First love again

Chapitre 37

Déjà que je n'ai dormi que dans mon lit à moi toute ma vie, je me retrouve à faire ma première fois, d'un un autre lit. Celui de mon copain.
J'avais des mouvements maladroits tandis que lui savait presque.  exactement ce qu'il faisait.
Peut-être parce qu'il l'avait déjà fait, avec une autre.

Nan arrête, il n'y a que toi pour penser à ça maintenant.

Mais c'est une vraie question après tout.
Petit fragment de plus, tout petit...

- Y a eu qui d'autre avant moi ?

Il s'arrêta à moment pour me regarder, ces cheveux défaits, il était encore plus beau.

- Tu penses vraiment que c'est le moment de parler de mes ex ?

- J'ai juste envie de savoir... et-

Je fus interrompue par une notification sur mon téléphone. Je vérifia rapidement.

- Et on peux vraiment rien faire ce soir... mon père arrive demain matin.

Et s'il ne me trouvais pas dans mon appartement, je ne savais pas comment il allait réagir. Sauf que j'en mourrais d'envie après ce petit aperçu.

- On aura largement fini avant que ton père arrive championne.

- T'en est vraiment sûr ? Il faut absolument qu'il me trouve dans mon appart..

- Je te le promets.

Et on est reparti sans attendre, car chaque seconde était précieuse.
Il a glissé ses mains sur mes hanches, en dessous de mon t-shirt. Ses lèvres ont plongées sur moi, sa langue en moi. C'était juste incroyable, mais je pense que c'était parce que c'était Kallian. Mon Kallian.

- Et si ton frère arrive ? ai-je demandé en interrompant le moment.

- Il est pas là, il passe quelque jours chez son père. Maintenant s'il te plaît, arrête.

Les rôles se sont échangés, j'étais à califourchon sur lui, sentant son membre à travers son short.

- Kallian ?

- Mmh ?

- Tu penses pas que c'est pas légal ? Une relation comme la nôtre, 16 19 ans ?

Il soupira un coup. Je sais que j'en fais beaucoup, mais parfois c'est ça aussi moi.

- Si la loi imaginons, disait que tu n'avais pas le droit. Est-ce que, là maintenant, tu t'arrêterais ?

- Non...

- Alors boucle la et embrasse moi.

J'ai arrêté de poser des questions, bêtes si je peux dire ça comme ça.

Puis il m'a ôté mon haut, laissant à découvert ma poitrine.
Et la nuit a duré ainsi pendant de nombreuses longues heures, remplie de caresses, de baisers, de mouvements maladroits et de pleins d'autre chose que je ne saurais citer.

Mais ce qui m'a fait le plus rire; a bien été le moment où il a dû aller chercher un préservatif du côté de son frère car il faisait apparement « la même taille ». J'ai réellement hésité à lui demander comment il le savait, mais j'ai préféré me taire.

C'était parfait. Ça se serait senti si tout avait été mis en scène, mais là c'était spontané. Sur le coup de l'amour.
Nous étions à présent tout les deux nus, épuisés l'un contre l'autre. Malgré ma fatigue, c'était ma phobie de dormir dans ses conditions.

Alors que mon petit ami dormait, je suis aller chercher un s hier et un t-shirt qui m'arrivait presque au genoux, dans son armoire. Je suis retournée sous la couette, me blottissant dans ses bras, je n'avais plus à m'inquiéter.