O Confidente

9. O Confidente

~ Leão ~

3 jours, depuis que je connais les points faibles de Pablo Garcia.

Cette pute m'a enfin été utile. Mon frère a réglé cette guerre avec les Ruíz en 2 jours. Je ne sais pas réellement ce qu'il a fait mais ça met complètement égale.

Je suis sur ma terrasse à contempler le ciel incroyablement bleu et je prie du plus profond de mon cœur qu'une bonne nouvelle me soit annoncé.

- Hermano. S'introduit dans ma chambre mon petit frère.

- Hermano ? Tu te fou de moi Cobra ?

- Tu es mi Hermano.

- Ta pute espagnole t'a encore appris des trucs ?

- Elle est pas espagnole déjà mais cubaine. Ensuite j'aime beaucoup trop cette langue.

- Patrão, on a trouver la petite ! Intervient un de mes hommes.

ENFIN !

- Va dire à Vanessa qu'on s'en va et qu'on rentre dans deux jours.

- Sí Hermano.

- Appelle moi encore une fois hermano et je te coupe une couille.

- Les tiennes sont pas assez grosses que tu dois prendre les miennes ?

- FILHO DA-

- On a la même mère parvo !

Il pars prévenir notre sœur et redescend peu après. Nous montons en voiture et nous voilà parti pour l'état de Rio de Janeiro.

Nous avons roulez pendant quatres heures avant d'arrivée chez la petite fille. Putain ce que ça baraque est bien protégé.

- Comment on rentre ? Demandais-je à Miguel.

- Un camion de ravitaillement d'arme va arrivée d'une minute à l'autre. Le gars est déjà au courant que nous allons monter. Donc on aura juste à s'introduire dans la maison après.

- Perfeito. Finissais-je.

Miguel et Ayden sont d'une efficacité sans nom. Je ne sais plus comment je l'ai trouvé mais merci mon Dieu.

Nous n'avons attendu à peine vingt minute avant que le camion arrive.

- Leão ? Comment ça le chauffeur du camion.

- Oui, c'est moi.

- Je suis Félix. Monter ne faite pas de bruit.

Nous nous exécutons et montons en silence. Nous sommes environs une quinzaine dans le camion.

Nous roulons puis nous nous arrêtons peu de temps après. J'entends les gardes qui vérifient ses papiers. Logique.

Ils ne vérifient pas la cargaison. Quel bande d'abruti !

Le camion reprend sa route puis s'arrête pour de bon. Nous descendons tous et nous sommes dans un garage.

- Il n'y a seulement 5 hommes dans cette maison. Tous cagoule car la petite n'aime pas voir leur visage. M. Garcia rentrera à 20h donc dans une heure. Nous informe Félix.

- Qu'est ce qui ton fait pour que tu nous aides ? Demanda Cobra.

- Ils ont tué ma fille !