CHAPITRE 42

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LAYLA AIDARA DIAGNE.

J'étais dans la cuisine quand j'entendis la porte d'entrée de l'appartement faire sa mélodie.

_Moi: Hayati c'est toi?

_Ismaila: OUI MON AMOUR JE SUIS RENTRÉ... Réponds t-il depuis le salon.

Je me rince les mains et sort de la cuisine pour accueillir mon mari.

Je le prends dans mes bras et il me fit touner avant de m'embrasser tendrement.

_Moi: T'es rentrée hyper tôt aujourd'hui il n'est même pas seize heures.

_Ismaila: Pour ma défense l'attente était insoutenable et ma femme me manquait trop. Dit-il avant de capturer à nouveau mes lèvres dans un doux baiser qui devenait de plus en plus fougueux.

_Ismaila: Vient, allons-y. Fit-il en me tirant vers les escaliers sûrement pour monter dans la chambre.

_Moi: Mais ! Et le dîner ?

_Ismaila: Laisse ça. Ce sera toi mon dîner.

Avant que je ne fasse une quelconque réplique il me porta et monte les escaliers en vitesse.

...

Dans la chambre il me posa délicatement sur le lit et plonge sur moi comme un poisson dans un aquarium mdr...

On s'emporta dans une valse de baisers endiablées qui devenait de plus en plus intense. Ainsi il descendit et s'empara de mon cou en me caressant un de mes seins d'une main et de l'autre il remontait ma robe pour ensuite caresser légèrement mon entre jambe.

Mon extase était à son summum et je ne pus m'empêcher d'émettre des gémissements quand il a commencé à me chatouiller le sein avec sa langue.

_Espece de salopard. Entendis-je dire au loin.

On se stoppa net puis on se retourne pour voir Adja debout devant nous.

_Adja: Ismaila c'est ça que tu fais à la mère de ton enfant.

Moi: Qu'est ce que cette catin fait ici Ismaila?

_Adja: La seule catin que je vois ici c'est toi qui couche avec le mari d'une autre et dans notre lit conjugale.

_Moi: Non c'est faux c'est mon mari et notre lit à nous.
Ismaila qu'est ce qui se passe?

Puis l'enfant commençait à pleurer.

_Moi: Putin mais dit quelque chose et chasse cette femme d'ici.

Il se tus.

Moi aussi je m'étais mise à pleurer a chaude larmes.

_Layla, Layla, Layla, Layla, Layla.

Cette voix me semblait si lointaine.

Je l'a suivit et elle devenait de plus en plus claire.

J'ouvrit les yeux et vit ma sœur à côté de moi.
Je ne pus m'empêcher d'exploser en sanglots.

Elle me prit dans ses bras.

_Samira: Ma chérie calme toi ce n'était que rêve.

_Moi: Non (snif) c'était un (snif)  cauchemar et des (snif) plus (snif) horribles.

_Samira: Je t'entendais crier depuis notre chambre. Tu veux me raconter?

_Moi: (snif) non c'est (snif) affreux je ne veux pas en parler (snif).

Un homme, pas comme les autresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant