fuck what these hoes sayin cus my man say im perfect.
Sa faisait maintenant une semaine que j'étais rentrée en France, j'étais vraiment secouée de la nouvelle. Déjà que de base je suis une meuf stressée mais la c'est pire, j'ai tout le temps une boule au ventre. Chaque jour je me rend à l'hôpital pour être avec lui, quand je le vois branché à tout tous ces trucs, mon cœur se serre. J'essaie de rester forte, mais parfois c'est juste trop dur.
J'essaie de garder le moral, de sourire, mais putain, c'est dur. Sa me fait aussi vraiment trop de peine de voir père dans cet état, je l'ai jamais vu autant mal de toute ma vie.
Parfois, je me cache dans les toilettes juste pour pleurer un bon coup. Mais je reviens toujours, parce que je sais que mon grand-père a besoin de nous tous, et qu'on doit être là pour lui.
Sa fait une semaine que je n'arrive pas a dormir, aujourd'hui j'ai aussi passer toute ma journée à l'hôpital, il y'avait toute la famille du côté de mon père. Je sens que notre lien s'est archi renforcé depuis le début de cette épreuve que nous traversons. Sa m'a fait trop trop du bien rester passer la journée à cotée de mon grand père, à lui tenir la main.
Je suis rentré en fin d'après-midi la je suis actuellement à table avec mes parents, ma mère avait préparée des lasagnes. Un plat que je kiffe manger d'habitude mais la j'en avais pas envie du tout. D'autant plus que je voyais à quel point mon père était éteint, il avait même pas toucher son assiette.
Maman : Chéri, tu n'as presque rien mangé, s'il te plaît fais un effort.
Papa : J'ai vraiment pas faim.
Maman : Je comprends, mon amour. Mais tu dois rester fort, pour nous, pour Leyaah, et surtout pour toi-même. Tu ne peux pas te laisser abattre, dit-elle posant doucement sa main sur la sienne
Après un moment de silence il prend une petite bouchée de nourriture, un léger sourire apparaissant sur son visage fatigué, ma mère lui lâche un sourire. Ils sont réellement en train de lover sous mes yeux la , sans gêne ?
Moi : C'est presque trop mignon pour être vrai, inscrivez vous sur les z'amours vous allez percer.
Ils se mettent à rire.
Maman : Si ça permet de m'acheter mon prochain sac je dis pas non , business is business hein.
Moi : J'avoue autant rentabiliser .
Papa : Vous avez pas honte à votre âge ?
Sa m'a fait trop rire la façon dont il a l'a dis j'ai éclater de rire, je suis reconnaissante que même dans les moments comme ça, on trouve toujours le moyens de rire.