chapitre trentre quatre

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42.

J'étais en train de mélanger la pâte à gâteau, on était dans la cuisine avec ma mère en train de préparer les gâteaux préférée de mon grand père pour lui apporter à l'hôpital

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J'étais en train de mélanger la pâte à gâteau, on était dans la cuisine avec ma mère en train de préparer les gâteaux préférée de mon grand père pour lui apporter à l'hôpital. J'étais contente car en ce moment il va mieux, j'espère de tout cœur que sa va continuer ainsi.

Moi : Tu te rappelle quand il nous racontait ses histoires de jeunesse ? Comment il a gérer Jaddah et tout ça dis-je en riant

Ma mère hoche la tête en rigolant.

Maman : Mais bien sûr que oui quand il a faillit se faire fracasser par le père à Jeddah parce qu'il l'avait ramenée trop tard chez elle.

On a continuer à parler et à éclater de rire des anecdotes de mon grand père, chaque moment passé avec lui était si drôle. J'avais trop hâte qu'il goûte les gâteaux, qu'on était en train de faire pour lui.

Moi : J'espère qu'il va pouvoir les manger, ils sont fait avec amour en tout cas.

Maman : Oui il y'a pas de raison, il va être content en tout cas.

Au même moment le téléphone de ma mère se met à sonner, je vois qu'elle fronce les sourcils avant de répondre.

Maman : Oui chéri ?

C'était sans doute mon père.

Maman : Quoi ... non c'est pas possible

Mon cœur commençait à battre de plus en plus fort, j'ai directement eu une boule au ventre.

Moi : Il ce passe quoi ?

Maman: Oui je comprends on arrive tout de suite à l'hôpital.

Moi : C'est pour papi ?

Elle me réponds pas puis elle raccroche ses mains tremblaient, elle avait les larmes aux yeux.

Maman : C'était ton père ... ton grand père ... il est parti la chérie, je suis désolée.

J'étais sonnée j'arrivais pas à y croire vraiment je saurais même pas vous dire comme je me sentais à ce moment là, surtout que moi j'ai jamais perdu un proche. J'ai toute ma famille a mes cotées j'ai jamais été à un enterrement etc.. la tête de mon grand père, et les souvenirs envahissait mon esprit. Les larmes étaient en train de couler sur mes joues, je me réfugie dans les bras de ma mère.

Maman : On va à l'hôpital dit-elle en me caressant les cheveux on doit être forts pour lui bébé.

J'acquise seulement en reniflant j'avais de la morve partout mais j'en avais tellement rien à foutre, à l'heure qu'il était.

Je veux juste t'aimer ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant