Course contre la montre

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                                                                                 [ Neïla ]
     
                                                                                ***

                                          

Les chants pénible des oiseaux vint interrompre mon sommeil me rendant aigri dès le matin. Des fois je me demande vraiment comment dans les Disney les princesse peuvent a ce point aimer les chants des volatiles et devenir amis avec eux par la suite. C'est vrai qu'ils sont minions à croquer mais leur chants m'agace très fortement, donc ce n'est vraiment pas leur mélodie qui créera une amitié entre eux et moi. Pour faire simple je suis loin de devenir une princesse.

Je pose un pied au sol puis l'autre, j'attends ainsi pendant de longues minutes.
Puis j'eu un petit choc électrique, je regarde ma montre et il est inscrit 14h25.

— Mon entretien est à 15h00  et je ne me suis toujours pas préparé ?! Mon dieu, mon dieu, mon dieu !
Criais je en fonçant me préparer.

Je ne savais ni ou ce trouvais ce fameux restaurant et encore moins comment mi rendre, c'est sa l'inconvénient de postuler en ligne dans des lieux au hasard.
Car oui je n'ai jamais entendu parler de cette endroit.

Après m'être débarbouillée et laver je file en vitesse pour chercher mes vêtements et en cours de route ma serviette glisse sur le sol, je me retrouve alors nu dans les couloirs de cette maison, et comme si tous sa ne suffisait pas, je le vois débarquer lui, pile au moment où il faut pas...

Je devint alors rouge de honte, car il avait vue mon corps remplie de défauts, tous il avait absolument tous vu, je ramassa alors rapidement ma serviette pour me recouvrir et couru de gêne jusqu'à ma « chambre ».

Puis je me mis à de nouveau à pleurer,  pas de tristesse, mais bien de honte.

Mon corps je ne l'assumais pas, je n'osais à peine le regarder...
Je me trouvais vraiment très grosse, et j'avais peur de prendre du poids donc je ne prenais que de très petite quantité de nourriture pour que je puisse enfin maigrir.

Mais chaque mois lorsque je faisais le bilan, je trouvais que j'avais encore plus grossi que la fois dernière même si la balance me disait le contraire, tous ce que je voyait dans le miroir c'étais Neïla qui avait encore plus pris du poids.

Je hurlais dans mon cousin sans m'arrêter jusqu'à ne plus avoir de souffle.

Ensuite j'allais vomir, pour me sentir mieux.

Tellement je perdais de la masse, des vergetures ont recouvert l'ensemble de mon corps me donnant ainsi une raison de plus pour le détester et le trouver immonde.

Assise contre la porte la tristesse revint au galop, me laissant toutes sorte de pensées suffocante pour mon esprit.

— Stop Neïla, stop... murmurais je seule.

Je reprit alors ce que je devais faire, c'est à dire m'habiller et aller à ce rendez-vous. En cours de route Pedro toqua a la porte.

— N'entre pas. Dis je d'un ton plutôt sec. Je ne suis pas habiller.

— C'est bien pour sa que je veux entrer. Rétorqua t'il derrière la porte.

— Nan sérieusement laisse moi... je ne suis pas d'humeur.

— Ta cinq minutes pour t'habiller après j'entre.

En vérité j'étais déjà prête, seulement j'avais toujours ce sentiment de gêne en moi, j'avais honte de lui parler après cet action la.
Et il ne m'aide vraiment pas en disant qu'il veut rentrer pour me voir nue !
Il est lourd par moment.

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