O Confidente

28. Elisabella

~ Talia ~

3 jours, déjà 3 trois jours que nous attendons d'aller récupérer la fille de Alfonso.

C'est le grand jours.

Lundi.

Je n'est presque pas dormi de la nuit angoisser par les événements à venir. Elisabella cette petite princesse. Pardonne moi mãe pour ce que je compte faire mais... c'est pour elle. Pour ta fille. Minha irmãs mais nova. Minha princesa.
Elle me manque terriblement. Je ne sais pas ce qu'elle vit. Si elle est déjà morte à cause de sa grande gueule ou pas. L'angoisse. Je ne supporte plus ce sentiment et je ne m'y ferai sans doute jamais.

- Talia ?

On toque à ma porte. C'est lui.

Leão...

- Princesa ouvre moi. Por favor.

Je me lève de mon lit et me dirige vers la porte pour le laisser entrer.

- Sim ?

- Je peux entrer.

Je me décale de la porte qu'il comprenne qu'il peut entrer dans ma chambre.

Il le fait et pars s'asseoir sur mon lit.

- Comment tu te sens ?

- Assez mal. Je me suis souvent occupé de cette petite et maintenant...

Je n'ai même pas le courage de finir ma phrase tellement je me dégoute.

- C'est pour ta sœur et pour rien d'autre.

Il me dis ça d'une voix très réconfortante ce qui me surprend énormément venant de lui. Mais ça me fait du bien de l'entendre dire c'est quelque mots.

- Obrigado Leão.

Il s'approche de moi et dépose un baiser sur mon front. Son étreinte était sincère et apaisante dans la situation dans laquelle j'étais. Je frissonne suite à son contact mais ça me fait plaisir.

Énormément.

- On pars dans 15 min sois prête.

Que le cauchemar commence.

Après cette dernière phrase il s'en va puis je le rejoint 15 min plus tard.

Nous montons en voiture et aussi bizarre que cela puisse paraître j'ai conduit jusqu'à la demeure de note future prisonnière.

Durant toute la route, ma culpabilité n'a fait que grandir en moi. Je prie sans cesse sans m'arrêter que Dieu pardonne tout mes péchés et mes trahisons mais en ce qui me concerne je ne me pardonne pas moi même pour ce que je vais commettre aujourd'hui.

Kidnapper une enfant dont je me suis occupé durant des années après la mort de sa maman.
Aider les hommes qui ont tuer son père alors qu'il étais son héros dans la vie.

Quel genre d'abomination humaine suis-je ?
Je me déçois de jours en jours.

Mais au fond j'en veux à ma sœur, je lui en veux d'avoir fréquenter des trafiquants. Ça ne fini jamais bien c'est histoire.

La preuve !

Mais à quoi bon reçasser le passé
Ce qui est fait et fait.

- Écoutez moi. Commençais-je. Il ya cinq gardes à l'entrer, deux derrières, trois au rez-de-chaussée et trois à l'étage. Pas de coup de feu et ne faites aucun bruit.

- Princesa tu viens là chercher avec moi.

Après mes informations Cobra pars avec ses hommes attaquer les gardiens de cette maison. Une fois que la voie est libre je monte à l'étage récupéré la petite.