Conversely

Chapitre -27

Jusqu'à ce que Kendrick vienne hanter les pensées de Kaila, elle persista à essayer de laissée ces pensées dans un coin de sa tête mais toutes espoirs était vaincu, son corps était crispé et Zachary le remarqua bien assez tôt.
Zachary: me dit pas que tu pense à lui !
Kaila: je suis désolé.
Zachary: fait chier ! Dit-il en tapant sur l'arbre qui se trouvé à côté d'elle.
Kaila: Zachary ...
Zachary: non la ferme ! Va te faire foutre !
Déçus et en colère Zachary ramassa son sac qu'il avait laissé au pied du portique et s'en alla chez lui, après tout ça ne servait plus à rien de retourner en cours puisqu'ils avaient loupé les deux premières heures de l'après-midi.

Kaila, elle, resta un long moment contre cette arbre que Zachary avait frappé plutôt, elle était perdu et ne savait plus quoi faire. D'un côté elle commençait à apprécier Zachary mais pas de la façon que lui espère même si physiquement il lui plait de plus en plus, elle ne veut pas lui faire mal à cause de ses sentiments pour Kendrick même si c'est ce qu'elle fait, sans le vouloir, et d'un autre côté elle à ces sentiments pour Kendrick qu'elle n'arrive pas à oublié même s'il la trompé.
Tout deux sont des garçons pas vraiment stable tout compte fait Zachary n'est pas un modèle question de fidélité mais il a l'aire vraiment amoureux d'elle alors peut-être qu'il changera et Kendrick qui lui au premier abord a l'aire du parfait gentleman mais qui au final ce trouve être un beau salaud comme les autres, c'est pas croyable comme la vie est difficile.
Elle a deux garçons pour elle elle devrait être ravie, mais non elle sait plus sur qu'elle pieds danser, son coeur lui dit Kendrick et son cerveaux lui dit Zachary plus qu'a savoir lequel écouter.

Il marcha plus rapidement que la normal grâce à la colère qu'il a en lui à cause de cette fille qui lui fait perdre tout ses moyens.
Pourquoi faut-il qu'il est des sentiments pour une fille comme elle ? une fille amoureuse d'un autre !
On dit que l'amour fait mal mais c'est pas l'amour qui fait mal c'est quand celui-là est à sens unique que ça fait mal. Te dire que chaque pensés que tu as pour elle elle la pour lui, que chaque rêves que tu fais d'elle elle rêve de lui, et quand tu as la possibilité de l'embrasser elle pense à lui, c'est tout à fait mal placé, il aurait encore préféré qu'elle le repousse au lieu de répondre à ce baiser alors que c'était pas le sien qu'elle désirait.

C'est le coeur lourd qu'il rentra chez lui, il fouilla dans sa poche avant droite est y sorti ses clés, il appuya sur le bouton pour ouvrir le portail celui-ci s'exécuta dans un grincement sourd, il fit toute suite le rapprochement de se couinement avec celui que sont coeur émet à chaque battement, il s'avança sur les gravillons blanc qui menés à sa porte d'entrée en trainant des pieds, sa rage était parti pour laisser place à la tristesse, il se revoit quelque années auparavant quand cette même fille lui avait brisé le coeur en un million de morceau.
Pourquoi fallait-il que cette scène se reproduise ? enfin que ces même sentiments reviennent, seulement une chose différencié de la scène qui c'était produit il y a quelque année, cette fois il se força de ne pas laisser couler les larmes qui se trouver à la frontières de ses yeux.
Dans un grand souffle plein de désespoir il ouvrit la porte d'entrée, il fit un pas a l'intérieur et releva doucement la tête en fut de regarder devant lui, sa tête était maintenant bien droite et ce qu'il vit lui glace le dos, son père se trouvait là devant lui le visage durci par la colère et l'alcool qu'il a du ingurgité plutôt, il n'eût pas le temps de réagir que le poing de son géniteur se trouva encastré dans sa pommette gauche, par la puissance de se coup sa tête heurta le meuble en bois d'un brun foncé et parfaitement ciré qui se trouvé au coin du mur, malgré la douleur qu'il ressentait au niveau de son crâne c'était bénin à la douleur qu'il ressentait au fond de son coeur, c'est avec peine qu'il se releva ses deux main appuyé contre le carrelage froid, il se releva le corps tremblant sa vu broyé il lui fallu plusieurs clignements d'yeux pour retrouver sa netteté.