Coups de feu

1.3K 36 27
                                    


*bruits d'éclats de verre

Le bruit étais si fort et térrifiant j'en ai compté trois...trois coups de feu.

J'ouvre les yeux , je touche mon corps, j'examine mes mains, je fixe le sol puis je lève la tête.

Cette homme était toujours là à côté de moi, sa tête et sa main armé était tourné vers une camionnette.

Il l'avait tiré dessus ,les vitres étaient complètement brisés, des éclats de verre partout au le sol.

Je pensais qu'il allait tiré sur moi , est-ce un coup chance ?

Je ne crois pas.

Pourquoi sur cette camionnette et pas sur moi ?

J'avais trop de question qui me turlupinais dans la tête à ce moment là.

—Tu ne m'a pas retiré la vie ? Demandais je abasourdie.

Mon cœur battait terriblement fort dans ma poitrine j'avais l'impression qu'il allait en sortir.

L'individu se retourne, m'examine de haute en bas avec attention pendant quelques secondes.

—Tu es toujours en vie d'après ce que je vois non ? Si tu veux pas finir comme les vitres de ce camion je te conseille de la fermer Neïla.

M'ordonna t'il d'un ton qui me glaça instantanément le sang.

Je fus bouche bée il connaissait mon prénom.

Mais comment ?!

Je ne l'ai jamais vue dans la ville ni ailleurs, fin du moins son visage ne me disait rien.
Pourtant l'une de mes capacités est de reconnaître chaque personne avec qui j'ai eu une conversation.
Mais lui...lui je n'ai aucun souvenir.

—Comment tu sais mon prénom ? Demandais je toute confuse .

Il vint vers moi, leva légèrement ma tête vers le haut, il approcha ensuite son visage du mien, retira délicatement le tissu qu'il avait au niveau du nez .

J'étais surprise il sentait tellement bon, et ces yeux couleurs noisettes était tellement magnifiques et envoûtant, Que l'on pourrait ce perdre à l'intérieur comme dans les sables mouvants du désert du Sahara.

—Je le sais c'est tous.
Répond dit il d'un ton assez ferme.

Il me lâche, puis je lui hurle dessus :

—Abruti va ! Comment tu sais mon prénom ?! et évite de poser tes vieilles mains sur mon visage clochard !
Criais je assez énervé.

Il ricana doucement, puis répliqua ;

—Mais elle n'a peur de rien la gonzesse.

Il pointe son pistolet devant mon front, j'avais son arme à quelques centimètres près de moi .

—Ouvre encore ta grande geule et je te descends compris ?

On se fixe droit dans les yeux sans baissé le regard, comme une sorte de duel.

Environ une minute passe et aucun ne détourne les yeux .

Il baisse son révolver puis le range, ouvre ce qu'il a dans la main, s'assoit et commence à manger .

—T'en veux ? Proposa t'il.

—Non je n'en veux pas.

—Parle moi un peu de toi. Poursuit il.

Je l'ai alors observée, puis je dit toute agacée .

—Tu ne répond même pas à mes questions, tu me menace en me faisant comprendre que si j'ouvrais encore ma bouche tu me tuerais et tu veux que je te parle de moi ?! réfléchis deux fois avant de parler !

Il se lève, puis avec son doigt il tapota mon front a plusieurs reprise, puis me répondit de nouveau :

—Non je rectifie , tu n'as pas écouter un traitre mot de ce que je t'ai dis .
Je t'avais demandé de fermer ton bec malgré sa tu l'a ouvert donc par conséquent j'aurais du te buter .

Flammes De Douleurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant