et qu'elle souhaiterais que cela s'arrête, elle disais qu'elle n'en pouvait plus de devoir ce battre contre son âme, que c'était la chose la plus compliqué à faire dans ce monde.

La phrase que je retiens et qui m'a fait énormément de peine c'est :

" J'aurais dû mourir à la naissance... pourquoi suis je venu au monde ? "

Cette phrase l'a tous les soirs et même lorsque qu'elle dort elle le répète en boucle. Et pourtant jamais elle n'a songé un instant à ce donner la mort, ce qui est plutôt rassurant pour moi.

Il fut un temps où je vendais de la drogue et me faisais de l'argent, mais tous sa n'a pas durer bien longtemps, pas parce que les forces de l'ordre m'ont attrapé non.

Neïla, je me suis arrêté en pensant à elle.
Serait t'elle contente de voir que son meilleur ami est devenu un putain de drogueman .

Je la voulais absolument dans ma vie, et ce monde là était beaucoup trop dangereux pour que je la fasse entrer à l'intérieur, donc j'ai tous jeter à l'eau.

Un remède, mon remède, une sorte d'antidote qui m'empêche de foutre le bordel autour de moi, voilà ce qu'est Neïla mon seule et unique médicament.

Elle voit seulement le mauvais côté de sa personne, le bien il est présent en elle mais sa elle n'arrive peut être pas à le voir et donc elle ce renferme, ce créer une sorte de carapace en ce disant que le bonheur na pas le droit de toquer à sa porte.

Il y a quelques mois en arrière quand nous sommes aller au restaurant, Neïla c'est confié à moi en me faisant par de ces sentiments enfouie en elle.

**- - Flash-back - -**

— Tu n'aimes pas la viande señorita ? Demandais je confus voyant qu'elle n'osait pas en manger.

— Oh... si... si . Répondit t'elle. C'est juste que. Elle déposa ces couvert sur la table . Pedro...Je ne mérite pas autant de gentillesse de ta part, je suis mauvaise... une personne très mauvaise. Déclara t'elle la voix qui craque et les larmes au bords des yeux. On me rappelle souvent les erreurs que je faites dans le passé, et en me disant que je suis un monstre sans cœur qui ne mérite pas de vivre.
Ils ont totalement raison...