~Formule 1 recueille one shot~

Chine (Piarles) -2-

Une larmes coulent sur ma joue, suivis d'une autre et encore une autre. Elles sont maintenant des centaines à dévaler mes joues.

J'espère que Charles ne l'a pas mal au prit..

Il l'a sûrement extrêmement mal prit, mais il est intelligent..il comprendra..n'est ce pas ?

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Je hurle dans mon casque, je suis désemparé par tout mon weekend. Depuis vendredi, Charles et moi n'avons pas parler. Ce qui fait que je tire encore plus la gueule. Mais tout ça me dépite. C'est donc, une fois mon casque et mes gants enlever, que je me dirige vers le garage Ferrari.

J'attache ma combinaison au tour de ma taille et des larmes perlent au coin de mes yeux.

J'ai juste besoins de le voir, tant pis pour la discrétion ou notre relation. J'ai besoins de voir Charles et de sentir ses bras m'entourer.

J'arrive et je voix Fred, face à moi, bras croisés et sa jambe tape au sol. Il est énerver.

J'arrive vers lui et comme je le pensais, il me retient.
-Pierre, il ce passe quoi ? Je comprends qu'il parle de Charles et moi, je baisse la tête et soupir avant de la relever.
-Tu sais, cher Alpine..c'est pas le feux..je prends une grande inspiration et reprend. Donc ça tire beaucoup sur mon comportement, alors si avant ça ne touchait pas Charles. Vendredi je me suis énerver, ça avait dépassé des limites que je pensais intouchable ! Et ce jour là, Charles les a toucher. Il a toucher mes cordes sensibles au pire moment..donc je me suis énervé. Il me regarde et son air énerver passe à de la compréhension.
-Et que-ce que tu lui as dit ? Demande t'il en baissant ses bras.
-« Même ta présence me rend complètement dingue !! J'en peux plus Charles, j'en est marre de tout ! Toi, cette endroit, ma voiture, les gens, tout ! » mais je regrette a un point Fred, ta pas idée..

Il écarquille les yeux et ce frappe le front avant de recroiser les bras.

-C'est pour sa !? Pierre, va le voir. Il tire la gueule depuis Vendredi à cause de ça, je peux te dire que niveau remises en questions, il en a battu des records ! Il avait des moments d'absence depuis, mais il est vraiment irritable. Alors va lui parler, s'il te plaît. Je hoche la tête et il frappe légèrement mon épaule avant de s'en aller, moi de même pour me diriger dans le garage Ferrari.

Je tourne la tête mais ne le voix pas, part ailleurs je vois Carlos. Alors je me dirige vers lui, qui câline avec Lando, et tapote doucement son épaule.

Il ce retourne et me regarde, inquiet.
-hey..vous auriez pas vu Charles ? Ils ce regardent avant que Carlos ne dépose discrètement ses lèvres sur celles de son compagnon puis me dit de le suivre, ce que je fais.

Il m'amène derrière, devant les rooms et toque à la porte de mon Monégasque.

-Charles ? C'est Carlos. J'entends un léger « laisse moi » sortir de la bouche de Charles, ce qui me fait frissonner.
-Charles, s'il te plaît..ouvre moi. Je regarde la porte, puis mon ami Espagnol.

J'entends un soupir et la porte ce déverrouille, s'ouvrant de quelque centimètres. Signe que Carlos pouvait entrer, je lui fis signe d'aller rejoindre Lando.

Ce qu'il fit, pendant que moi j'entre en refermant à clé derrière moi. Mon petit-ami est dos à moi, assis sur son canapé en regardant le sol.
-Que ce que tu veux Carlos ? Je souris avant de relever complètement la tête.
-Toi. Je le voit ce tendre avant de très vite ce détendre, j'ai moins de chance de me prendre une patate.
-Toi et toi seul. Tes lèvres, tes bras, tes câlins, ta voix, toi. T'es le seul que je veux Charles, rentre toi sa dans la tête ! Et le seul que je voudrais à jamais ! Parce que putain ce que je t'aime ! Ça a le mérite d'être clair !

Je m'approche de lui, n'aillant aucune réponse. Arriver à quelque centimètres de lui, je n'est le temps de rien faire qu'il ce lève et plaque ses lèvres sur les miennes.

Il me pousse en arrière, me planquant contre le mur puis passe ses mains sur mes hanches. Il en avant tout autant besoins que moi.
Je remonte mes bras autour de sa nuque et resserre ma prise, je ne veux plus qu'il m'échappe. Plus jamais.

On ce détachent et je colle nos fronts.
-Putain moi aussi je t'aime Pierre !