16. Premier meurtre

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~ Leão ~

LES RUÍZ ! NOUS ONT ATTAQUER !

C'est pas vrai, la guerre est réelle. Il faut que je passe à l'attaque. Je ne peux pas me laisser devancer par ses mafieux de bas étages.

Pas moi.

Pas Leão Silva.

Je suis dans ma chambre et je fais les cents pas comme toujours. Je ne m'arrête je réfléchis à comment attaquer. Leur montrer qui je suis !

De plus, Talia.

Pourquoi c'est moi qu'elle a appelé ? Pourquoi a t elle crié « Leão » ?

Pourquoi moi précisément ?

On toque à ma porte ?

Qui ose toquer à LA PORTE DE MA PUTAIN DE CHAMBRE ?

Talia ?

- Qu'est ce tu me veux ?

- Parler s'il te plaît.

Je souffle en la voyant mais la laisse entrer. Elle entre puis me remercie. Elle regarde autour d'elle pour voir les objets qui constitue ma chambre et l'analyse en détail. Je l'observe comme je ne l'avais jamais fais. Elle est grande de taille, plus que sa sœur. Elle a les yeux marron claire et un temps digne d'une vrai latina. Quant à ses cheveux ils sont long, soyeux, légèrement crépus et tressés. Elle est en tout point une brésilienne je vois à peine la Colombie en elle. Elle n'est pas si mal que ça en réalité et ça me surprend d'avantage. Je continue de longer son corps avec mes yeux et vois toute les cicatrises que je lui ai faite. Son corp est magnifique elle a des formes suffisantes pour me satisfaire au lit et un cul incroyablement rebondit, elle doit être une vrai sportive dans la vie de tout les jours.

- Leão ?

Son interpellation me sors de mes pensées. Je me reconcentre sur elle. Et arrête de la matter.

- Talia ?

- Merci. Pour tout à l'heure.

- Ne me remercie pas. C'est pas grand chose.

- Si tu aurais pu me laisser me faire tuer ou pire.

- Il n'y a que moi qui peux te martyriser princesse. Lui dis-je avec un sourire narquois.

Elle émets un semblant de rire à peine audible mais je l'entend et ça me fait sourire.

Ça me fait sourire ?

Comment ça moi je souris ?

- Tudo bem ? Me demande-t-elle légèrement préoccupé par mon état.

- Sim por que ?

- Je demande comme ça. Tu as l'air préoccupé.

- C'est le cas.

Elle s'approche de moi et se postionne juste à ma gauche. Elle me frôle à peine ce qui me fait étonnement frissonner.

- Je sais que tu ne me supportes pas et dire que ce n'est pas mon cas également serai mentir mais, tu veux en parler ?

- C'est vrai tu m'insupportes et je sais que c'est réciproque mais ne t'inquiète pas pour moi Talia.

- J'espère que ça s'arrangera alors.

Elle me regarde dans les yeux et me fixe.

- Mes yeux te dérange ?

- Non ils sont-

- Étrange ? La coupais-je.

- Magnifique.

Elle me sourit et je lui souris en retour.

O ConfidenteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant