CHAPITRE 48

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BASSIROU GUEYE.

Je suis là à sourire comme un imbécile heureux. Ce soir c'est la meilleure soirée de ma vie, mon premier amour, mon amour d'enfance, celle qui pour la première fois a fait battre mon cœur d'amour va devenir ma femme, mon épouse. Je suis tellement heureux.

_Amsa: L'organisatrice de la soirée là elle en met du temps.

_Ismaila: On attends qu'elle pour dîner là.

_Moi: Pourtant elle disait qu'elle n'allait pas tarder. Je vais là chercher.

_Amsa: Laisse j'y vais. Réponds t-elle en se dirigeant vers les escaliers.

Je l'a suit quand-même pour aller voir.

A peine est t'elle arrivé à la dernière marche du haut qu'elle poussa un cri de terreur qui alerta tout le monde.

Je prends les escaliers par trois et trouve Salimata inconsciente par terre.

_Moi: BABE ! Dis-je en me précipitant à son chevet.

Tout le monde se met autour d'elle se demandant ce qui se passe tout en étant en panique.

_Moi: Reculez, reculez tous laissez lui de l'air s'il vous plaît !

Ils s'exécutent...

Je vérifie son pouls et voit qu'il est très faible.

_Ismaila: Je crois qu'elle a fait une crise d'asthme.

_Moi: Appelle une ambulance immédiatement.

_Amsa: Je m'en suis occupée.

_Ismaila: Tu ne crois pas qu'il faudrait partir avec la voiture.

_Moi: Non il lui faut des soins que seuls les ambulanciers peuvent lui donner.

Je perds mes moyens, mais quand je me tourne vers les membres de sa famille et voit l'angoisse dans leurs yeux je me dois de tenir tête pour rassurer tout le monde.

Après quelques minutes qui m'ont semblé être une éternité l'ambulance arrive enfin et l'a prend en charge.
Au moment où on l'a fait monter dans le véhicule elle redevient consciente. Je m'approche d'elle pour la rassurer.

_Moi: Mon cœur ça va ça va tient bon on va bien s'occuper de toi.

Elle essaye de parler mais émettre un son devient difficile tellement qu'elle respire mal.

_Moi: Non ne parle pas garde tes forces.

Elle a sortit quelque mots qui me semble inaudibles. Puis les ambulanciers l'ont installé dans le véhicule en lui mettant un masque à gaz.

Amsa monte dans l'ambulance avec elle. Puis nous les suivons en voiture.
Heureusement que le principal n'est pas loin du tout.

Vue que c'est l'hôpital le plus proche  il n'y a pas de temps à perdre.
Ils l'a prenne rapidement en charge je suis tellement inquiet que je voudrais aller avec les médecins voir comment je peux aider mais j'ai peur de perdre mes moyens.











ISMAILA MALIK FALL.

Ma sœur, la prunelle de mes yeux, j'ai tellement peur qu'il lui arrive quelque chose. Qu'Allah m'en préserve je ne le supporterai jamais. Dire que nous venons tout juste de nous réconcilié.

_______________flasback_______________

Quelques heures plus tôt...

Je suis arrivée dans la maison vers dix huits heures avec Adja et ma fille.
Après avoir salué tout le monde je monte avec Salimata dans le salon du haut pour discuter.

Un homme, pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant