Chapitre -38

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Et c'est alors que Kaila franchie le portails et son monde s'écroula elle savait à ce moment même que rien ne pourrait lui accorder le pardon de Zachary.

Les ambulanciers emmenaient la petite Jena à l'aide d'un brancard dans leur véhicule, elle se mit à courir près du véhicule elle les regardait faire sans vraiment savoir quoi dire, elle resta là spectatrice de la scène le coeur lourd.
Les pleures d'une femme lui fit tourner la tête, la mère de Zachary reniflé fortement, elle n'avait aucune expression sur son visage juste des yeux bouffis et un mouchoir dans les mains près à essuyer la morve qui coulerait de son visage, précipitamment elle s'approcha d'elle.
Kaila: que c'est t'il passé ? Dit-elle.
Mais aucune réponse ne sorti de la bouche de la génitrice.
Kaila: que c'est t'il passé ?! Cria t'elle toujours en posant la même question.
La femme tourna sa tête vers elle et renifla.
Mme Jones: je suis désolée.
Voyant qu'elle n'obtiendrait aucune réponse elle entrepris de chercher elle même quand tout d'un coup elle tomba nez à nez avec Monsieur Jones qui parlait avec des policiers, en se rapprochant elle pu intercepter quelque bride de conversation.
Policier: veuillez me relater les événements s'il vous plait Mr Jones.
Mr Jones: elle jouait ... Et j'ai entendu ... Je sais pas ... Je l'ai vu par terre ... J'ai fait les premier soins, je suis médecin après tout ... ma femme vous à appelé.
<< quel salaud ! >> pensa t'elle << je suis sur que c'est lui qui lui a fait ça >>
Elle se dirigea folle de rage vers cette homme qu'elle considère comme pire qu'un monstre, elle le poussa de ses deux mains et le fit tomber sur ses fesses.
Kaila: qu'est-ce que tu lui a fait ? C'est toi hein ? Sale monstre ! Enfoiré ...!
Les policiers qui étaient sur les lieux la prirent par les bras pour la dégagé du docteur Jones, elle cria encore et encore des insultes, elle se sentait tellement mal de ne pas avoir été la pour cette petite fille qu'elle considérait comme sa petite soeur.
Sa tête lui tourné elle ne savait plus quoi faire, elle voulait juste se réveiller de se cauchemar horrible, tout son monde été devenue un désastre elle aimerait tant se réveiller dans son lit et se dire que tout ça n'est pas réel seulement ça l'est et elle ne sait pas quoi faire, une douleur lui saisi la tête le bruit des sirènes comme des hommes qui l'entour ne l'aide en rien.
Elle se tien la tête et tombe à genoux tout en respirant fort pour essayer de reprendre son calme, après de multiples et longues inspirations elle releva la tête pour regarder les alentour de ses yeux humidifié de larmes.
Les ambulanciers montèrent dans leur véhicule avant que la porte ne se referme sur un homme âgé qui tendait le bras à la recherche de la poignet du véhicule Kaila se glissa à l'intérieur.
Ambulancier: vous ne devriez pas venir jeune homme.
Kaila: je suis son frère !

Ambulancier: comme vous le voulez.
Sans prononcer aucun mot l'ambulancier chercha quelque chose dans les meubles du véhicule après quelques instant il en sorti une pochette blanche et rouge.
De cette pochette il sorti une seringue.
Kaila: qu'est-ce que c'est ?
Ambulancier: de la morphine, pour calmer ces douleurs.
Kaila: vous croyez qu'elle a mal ?
Ambulancier: oui, sinon je lui en donnerais pas.
Kaila: j'aurais du être là pour elle.
Ambulancier: ne vous en faite pas sa vie n'est pas en danger.
Kaila: ah bon est comment vous savez ça elle n'a pas ouvert les yeux depuis.
Ambulancier: elle est juste sonné par la chute mais elle va se réveiller je vous le promet.
Kaila: tout ça c'est de sa faute !
Ambulancier: la faute à qui ?
Kaila: à... à mon père.
Ambulancier: du docteur Jones ?
Kaila: vous savez pas qu'il il est vraiment, c'est un monstre !
Ambulancier: ne dite pas ça, c'est votre père.
Kaila: c'est pas vous qui vivez avec !
Ambulancier: je connais votre père il n'est pas capable de faire ça, elle est juste tomber.
Kaila: juste tomber hein, vérifier combien de fois j'ai été admis pour une jambe ou un bras cassé, et encore ça c'est rien parfois je me recoud moi même, dans ma salle de bain j'ai tout un arsenal de produit de soin, vous croyez vraiment que c'est au foot que je me casse le bras ? Je ne suis pas si maladroit, je sais jouer et je me suis jamais rien casser en jouant ! Mais rester sur votre point de vu que mon père est un dieu de toute façon je n'ai pas besoin de votre aide je me debrouillerait seule comme je l'ai toujours fait.
Après se discours le silence se fit dans l'ambulance, Kaila avait debalé la vie de Zachary alors qu'il lui avait formellement interdit de le faire, elle gardait se poids depuis trop longtemps pour ne rien dire et il faut avouer que cet ambulancier lui tapé sur le système. Il était temps de dire quelque chose, de faire quelque chose.

Une fois arrivé devant l'hôpital les petit yeux de Jena s'ouvrit.
Jena: Zzachy, Zzachy ... !
Kaila: Jena je suis là.
Jena: Zzachy j'ai mal au ventre.
Kaila: c'est rien ma puce tout va bien ce passer tu es à l'hôpital.
Jena: c'est ... Papa ... Il m'a fais mal.
Kaila: je sais, je sais, je te promet qu'il va le regretter.
Jena: ne lui fait pas mal, je l'aime papa.
Kaila: ne t'inquiète pas pour ça il va payer, je te le jure que plus jamais il va te retoucher.
Jena: j'ai mal !!
Ambulancier: je vous le promet qu'on fera une enquête. Dit-il à l'attention du corp de Zachary. Quand à toi mademoiselle je vais juste me permettre de lever ton t-shirt.
En levant son t-shirt un hématome bleu-violet se fait découvrir sur presque toute la surface de son ventre.
Ambulancier: emmenait la au bloc et vite !
Kaila: JENA !

Le coeur battant, les veines en ébullition, les yeux piquants, Kaila s'écroula à terre, elle ne comprend pas comment on peut faire du mal à un petit bout de femme si fragile sans défense, elle aimerait la venger, faire payer ce docteur de pacotille pour ce qu'il à fait.
Comment un docteur peut-il faire ça ? Comment un père peut-il faire ça ?
Elle ne comprend pas, et ne comprendra sûrement jamais.
Les mains tremblantes ainsi que tout son corp se relève difficilement, elle a peur de ne plus pouvoir entendre sa voix, son rire, la voir sourire, ces petites joux rose.
Elle a peur qu'elle quitte cette vie, mais ne serait-ce pas mieux pour elle de rejoindre les cieux au lieux de vivre cette enfer, non, elle doit vivre, elle mérite de vivre dans un monde en paix et pour ça elle doit faire quelque chose pour que Monsieur Jones soit puni, enfermé, en prison. C'est ce qu'elle veut du plus profond de son coeur qu'il pourrisse enfermé entre des barreaux, il le mérite, oui il le mérite, et en encore ça ce n'est rien pour lui, il mérite plus encore.

Pour l'instant son seule problème et de prévenir Zachary, comment lui dire que sa soeur et à l'hôpital, comment lui dire qu'elle devait être avec elle mais l'a oublié et qu'à cause de ça elle se retrouve entre la vie et la mort à pour cause que son père qui la battue.
Il faut qu'elle trouve le courage au fond d'elle pour prendre son téléphone et chercher le nom de Kaila dans son répertoire, c'est bizarre de s'appeler soit même mais c'est encore plus bizarre de penser à ça vu les circonstances, en reniflant fortement après avoir essuyé les larmes sur ses joues et au coin des yeux elle appuya sur le bouton du téléphone pour appeler son nouvelle ami qui redeviendra sûrement tout aussitôt son ennemi.
À chaque sonnerie son coeur se serre encore plus, elle ne va pas réussir à lui annoncer, comment lui annoncer ?
Zachary: qu'est-ce que tu me veut encore ?!
À entendre par le son de sa voix son amertume n'est pas parti, ce qui va encore plus compliquer ses explications.
Zachary: Kaila que veut tu ?!
Les reniflements derrière l'appareil ne le rassure guère, ( pourquoi pleur t'elle ? )
Zachary: Kai ?!
Kaila: je .. Je suis désolée.
Zachary: désolé de quoi ?
Kaila: Zach ...
Zachary: ne m'appelle pas Zach !
Kaila: ... Ta petite soeur est à l'hôpital ...

Bonjour je sais que ça fait extrêmement longtemps, mais comme j'ai du déjà le dire je n'ai plus le temps donc j'écris quand j'en ai, je ne sais pas quand sera la suite mais je n'arrête pas cette histoire je la continuerais même si il y a trois mois entre chaque chapitre.
Bisous mes lecteurs. ❤

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