— Neïla comment pourrait je te tuer alors que tu es là raison pour lesquel je vis ?
—...
— Viens on y va.
[ Neïla ]
***Maintenant mon monde était parti en miettes, pourquoi continuer d'avancer hors que tous ces efforts je les faisais seulement pour rendre fière ma mère ?
J'étais complètement déboussolée.
À vrai dire j'avais l'impression qu'elle avait toujours pensé sa de moi et encore plus quand ma sœur lui disait :"Ta fille est amoureuse d'un garçon si elle continue elle pourrait être enceinte"
Ou bien
"Il ne faut pas que ta fille aille sur les réseaux, car elle pourrait probablement devenir une pute"
Et j'en passe, et toute sorte de remarque qui pouvais effrayée ma mère au point ou je n'avais plus le droit à rien.
Depuis j'évitais de parler aux garçons, et quand j'étais amoureuse je n'allais pas en parler à ma famille par peur d'être une trainée à leur yeux.
En fait je n'en parlait a personne, j'avais des copines à ce moment là et si j'avais le malheur de leur en parler elles auraient fait circuler cette information jusqu'à m'humilier en me faisant comprendre que j'étais beaucoup trop moche pour plaire à un mec.
Lorsque je tombais amoureuse d'un garçon je devenait triste et je pleurais car pour moi ce genre de sentiments n'était vraiment pas normal.
Des fois quand un mec venait me parler je devenais hyper agressif, et parfois même j'en arrivais au poings.
Tous naturellement le collège appelait ma mère, pour lui en informer
puis lorsque je rentrais chez moi elle avait appelé tous les membres de ma famille pour leur dire à quel point je me comportait mal.
Et qu'elle en avait marre de moi.
Mais tous ce que je pensais faire c'était me "protéger" afin de ne pas être une salope comme tous les gens de mon entourage le pensait.
(Y compris mes amies)Ces années de collèges furent celles que j'ai le plus détestées, ainsi que le lycée .
A vrai dire, c'était peut être mieux pour moi qu'ils me traitent tous ainsi non ?
[ Pedro-Rilves]
***Elle c'était endormi et je ne savais comment la réveiller, j'ai tapoter son épaule mais elle ne sentait rien, j'ai répété de nouveau l'action et cette fois ce fut un succès :
— On est arrivés . Lui informais-je.
— Oh mince je m'étais endormi...
— Allez viens.
Arrivé dans l'appartement, Neila me demande si j'ai besoin de quelques chose à manger, ou autres .
Je pouvais lire à travers ces yeux le déséspoir et la tristesse et dire qu'à l'époque ces yeux étais empli d'espoir et de joie.
Son magnifique sourire était tous les jours présent, c'était bien elle m'a Neïla qui partageait sa bonne humeur et redonnait le rire à ce qui hélas l'avait perdu si tôt comme moi.
Oui cette fille est et restera une source de lumière pour moi, je sais que je ne suis pas le seul qu'elle a aider à ce sentir mieux, si elle l'a fait à moi elle a du faire la même chose avec d'autres et j'en suis même certain .
— Si tu veux quelque chose n'hésite pas à me réveiller Pedro.
— Ne t'inquiète pas señorita j'ai besoin de rien.
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Flammes De Douleurs
عاطفيةAyant un vide en elle, Neïla perd goût à la vie . Un soir attendant le bus elle fera la rencontre d' un mystérieux jeune homme qu'elle n'a jamais vue dans sa ville auparavant, qui semble connaître son prénom et l'obligera à prendre une boîte . Par...