Le secret de la concubine du Roi

Chapitre 1 :

Les jours avancèrent comme cela devait se passer. Hisoka travaillait différentes tactique pour ses différents bataillons quand on frappa à sa porte de bureau.

-Entrez.

Un jeune homme au cheveux noir et tunique vert entra dans la pièce.

-Ah Gon, que me veux-tu je suis en plein travail ?

-Je viens vous transmettre un message de mon père Ging.

-Eh bien je t'écoute mon petit. Parle.

-Le roi Zoldyck a été fait prisonnier et il arrivera en fin de journée.

Le visage du roi étira un sourire plus que satisfait.

-Parfait. Dit à ton père, qu'il ont carte blanche en terme de torture cette nuit. Je m'entretiendrais avec lui demain à la première heure.

-Entendu sir.

-Gon.

Ce dernier regarda son roi et il rattrapa au vol un petit objet. Quand il ouvrit sa main, il y vit une friandise. Son regard rencontra celui or du roi perdu.

-Tu as fais du bon travail. Tu as le droit à une sucrerie. Maintenant va.

Gon s'inclina avec respect en le remerciant et sortit de la pièce. Hisoka posa son visage dans sa main en regardant la porte maintenant fermée.

-Adorable ce petit.

Il se leva de son bureau et quitta à son tour la pièce. Marchant dans les couloirs où certaines servantes s'affairaient et le saluant sur son passage. Il passa devant un grand tableau où une femme était représenté mais où il ne s'y attarda pas le moindre du monde. Même s'il s'agissait de la reine. Sa femme aujourd'hui morte. Ils étaient montés sur le trône ensemble mais ce n'était pas par plaisir pour lui. Il ne l'avait en aucun cas choisi. Il s'insupportait presque. Leur mauvaise entente était telle que la rumeur veut que ce soit lui qui l'ai tué pour être à jamais débarrassé d'elle. Il avait laissé couler cette rumeur qu'il n'avait pas forcément démenti. A savoir si cela était vrai, seuls ses mots pourraient le dire.

Il alla dans la bibliothèque royale et commença à lire tranquillement. Il avait besoin d'une pause. Depuis un an maintenant le faisait preuve de son génie stratégique. Plus d'un an qu'il était maintenant roi car l'ancien roi lui avait presque vendu son trône à lui un ancien noble et fervent serviteur de ce dernier. Il sourit en repensant à cela. Sa destinée n'était pas de l'être mais depuis sa plus tendre enfance il aimait mettre une bonne claque au destin. Il aimait changer les choses et faire en sorte que les choses qui ne devaient pas arriver arrivent. Cela l'excitait quelque part. Le soir venu on le lava et l'habilla pour la nuit. Il alla à la fenêtre de sa chambre et vit le convoi arriver avec une cellule ambulante. Il ricana en mettant sa main sur sa bouche afin de rester digne quelque part. Il mit sa main dans ses cheveux flamboyants et les tira un peu en arrière pour dégager sa vue.

-Demain je serais. J'ai déjà hâte de voir ton visage.

Il se coucha et s'endormit. Au petit matin, il se fit réveiller par son majordome et il s'habilla pour recevoir le fameux roi Zoldyck. On lui servit un bon petit déjeuner et une fois rassasié, il demanda à ce qu'on lui amène le roi de la contrée voisine. Un roi qui lui résistait depuis un an maintenant. Lui aussi était un bon stratège mais pas assez pour lui malheureusement. Le domestique transmit alors la volonté du roi aux gardes.

Ces derniers descendirent dans les sous sols du château où se trouvait la cellule du roi se faisant torturer à coup de fouet. Son corps était meurtrie, des griffures, des bleus et ont en passait. Quand ceux le torturant s'arrêtèrent en entendant les gardes arriver.

-Le roi demande à le voir.

-Entendu.

-Tu as de la chance qui sait ce que nous aurions pu te faire en suite.

-Il suffit. Il doit être conscient pour parler au roi. Préparé le vite.

Les hommes s'activèrent et le préparaient et l'emmenèrent dans la salle du trône où on l'obligea à se mettre à genoux. Les cheveux blanc remarquable par tous.

-Sa majesté le roi Hisoka Morow vient d'arriver.

Le roi fit alors son entrée et le roi Zoldyck voulait voir l'homme qui l'avait battu sans même être présent sur le champ de bataille. Mais il se prit vite un coup en plein visage par un chevalier pour qu'il ne regarde pas sa majesté. Il n'en avait aucun droit.

-Feitan enfin voyons.

-Mais sir ?!

-Cet homme à perdu, il est en droit de voir le visage de celui qui l'a détrôné. Laisse le.

Le roi put enfin voir le visage de cet homme et fut surpris de voir un homme si jeune assis devant lui.

-Non...c'est une blague ?!

-Je craint que non je suis bel et bien sa majesté Hisoka Morow. Celui qui t'a battu.

-Je me suis fait battre par un gamin.

Feitan frappa de nouveau l'ancien roi qui riait presque nerveusement d'avoir perdu face à ce genre de personne. Voyant son chevalier s'acharner il se leva faisant arrêter tout mouvement à tous ceux présent dans la salle. Il était aimé mais redouté, par ses décisions, ses agissements et surtout de par cette rumeur.

-Bien maintenant que j'ai l'attention de tout le monde. Roi Zoldyck, puis-je avoir ton nom.

-Si...Silva.

-Bien Silva j'ai un marché à te proposer.

-Un marché ?

-Ouiii.

Le roi s'avança alors presque sans un bruit jusqu'à lui toujours à genoux.

-Selon ton choix, je pourrais te laisser la vie sauve à toi et toute ta petite famille.

-Qu'est-ce que vous leur avez fait ?!

-Rien pour le moment mes troupes ont seulement encerclé ton château. Elles n'attendent que ton choix. J'ai cru comprendre que ta famille était importante pour toi.

-Arrêtez de tourner autour du pot.

-Ahh toujours si impatient. Ce que je veux contre ta vie à toi et ta famille, un titre de noblesse conservé mais pas de royauté et ta demeure, je ne demande qu'une petite chose.

-Qui est ?

La main d'Hisoka se logea sur le menton de Silva et se pencha un peu en avant. Le Zoldyck se dit que s'il n'était pas attaché à cet instant il aurait pu l'attaquer quitte à y laisser la vie derrière mais au moins cette guerre totale serait terminée. Mais ce n'était pas le cas, il en serait presque la mâchoire.

-Se que je veux de toi contre tout cela Silva c'est ta chair et ton sang.

Les yeux de l'ancien roi s'agrandissent de stupeur. Sa chair et son sang, il avait peur de comprendre de quoi il parlait.